2022-10-02 00:15:29
Ce que j'entends par suprémacisme contre multilatéralisme, c'est que le multilatéralisme est une utopie. C'est impossible. Il n'y a pas de multilatéralisme apaisé lorsque les trois quarts des nations au monde sont animées par un esprit de revanche envers les Européens. C'est la limite du nationalisme. On imagine qu'en donnant à chaque peuple une part équitable, en respectant les frontières et les libertés des autres, nos frontières et nos libertés seront respectées. Mais c'est un
européanomorphisme. On plaque sur autrui notre propre façon de raisonner. Il n'en sera rien. La volonté de paix ne se trouve que chez les blancs. Il n'y a pas de dialogue entre pays européens et extra-européens.
La seule façon de rester souverain, en sécurité et libre, c'est la suprématie. Nous connaissons le danger de la criminalité de l'immigration sur notre sol. Mais ce n'est qu'un élément d'une menace plus vaste. Quand je parle de suprématie, ce n'est pas imposer notre force aux autres. C'est être le plus fort possible, parce que les autres nous veulent tout simplement du mal. Tant que nous ferons une tête de plus que eux, ils ne pourront pas nous nuire ouvertement. Quand on a dominé autant et aussi longtemps, il n'y a tout simplement pas possibilité de redescendre en seconde catégorie. Décliner, c'est mourir.
La suprématie des peuples occidentaux est bonne, car elle garantit la liberté et la sécurité des autres. Il faut la préserver. A contrario, rien ni personne ne garantira notre liberté et notre sécurité lorsque nous serons faibles. Ni la liberté et la sécurité de ceux que nous protégions.
D'autre part, renoncer à la recherche de la suprématie, c'est renoncer à un feu intérieur. Une étoile qui cesse d'alimenter son propre feu se fait écraser sous le poids de sa gravité. Pour nous, cesser de vouloir devenir plus forts s'est traduit par le désir de devenir plus égaux.
463 viewsPeter, edited 21:15