LesVIRUSnEXISTENTpas

2022-07-27 18:21:31 Les Mitochondries n'existent pas! (Jules Tissot découverte de novembre 1936) ! Ouvert / Commentaire

2022-07-26 18:25:13 Introduction à la biologie universelle - la biologie selon le Dr Hamer

Un article d'Ursula Stoll
Pour pouvoir interpréter correctement les différents symptômes, il est important de connaître quelques bases de la biologie universelle.
Toutes les maladies sont compréhensibles avec les connaissances de la biologie selon Hamer et portent dans leur cause leur aspect et leur contenu respectifs. 
En cas d'empoisonnement, d'accident, d'irradiation ou de maladie due à la malnutrition, l'état en question doit être éliminé ou soigné par un médecin. 
La première règle biologique :
Lorsque l'on subit un choc (traumatisme, conflit), celui-ci nous atteint toujours à trois niveaux : à savoir dans le psychisme, dans un organe déterminé et dans une zone spécifique du cerveau.
Un choc psychique, visible au CCT (tomodensitométrie de la tête), n'est rien d'autre qu'un traumatisme, un événement déclencheur, un conflit ou une situation imprévue qui nous a frappé avec les critères suivants :
- Surgi de nulle part, comme un coup de foudre. L'événement déclencheur est inattendu - on ne s'y attendait pas.
- Il nous prend sur le mauvais pied. On est bouleversé, abasourdi, touché par le tonnerre. C'est dramatique.
- On se sent seul sur le moment, comme coupé du monde.
Ce n'est que lorsque les trois critères sont "remplis" que l'événement déclencheur (le traumatisme) déclenche un processus (= déroulement biologiquement nécessaire) qui se déroule de manière synchrone à trois niveaux :
- Dans le psychisme
- Dans le cerveau et
- Dans un organe correspondant

La TCC nous permet de visualiser une blessure psychique. C'est pourquoi la biologie universelle peut être prouvée scientifiquement. Grâce à la TCC, il a été possible de démontrer qu'une seule zone du cerveau commande un organe spécifique. Inversement, la biologie universelle peut être vérifiée à trois niveaux : dans la psyché (qu'est-ce qui est arrivé à la personne ?), dans l'organe concerné (quels sont les symptômes de la personne concernée ?) et dans le cerveau, grâce au CCT.

Lorsque les critères susmentionnés sont remplis, un processus biologiquement nécessaire (ou : programme biologique spécial judicieux) commence, que nous pouvons percevoir au niveau physique et psychique. Dans le cerveau, nous ne voyons bien sûr ce processus que dans le CCT. Dans le psychisme, nos pensées tournent autour de la situation douloureuse, nous sommes pris dans un "carrousel de pensées" - nos pensées tournent autour du problème et de la manière dont nous pouvons le résoudre. Physiquement, nous remarquons une perte d'appétit, ds problèmes d'endormissement & de sommeil, ds mains & ds pieds plus froids et nous avons une tension artérielle et un pouls un peu plus élevés. 
Il est logique que tous les traumatismes ne soient pas suffisamment graves pr qu'1 événement déclencheur déclenche un processus biologique. Tts ls choses que l'on n'arrive pas à faire, par exemple, ne déclenchent pas en parallèle 1 processus biologiquement nécessaire, mais seulement les sujets dont on sent qu'ils sont existentiels.
En d'autres termes, ts ls problèmes auxquels on est confronté ne sont pas équivalents à un événement déclencheur, à un traumatisme. 1 événement déclencheur nous prend sur le mauvais pied, on le perçoit de manière isolée, dramatique et inattendue (= première règle biologique).
Par ex, si l'on doit absolument réussir un examen pour pouvoir suivre une formation ou obtenir un diplôme, c'est une question existentielle. Ou si l'on fait constamment des fautes de frappe au travail et que le chef est déjà agacé ; cela va de pair avec le fait que l'emploi est en jeu. Ou lorsque, en tant qu'élève, on rate un travail et que les parents nous grondent : "Tu ne deviendras jamais quelqu'un si tu ne fais pas plus d'efforts", etc. Ts ces exemples peuvent rendre nécessaire 1 processus biologiquement nécessaire.

Mais attention, notre imagination est énorme le cerveau travaille toujours ds l'ici & maintenant.

https://telegra.ph/Das-ist-Covid19--mit-dem-Wissen-der-Universalbiologie--der-Biologie-nach-Hamer--erkl%C3%A4rt---Teil-2-03-26 Ouvert / Commentaire

2022-07-24 00:26:07 Le mythe de la variole du singe en 3 vidéos ! (Cliquez sur les liens)

David Icke au sujet du Hoax du MonkeyPox (variole du singe)…

Dr. Sam Bailey - La Mythologie de la variole du singe

[Eleonore POPPY] - Lecture de l'ouvrage "Désormais plus de variole" de 1908 d'un médecin "antivax" qui propose une autre étiologie et un traitement qui guérit en 24 h ! (partie 1, 2 & 3) Ouvert / Commentaire

