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[1] Ceci montre qu'il n'y a pas de différence chez le cheikh A | Muhammad Wora



[1] Ceci montre qu'il n'y a pas de différence chez le cheikh Al-islām Ibn taymmiyyah entre les textes parlant des menaces et la question du takfir, le cheikh voit que le takfir fait partie de la menace. Donc, de la même manière que le musulman n'est pas puni s'il n'a pas reçu la preuve, de cette même manière il n'est pas jugé mécréant s'il n'a pas reçu la preuve. De la même manière qu'il ne faut pas qu'il y ait des empêchements pour que le musulman subisse ce que renferme les textes de la menace de cette même manière il ne faut pas qu'il y ait des empêchements pour qu'on le juge mécréant. De la même manière qu'il y a des conditions pour que la menace s'applique sur le musulman, de cette même manière il y a des conditions pour que le takfir s'applique sur lui. Il n'y a pas de différence chez Ibn taymmiyyah concernant cela ! Et j'ai déjà évoqué plusieurs paroles du cheikh Al-islām prouvant cela dans différents cours. Et c'est évident ! car le takfir du musulman parce qu'il est tombé dans un annulatif de l'islam implique son éternité en enfer s'il meurt dans cet état vu qu'il est devenu apostat contrairement à ceux qui parlent d'apostats qui seront éprouvés le jour dernier, ce qui n'existe pas dans les textes. Et Celui qui ne comprend pas la position du cheikh Al-islām Ibn taymmiyyah qu'on a évoquée dans cet écrit, il lui fera dire ce qu'il n'a pas dit.

[2] Ceci est une réfutation des propos de ceux qui déforment l'avis du cheikh Al-islām Ibn taymmiyyah sur ce sujet en prétendant que pour le cheikh Al-islām Ibn taymmiyyah la présence du Coran ou de la preuve suffit pour qu'on dise que l'argument a été levé contre le musulman qui tombe dans un annulatif de l'islam par ignorance, même s'il n'a pas pris connaissance de la preuve ou même s'il n'a rien compris de la preuve, même s'il a des ambiguïtés considérables.

[3] Quant à ceux qui ont dit que le sens ici est : Si Allah fait preuve de sévérité à mon égard il me châtiera d'un châtiment qu'il n'a infligé à aucune personne au monde. Nous disons que cette interprétation est fausse, le cheikh Al islām Ibn taymmiyah a réfuté cela [voir Majmou؏ Al-fatāwah 11/410].
Et ce qui montre la fausseté de cette interprétation, c'est que si c'était ce qui était visé dans sa parole, alors le fait de demander à ses enfants de le réduire en cendres puis d'éparpiller ses cendres dans la mer n'aurait eu aucun intérêt étant donné qu'il savait selon vous qu'Allah allait le ressusciter même dans cet état, qu'il en est capable, et il savait qu'Allah le savait. De plus, c'est venu dans une version que l'homme a dit : Puis éparpillez-moi dans la mer lorsqu'il y aura un jour venteux, peut-être pourrais-je échapper à Allah. [rapporté par l'imam Aḥmed n° 30012 et authentifié par le cheikh Al-Albāni dans ṣaḥiḥ Al-jāmi n° 1017. C'est pour cela qu'il va sans dire qu'il a demandé ce qu'il a demandé à ses enfants parce qu'il a justement cru qu'il se peut qu'Allah n'arrive pas à le ressusciter dans cet état, or ce doute est une mécréance sans divergence.