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Droit constitutionnel

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2023-05-31 14:33:40 L'institution de la liberté
Muriel Fabre-Magnan

Disponible à la librairie LGDJ à Paris

16,00 €
Editeur : Presses Universitaires de France - P.U.F.
Collection : Quadrige
Parution : 05/04/2023
EAN : 9782130842620
374 pages
Résumé
L'interdit est-il l'ennemi de la liberté ? Celle-ci est-elle toujours du côté du permis ? Cet ouvrage montre que la réponse à ces questions n'est pas si simple. Le consentement et le contrat ne suffisent pas à garantir la liberté, et ils en sont même parfois les fossoyeurs ; à l'inverse, l'interdit ou la dignité n'en sont pas toujours les ennemis.

La simple non-ingérence de l'État ne suffit en réalité pas pour assurer l'autonomie des personnes et le pluralisme des choix de vie. Le droit a alors un rôle à jouer pour soutenir la liberté, entendue comme le projet et le processus d'émancipation de tous et de chacun. La liberté des modernes et les droits de l'homme doivent être défendus. Mais conforter les acquis de la liberté individuelle suppose de s'intéresser à ce dont elle a besoin pour être instituée, et ce afin d'éviter qu'elle ne se délite ou ne se retourne contre les plus faibles. La liberté ne peut pas être la liberté de détruire ce qui protège et garantit la liberté.

Professeure de droit à l'université Paris 1 (Panthéon-Sorbonne), Muriel Fabre-Magnan est l'auteur de nombreux ouvrages, principalement aux Puf, d'introduction générale au droit, de droit des contrats ou encore de droit de la responsabilité civile.
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2023-05-31 14:33:35
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2023-05-31 14:26:10 Introduction historique au droit
Cours intégral et synthétique - Tableaux et cartes - Avec des encadrés permettant une lecture d'histoire comparée des sources juridiques

Pierre Allorant, Philippe Tanchoux

Disponible à la librairie LGDJ à Paris

En stock, expédié sous 24h

22,50 €
Editeur : Gualino
Collection : Mémentos
11e édition
Parution : 30/05/2023
EAN : 9782297221191
216 pages
Résumé
Toutes les notions fondamentales pour comprendre les systèmes juridiques contemporains

Grâce à une démarche fondée sur l’histoire du droit, des institutions et de la société, cet ouvrage expose les acquis récents de la recherche depuis la période antique dans les civilisations de l’Orient ancien et de la Grèce jusqu'au système juridique de la France aujourd'hui. Il présente avec clarté et rigueur l’évolution des sources de droit, les notions fondamentales et les repères chronologiques indispensables à la compréhension des systèmes juridiques contemporains.

Les auteurs dans un souci d'ouverture ont inséré en fin de chaque chapitre des encadrés "Histoire comparé" sur notamment les thèmes suivants : Droit religieux de l'Egypte antique - Naissance du droit de common law au moyen âge anglais - Importation du droit ibérique en Amérique latine au temps des conquêtes - ou encore le modèle occidental pour le droit japonais au XIXe siècle

Points forts

Les notions fondamentales pour comprendre les systèmes juridiques contemporains
Des aides pédagogiques différenciées (tableaux, schémas, graphiques…)
Pour apprendre plus facilement, plus rapidement, apprenez utile !
Un exposé clair, structuré et accessible pour l’étudiant
Pierre Allorant est Professeur en Histoire du droit, responsable de la spécialité Métiers de l'accompagnement politique du Master Droit et administration publique et doyen de la faculté de droit de l'université d'Orléans.

