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SOS Chrétiens d'Orient

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SOS Chrétiens d’Orient apporte une aide matérielle et un soutien moral aux chrétiens d’Orient.
L'association est présente de manière continue en Irak, Syrie, Liban, Jordanie et Egypte et effectue des missions ponctuelles au Pakistan.

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2021-12-20 16:22:46 #ActuOrient – Justice pour les époux Diril, disparus en Turquie depuis 705 jours.

En janvier 2020, Hurmuz Diril (71) et sa femme Shmuni (65), les deux derniers chaldéens catholiques du village montagneux de Meer, disparaissaient sans laisser de traces.
Après des recherches restées longtemps infructueuses, le corps sans vie de Shmuni Diril était retrouvé le 20 mars 2020 dans une rivière près du village, à quelques mètres de chez elle.
Son mari, quant à lui, est toujours porté disparu. Si les autorités semblent avoir abandonnées les recherches, (à peine ouverte, l’enquête a été classée confidentielle) les enfants du couple, eux, poursuivent leur combat pour retrouver leur père et obtenir justice.

Près de deux ans après ces disparitions, l’European Center for Law and Justice (ECLJ), avec l’aide des avocats et des membres de la famille d’Hurmuz Diril, vient de soumettre une requête auprès du Groupe de travail sur les disparitions forcées ou involontaires afin d’amener la représentation turque à faire la lumière sur le sort réservé aux époux devant le Groupe d’experts de l’ONU.

Que ce soit un règlement de compte familial, une action d’un groupe terroriste ou que les Diril aient été des victimes collatérales de la lutte du gouvernement contre le PKK, il importe plus que tout, pour les enfants et leurs proches, que la lumière soit faite sur le meurtre de leur mère et sur le sort de leur père.

Avec eux, c’est aussi une des dernières familles chaldéennes qui disparait de cette région…

SOS Chrétiens d'Orient prie pour le repos de l'âme de Schmuni Diril, pour Hurmuz Diril toujours porté disparu et pour la famille Diril afin qu'elle obtienne justice.
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2021-12-20 16:22:41
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2021-12-18 15:36:01 #ActuOrient – Le « geek de Dieu » fait déplacer la jeunesse libanaise !

A Amioun, un petit village situé à l’intérieur des terres, entre Tripoli et Batroun, les volontaires assistent à la cérémonie d’accueil des reliques du Bienheureux Carlos Acutis au Liban.
Une imposante procession organisée par l'association Caritas précède plusieurs homélies prononcées par les responsables liturgiques de la paroisse. Les reliques sont ensuite exposées dans l’église paroissiale afin que les groupes scouts et mouvements de jeunes, venus nombreux, puissent se recueillir. Alors la foule se presse, témoin de l’aura que ce jeune saint provoque auprès de la jeunesse.

En effet, né le 3 mai 1991 à Londres, Carlos Acutis est un adolescent italien, mort à 15 ans d'une leucémie foudroyante. Lors de son hospitalisation à la clinique San Gerardo de Monza, Carlo ne se plaint pas et répète souvent : « J'offre toutes les souffrances que je dois subir au Seigneur, pour le pape et pour l'Église, et aller directement au paradis. »

Fasciné par le monde de l’informatique et par les nouvelles technologies dès son plus jeune âge, Il est connu comme le « cyber-apôtre » de l'Eucharistie utilisant tous les moyens informatiques de l’époque pour répandre la dévotion qu’il avait envers la Sainte Eucharistie. « L’Eucharistie, c’est mon autoroute pour aller au ciel »

Prions le Bienheureux de veiller sur les jeunes Libanais lourdement éprouvés par la crise qui frappe le pays des Cèdres, qu’il les soutienne dans leurs épreuves et intercède auprès du Seigneur pour qu’Il réconforte son peuple.
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2021-12-18 15:35:05
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2021-12-16 15:35:04 #ProjetsSOS en #Syrie - L’espoir renaît dans les ruines !