2022-07-20 23:54:46 La vérité est qu'en fin de compte, notre corps est un organisme d'auto-guérison miraculeux. Le corps n'a pas besoin d'aide pour guérir, sauf dans des circonstances extrêmes de blessures qui mettent la vie en danger. En fait, lorsque vous pensez que vous êtes malade ou "atteint d'une maladie" et que vous avez des symptômes, ce sont les signes réels de l'auto-guérison du corps et de votre microbiome qui font leur travail. L'expulsion des poisons par la peau est un processus évident que l'on peut voir se produire avec des choses comme la varicelle ou tout ce qui s'appelle une vérole, même l'acné est le même processus de nettoyage. Beaucoup de noms différents pour la même chose. TOUS les symptômes que nous voyons et que l'on appelle maladies sont en fait le corps qui se guérit de quelque chose et devinez qui fait tout le travail à l'intérieur ? Oui, ces "germes". Ces maladies aiguës qu'ils prétendent être des maladies contagieuses, si vous remarquez, ce sont toutes des explosions de toxines qui sortent du corps, par la peau, la bouche, les poumons, les intestins, à peu près tous les trous que nous avons. Lorsque les médecins interviennent avec leurs médicaments, qui arrêtent tous ces processus, ils ferment effectivement toutes les issues et obligent le corps à s'en occuper d'une autre manière. C'est là qu'intervient la maladie chronique. Ces toxines doivent être traitées, d'une manière ou d'une autre. Elles peuvent être stockées temporairement dans les graisses, ce qui les maintient hors de portée des organes ; si elles sont trop toxiques pour cela, elles peuvent être enfermées dans ce que nous appelons des tumeurs ou des kystes. L'organisme doit alors faire face aux nouvelles toxines ajoutées par les médicaments administrés. Il s'agit d'une sorte de hiérarchisation des priorités dans l'organisme, qui consiste à enfermer temporairement les premiers contrevenants et à s'occuper du nouvel assaut. Les médicaments mettent en fait le corps en mode de stress (combat ou fuite), ce qui explique pourquoi nous semblons nous sentir mieux lorsque nous prenons des médicaments. Nous avons tendance à nous sentir énergisés lorsque nous sommes stressés. Mais cela n'a pas guéri quoi que ce soit. L'accumulation de la charge toxique devra être traitée par l'organisme à un moment donné (lorsque le corps sort du mode de stress, ce qui est généralement le cas lorsque nous sommes en vacances) et plus la charge est importante, plus les symptômes seront importants et dramatiques. C'est comme un accident qui attend de se produire, sauf que ce n'est pas un accident. Ouvert / Commentaire

2022-07-20 18:28:41 DIXIÈMEMENT : PAR-DESSUS TOUTES LES AUTRES ILLUSIONS, la principale tromperie est la suivante : "l'épidémie est une maladie ou un syndrome causé par un seul germe." Ceci est vendu avec une propagande incessante. La plupart des gens s'y laissent prendre. Ils vont même se disputer entre eux pour savoir quel "microbe" est la cause unique de la "maladie". Il n'y a pas de cause ou de maladie "it".

QUATORZE : On vend au public mensonge après mensonge sur la contagion et la "propagation" de la "maladie".

QUINZE : Le public scande (comme si personne n'était jamais mort auparavant), "Les gens meurent, ça doit être le virus".

DIXIEME : Le conte de fées du virus sert toujours de couverture aux crimes du gouvernement, des entreprises ou de la médecine. Il obscurcit et cache ces crimes. Par exemple, une grande usine crache une pollution épouvantable dans le sol et l'eau d'une région, et les gens tombent malades et meurent ? Attendez, disent les chercheurs, la cause est en fait un nouveau virus que personne n'a jamais vu auparavant.

Comme je l'ai écrit au début de l'illusion COVID, la seule différence cette fois-ci, en 2020, est le poids des mensonges - parce qu'ils ont conduit aux fermetures et à la dévastation économique. C'est le Nil occidental, le SRAS, la grippe porcine, le Zika, en gros.

Il va sans dire que les personnes et les groupes responsables du lancement de ces opérations d'illusion doivent cacher leurs crimes.

Les criminels ont leurs armes, bien sûr. Parmi les plus puissantes : le contrôle de la presse et un langage technique obscur qui prétend être pertinent. Ce langage est si dense que les non-initiés n'ont aucune chance de le percer.

Par exemple, les chercheurs peuvent parler pendant des heures de leur fameux test de diagnostic, le PCR. Cependant, la vérité est que ce test n'a jamais été validé. Le test n'a jamais Ouvert / Commentaire

2022-07-20 18:28:36 https://beyondthetrance.com/2020/08/15/jon-rappoport-the-pandemic-pattern-how-the-illusion-is-built/ Dans le cas de COVID-19, j'ai écrit au moins un article couvrant, en détail, chaque élément principal de l'illusion. Ici, j'expose le modèle. Il est le même pour chaque fausse épidémie.