Philippe Tanchoux est Maître de conférences en Histoire du droit, il dirige la spécialité Gestion locale du patrimoine culturel du Master Droit et administration publique à l'université d'Orléans.
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2023-05-31 14:24:54
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2023-05-31 14:21:36 L’après-conflit
Approche croisée : justice, institutions, médias

Anne Cousson, Ludivine Thouverez

Disponible à la librairie LGDJ à Paris

19,00 €
Tome 38
Editeur : Institut Francophone pour la Justice et la Démocratie
Collection : Transition & Justice
Parution : 30/05/2023
EAN : 9782370323798
216 pages
Résumé
Comment terminer les crises ? Comment résoudre les tensions qu’elles ont fait naître tout en préparant une paix durable ? À travers une approche comparative croisant des aires géographiques et des disciplines différentes, cet ouvrage propose une réflexion sur l’après-crise, dont la gestion constitue un enjeu majeur pour les sociétés marquées par les héritages de conflits armés – parfois toujours en cours – ou d’affrontements sociaux.
Les contributions sur la justice sociale ou la justice transitionnelle posent la question de la place du droit dans la résolution de conflits et de la difficulté à mettre en place une solution concrète. Les objets de travaux de terrain et les différentes approches mettent en lumière les forces et les limites des politiques actuelles. L’après-conflit, c’est aussi la reconstruction de la mémoire et les confrontations entre différents acteurs. Médias et institutions sont-ils capables d’œuvrer pour la paix ? Le veulent-ils vraiment ? L’ouvrage est complété par deux témoignages, l’un photographique, l’autre littéraire, qui permettent de mieux saisir les problématiques de l’après dans leur complexité.
Actes du colloque organisé à la MSHS de l’Université de Poitiers par le laboratoire MIMMOC du 8 au 10 septembre 2021

Ludivine Thouverez est maîtresse de conférences en Études hispaniques à l’université de Poitiers. Elle est membre du MIMMOC et présidente de la Fédération des études de civilisation contemporaine (FE2C). Ses recherchent portent sur la construction médiatique des conflits contemporains en Espagne.

Anne Cousson est maîtresse de conférences en civilisation britannique à l’Université de Poitiers. Elle est membre du MIMMOC. Ses recherches portent sur la politique britannique contemporaine, les institutions politiques et le discours des droits de l’homme.
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2023-05-31 14:20:52
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2023-05-31 14:04:26 Jus politicum, 2023 N°14
Formes de la citoyenneté

Olivier Beaud, Nicolas Chifflot, Institut Michel Villey

Disponible à la librairie LGDJ à Paris

45,00 €
Editeur : Dalloz
Collection : Jus Politicum - Revue de droit politique
Parution : 01/06/2023
EAN : 9782247224548
300 pages
Résumé
Le quatorzième volume de la revue Jus Politicum comprend les actes du colloque « Formes de la citoyenneté » co-organisé par l'Institut Michel Villey (Université Panthéon-Assas) et l'Institut Raymond Carré de Malberg (Université de Strasbourg) sous la direction des Pr Olivier Beaud et Nicolas Chifflot, ainsi que deux contributions additionnelles de réflexion fondamentale.

Les juristes de droit public réduisent le plus souvent le contenu de la citoyenneté au seul droit de vote, alors que ce contenu est plus large. Les Professeurs Olivier Beaud et François Saint-Bonnet ont déjà étendu le champ de cette réflexion en liant ensemble le civisme et la citoyenneté dans un précédent volume intitulé La citoyenneté comme appartenance au corps politique (Paris, Éd. Panthéon-Assas, 2021) et issu également d'un colloque organisé par l'Institut Michel Villey.