A Homs, l’équipe de SOS Chrétiens d’Orient a remis les clefs de leurs maisons nouvellement rénovées à deux Syriens chrétiens qui avaient été obligé de fuir les combats pendant les années de guerre qui ont ravagées leur quartier d’Hamidyé.

Grâce aux donateurs de l’association, des ouvriers spécialisés secondés par les volontaires en mission, ont travaillé d’arrache pieds pour permettre à ces familles de tirer une croix sur le passé et de se tourner vers le futur en pouvant désormais reconstruire leur vie dans une maison à eux.

Nazih Nabki, premier bénéficiaire, a retrouvé une habitation neuve après plusieurs années à vivre dans la rue, sans aucune ressource. Sa maison, située dans le quartier chrétien, occupée par les groupes armés terroristes pendant la guerre, avait été totalement détruite par des bombardements. Aujourd’hui, il a une salle de bain, une cuisine, un salon et une chambre adaptés à ses besoins. Cela lui a permis de retrouver une stabilité et même un travail ! Sa mère, qui habitait avec lui avant la guerre et a trouvé refuge chez un ami en attendant la fin des travaux, le rejoindra très bientôt.

La deuxième clef a été remise à la famille de Georgette qui avait fait appel à l’association pour rénover sa maison en ruines. Chambres, cuisine, cour extérieure, salon, salle de bain, tout a été refait de fond en comble. La dernière touche date d’il y a seulement quelques semaines, quand les volontaires ont repeint les murs du petit patio attenant.

Aujourd’hui, ces foyers vont redevenir des lieux de vie, habités par les rires et les discussions de leurs habitants. Pour les volontaires comme pour les employés de l’association, il s’agit toujours d’un moment magique : voir les habitants retrouver leur foyer est un sentiment incroyable.

Pour ces familles exilées pendant de trop longues années, une nouvelle vie démarre, un nouveau départ vers un futur meilleur.

La rénovation de chaque maison a coûté 2 500€. Financez les projets de l’association ! Faites un don : https://bit.ly/3GmOB6F
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2021-12-16 15:34:01
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2021-12-14 15:34:02 #ActuSOS – Une journée de découverte du patrimoine arménien.

Lors de leur weekend cohésion, après avoir assisté à la messe dans l’église de Sisian dans le Syunik, les volontaires ont pu admirer et longer la belle cascade de 18 mètres de haut de Shaki. Cet écrin de verdure si paisible est en réalité une zone de recherche archéologique où de multiples légendes y sont narrées.

Ainsi, on raconte que Shaki, une jeune femme d’une grande beauté, ayant refusé les avances d’un conquérant, se serait jetée du haut du rocher. Sa robe, qui se serait ouverte dans sa chute, aurait formé la cascade.

Le chemin se poursuit vers le monastère de Vorotnavank, chargé d’histoire. Fondé par la reine Shahandoukht au XIème siècle, il était originellement un lieu de pèlerinage du fait de la présence d’une église qui aurait été construite par saint Grégoire l’illuminateur. On sait aussi qu’à l’époque du Moyen-Age, ce monastère était réputé pour sa capacité à soigner les piqûres de serpent.
Le complexe doté de petites chapelles adjacentes est intégralement entouré de vestiges de murailles et de quelques khatchkars, célèbres pierres tombales sculptées d’une ou plusieurs croix.

En 1931 le monastère a souffert d’un tremblement de terre qui l’a sévèrement endommagé. Son dôme fut heureusement reconstruit mais une stèle commémorative fut complètement détruite et le reste de la structure très abîmée.
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2021-12-14 15:33:01
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2021-12-12 15:33:01 Plus les heures passent et plus nous attendons le coucher du soleil qui indique la fin de la journée de travail. Ainsi régulièrement nous observons le ciel et ses couleurs changeantes qui progressivement descendent sur les champs. Quand la nuit est suffisamment tombée, le Père Yohanna nous offre des glaces et nous remercie pour notre aide. Puis, épuisés mais heureux, nous retournons au Caire, à la pollution et à son agitation. »

Venez porter main forte aux moines du monastère Saint-Jean. Rejoignez-nous en mission : volontaires@soschretiensdorient.fr
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2021-12-12 15:32:01 #ProjetsSOS en #Egypte – Quand le travail de la terre permet de se connecter à l’essentiel !

