2021-11-28 20:18:28
De plus, un groupe à l'OMS publie pour la deuxième fois un rapport interne demandant à changer la classification du COVID, le faisant passer d'une maladie respiratoire à une maladie cardiovasculaire.
Le rapport conclut par un paragraphe qui pourrait se révéler intéressant pour la suite : Omicron semble avoir évolué en ce sens, avec des symptômes respiratoires différents et plus faibles, pas de perte d'odorat, par exemple, mais un impact cardiaque plus important entraînant une réaction corporelle globale avec des effets potentiels à long terme plus dangereux pour le cœur qui doivent être étudiés à tout prix.
Souvenez-vous, je vous ai parlé d'un premier variant qui serait le candidat à une nouvelle famille, totalement différente. Pour que ce nouveau variant représente un danger, il faut cocher deux cases :
1. Un mode de transmission différent.
2. Un mode de développement différent.
Ici, on voit que les deux cases sont cochées. Je ne pense pas qu'Omicron soit un danger à court terme comme l'ont été les premiers. Il semble se transformer en maladie plus perverse, plus discrète, et donc sournoise.
Si celle-ci peut se transmettre sans aucune résistance (échappant au vaccin), avec des effets cardiovasculaires accrus, on pourrait se retrouver par la suite avec des nouvelles épidémies courtes mais répétitives et meurtrières de descendants d'Omicron imprévisibles.
Encore une fois, tout est flou pour le moment. Le problème d'Omicron c'est qu'il a été sélectionné pour être le plus évasif possible, ce qui signifie le plus de mutations possibles à la fois, et chacune de ces mutations peut engendrer des choses différentes que nous devrons étudier ces prochains mois.
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