Le présent volume entend soumettre à l'étude Les formes méconnues de la citoyenneté, étant entendu que sa forme la plus connue porte sur les droits politiques et civiques. Il s'agit ici de s'intéresser d'abord aux droits politiques et civiques, autres que ceux traditionnellement envisagés par le droit constitutionnel (droit de vote et éligibilité), que l'on peut discerner en étudiant tour à tour les libertés publiques, le droit administratif ou le droit pénal. Certains de ces droits sont par ailleurs souvent perçus comme purement privés (le droit d'accès à la justice) tandis que les devoirs du citoyen sont généralement passés sous silence quand on évoque la citoyenneté. Ceux-ci sont donc étudiés dans ce volume. Enfin, une question éminemment actuelle se pose quant à savoir si les formes « irrégulières » d'action politique peuvent être interprétées comme des manifestations de la citoyenneté au sens alors de « citoyenneté rebelle ».
Cette façon de poser le problème de la citoyenneté tranche, a priori et par la négative, la question ancienne et largement débattue de savoir si la citoyenneté sociale revendiquée par les auteurs marxistes ou marxisants est, ou non, une véritable citoyenneté politique. C'est le sens que souhaitait lui donner T.H. Marshall dans son grand article sur Citizenship and social class (1949). Cependant, le présent volume redonne à la citoyenneté un domaine d'une plus grande ampleur, mais tout en le cantonnant dans la sphère politique, largement entendue.
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2023-05-31 14:03:56
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2023-05-31 13:48:49 Le pouvoir des cours constitutionnelles
Analyse stratégique des cas espagnol, français et Italien

Raphaël Paour

Disponible à la librairie LGDJ à Paris

75,00 €
Editeur : Société de législation comparée
Collection : Bibliothèque des thèses de droit comparé
Parution : 30/05/2023
EAN : 9782365171267
764 pages
Résumé
Aujourd’hui, il n’est pas rare que les cours constitutionnelles tranchent de grands débats éthiques, qu’elles s’opposent à ce que la majorité nouvellement élue concrétise une partie de son programme électoral et qu’elles se retrouvent en première ligne pour contenir les velléités autonomistes d’entités infra-étatiques. En dehors de pareils coups d’éclat, elles exercent une influence plus routinière sur le législateur et les juges ordinaires.
Toutefois, ce pouvoir n’a pas été remis aux cours constitutionnelles par le seul effet de leur création, elles ont dû l’inventer, le conquérir, l’étendre et le protéger. Le grand universitaire et juge constitutionnel Vezio Crisaffuli disait à ce sujet que lorsqu’elle est apparue sur la scène institutionnelle en 1956, la Cour italienne a été perçue comme il terzo incomodo, la cinquième roue du carrosse. Elle se trouvait en effet inconfortablement placée entre un législateur, soudain privé de sa souveraineté, et le juge ordinaire qui s’était vu refuser le droit d’exercer le contrôle de la constitutionnalité des lois. C’est dans un environnement institutionnel par conséquent plutôt hostile que la Cour italienne a dû définir son rôle, faire sa place au sein des institutions et accroître progressivement son influence sur la conduite des autres organes. Toutes les cours constitutionnelles surgissent ainsi, parmi des institutions anciennes, légitimées par la tradition et, le cas échéant, par la désignation démocratique ou l’expertise technique de leurs membres. Pour exister, il leur faut pourtant acquérir un pouvoir qu’elles ne peuvent qu’arracher à ces organes.
Or, confrontées à un dé¿ similaire, les cours constitutionnelles ne l’abordent pas de la même manière. Si certaines sont déférentes avec le législateur et tyranniques avec les juges ordinaires, d’autres adoptent l’attitude contraire. Elles favorisent des voies de recours et emploient des techniques de décisions différentes. Elles motivent leurs décisions de façon singulière et, à travers les discours extra-juridiques et les attitudes de leurs membres comme la sémantisation de leurs bâtiments, elles donnent à voir une « âme institutionnelle » propre à chacune.
En s’attachant aux cas particuliers du Tribunal espagnol, du Conseil français et de la Cour italienne, ces attitudes sont analysées dans cet ouvrage comme les manifestations de choix stratégiques qui sont imposés à ces organes par un ensemble de contraintes juridiques. Plus que tout autre facteur, c’est en effet la configuration institutionnelle et la répartition des ressources qui en résulte qui expliquent la façon dont ces trois cours ont procédé pour établir leur pouvoir. Il est ensuite montré que ces stratégies les ont, à leur tour, contraintes à adopter des discours de légitimation spécifiques. Selon qu’elles exercent principalement leur influence sur le législateur ou sur le juge ordinaire, les cours constitutionnelles sont amenées à assumer le caractère d’un organe plus ou moins politique.
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2023-05-31 13:47:56
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