Au monastère Saint-Jean, à 1h de route du Caire, les volontaires s'affairent dans les plantations des moines pour entretenir les oliviers, goyaviers et grenadiers et en récolter les fruits les plus mûrs. Dans le silence de ce lieu saint, ils en profitent pour se ressourcer et se recentrer sur l’essentiel.

« J’étais au début intrigué et admiratif devant leur façon de travailler, qui paraît encore très archaïque pour des yeux d’Occidentaux. Vêtus de galabeya, un vêtement égyptien traditionnel ample de la vallée du Nil, chaussés de sandales et perchés sur des échelles en bois, ils cueillent les olives puis les versent dans des cagettes. Dans cette tâche harassante, ils sont aidés par des paysans qui, socialement, se situent tout en bas de l’échelle. A titre indicatif, les chiffonniers du Caire sont plus reconnus que les paysans. Ce sont d’ailleurs souvent des paysans de Haute-Egypte qui viennent travailler dans les grandes villes en tant que chiffonnier.

Je trouve ces journées physiquement fatigantes mais mentalement et moralement reposantes. En effet, je considère que c’est une véritable bouffée d’air frais de pouvoir travailler au cœur d’une nature non polluée où le silence est roi ; ce qui contraste radicalement avec le Caire et ses 20 millions d’habitants.

Ces journées sont très structurées ! Nous quittons le Caire aux alentours de 8h, après 1h de route, nous arrivons au monastère Saint-Jean, où nous saluons et échangeons avec le Père Yohanna, responsable des cultures. Ensuite, nous nous recueillons dans l’église et prions pour confier notre journée de labeur et aux alentours de 10h, nous entamons notre travail dans les champs, la plupart du temps dans le silence.

Ces moments de paix intérieur sont l’occasion de réfléchir à tout ce qui nous passe par la tête ; que ce soient des questions futiles comme ce que nous allons manger à midi ; ou des questions plus existentielles sur le sens de la vie, de la mission. Quels sont mes désirs, mes rêves, mes projets ? Je laisse aller mon imagination débordante. Cette sensation d’être bien avec soi-même et d’avoir l’impression de se parler à soi est très puissante et rend heureux. Quelques fois, il m’arrive de fredonner des chansons et d’autres fois nous chantons à tue-tête avec les volontaires.
Nous parlons peu entre nous mais finalement j’ai le sentiment que les liens et les souvenirs qui se créent sont tout aussi voire plus forts.

Les conditions de travail ne sont pas évidentes ! Nous travaillons sous un soleil de plomb, la plupart du temps à quatre pattes pour arracher à la racine les liserons et autres plantes nocives aux cultures. Puis, assis dans l’herbe, à l’ombre des arbres du jardin, nous partageons le repas avec le Père Yohanna.

Ces pauses sont souvent accompagnées d’une sieste digestive sous un soleil chatouillant traversant aléatoirement les branches des arbres. L’herbe grasse et humide rappelle des sensations que je retrouve dans mon jardin en France.

L’après-midi, nous reprenons le travail mais avec la fatigue accumulée nous sommes généralement moins efficaces et les pauses sont plus nombreuses. Le plus souvent sollicitées par les paysans, elles sont un baume au cœur et marquent par leur simplicité. Je garde ainsi en tête un souvenir mémorable d'une de ces pauses à l’ombre des oliviers. Alors que l’un d’eux nous sert le thé dans une espèce de vieux pot de confiture en verre, un autre dessine grossièrement un tableau de neuf cases sur le sol sableux et me fait signe de commencer. Nous entamons donc des multiples parties de morpion, essayant tour à tour d’aligner trois croix ou trois ronds, sans prononcer aucune parole car lui ne parle pas anglais et moi je ne parle pas arabe mais les signes et les sourires suffisent à nous comprendre.
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