UN : Grâce à de nombreuses réunions, exercices et séances de planification, une structure est mise en place pour promouvoir et lancer l'idée d'une épidémie. Organisation mondiale de la santé, CDC, responsables influents de la santé publique attachés aux gouvernements du monde entier, etc.

DEUX : Il y a un prétendu incident. Une épidémie. La cause la plus évidente est intentionnellement négligée. Par exemple, une pollution atmosphérique épouvantable, ou la pollution grotesque par les excréments et l'urine d'une gigantesque exploitation porcine commerciale. Au lieu de cela, le monde est informé qu'un nouveau virus a été découvert. Les chercheurs locaux, s'il y en a, sont complétés par des chercheurs du CDC et de l'OMS.

TROISIÈMEMENT : Il n'y a pas de chaîne de preuves hermétique expliquant exactement comment le prétendu nouveau virus a été découvert. D'après les détails publiés, il n'y a AUCUNE preuve de découverte par des méthodes convaincantes, aucune étude unifiée appropriée de NOMBREUX patients supposés atteints de l'épidémie.

QUATRE : Mais l'OMS/CDC dit au monde entier qu'il s'agit d'une épidémie en devenir, causée par le nouveau virus. L'appareil de promotion et de propagande/médias passe à la vitesse supérieure. Déclarations de mauvais augure.

CINQ : Les tests de diagnostic pour le nouveau virus non prouvé sont mis en place. Ils crachent de fausses "preuves" d'"infection" comme les pièces d'une machine à sous à jackpot. Ces faux positifs sont une caractéristique inhérente aux tests.

SIXIÈMEMENT : Ainsi, tous les nombres de cas et de décès, qui sont basés sur les tests, n'ont plus de sens. Et... ils étaient déjà sans signification, parce que le supposé nouveau virus "testé" n'a jamais été correctement découvert en premier lieu.

SEPT : Néanmoins, ces tests (plus le diagnostic oculaire inutile) sont utilisés pour établir les rapports officiels sur le nombre de cas. Pendant toute la durée de l'"épidémie", les rapports ne cessent d'affluer et les chiffres ne cessent d'augmenter. Dans la structure fondamentalement dénuée de sens de ces rapports, on manipule les totaux pour les rendre plus impressionnants et effrayants.

HUIT : Des gens tombent réellement malades et meurent, mais pour la plupart, il s'agit de personnes qui meurent de maladies traditionnelles et de longue date - maladies de type grippal, pneumonie, autres infections pulmonaires, etc. Ces personnes sont "reconditionnées" sous le label de la nouvelle épidémie, par exemple "COVID". La description officielle de la "nouvelle maladie épidémique" - les symptômes cliniques - est suffisamment générale pour permettre facilement ce reconditionnement.

NEUF : S'il y a une nouvelle maladie, elle peut être expliquée par des causes qui n'ont rien à voir avec le prétendu nouveau virus. Par exemple, une campagne de vaccination toxique. Un médicament hautement destructeur. Des pesticides hautement toxiques.

DIX : Au fil du temps, la définition de l'épidémie est arbitrairement élargie pour inclure davantage de symptômes et de caractéristiques cliniques, afin de gonfler le nombre de cas.

ONZE : Le contrôle de l'information sur l'"épidémie" est renforcé au sommet. Les têtes parlantes, de la presse et des agences de santé publique, en savent autant sur la science réelle que les lapins en savent sur les frappes de drones. Mais ils sont "aux commandes". Les informations dissidentes sont attaquées et censurées.

DOUZE : Les médicaments et les procédures médicales (par exemple, les ventilateurs) utilisés pour traiter les patients sont très nocifs. Si un vaccin est mis en place, il est lui aussi toxique. Les maladies et les décès résultant de ces attaques médicales et d'autres sont comptabilisés comme des "cas d'épidémie causés par le virus". Ouvert / Commentaire

2022-07-19 14:46:52 Perronne et le virus fantôme de la variole! Ouvert / Commentaire

2022-07-19 14:43:59 Ouvert / Commentaire

2022-07-19 12:42:36 Ouvert / Commentaire

2022-07-18 22:03:59 Un fait irréfutable!

Et ses deux conclusions inéluctables!

FAIT : il n'a jamais été démontré qu'un "virus" pouvait provoquer (par lui-même) certains symptômes chez l'homme ou l'animal.

Cela signifie qu'il n'existe aucune base scientifique permettant d'affirmer qu'un "virus" existe en tant que mécanisme d'apparition de maladies chez l'homme ou l'animal.

PAR CONSÉQUENT, il ne peut y avoir aucun mérite à un quelconque "vaccin" puisqu'il est impossible de fabriquer un "vaccin" contre un virus dont on ne peut même pas prouver l'existence.

IL N'Y A PAS DE "VIRUS" Ouvert / Commentaire