2021-12-21 22:38:49
Déjouer le scientifiquement correct
Les antifas du scientifiquement correct, appelons les
LES SCIENTIFAS, ont pris une certaine avance sur les adeptes du réalisme racial.
Leur coup de génie a consisté à créer la Zététique comme discipline d'investigation puis comme tribunal.
Au départ la zététique s'échauffe en s'attaquant aux superstitions modernes ; c'est sa phase d'investigation.
Instructive, distrayante, fun, elle gagne des adeptes en montrant son utilité dans l'acquisition de l'autonomie intellectuelle, et se rend incontournable pour penser en adulte.
Elle est sérieuse et cool à la fois.
Elle permet de dominer les débiles arrogants, et de ridiculiser les racailles du sophisme.
Vincent Lapierre , en zététisant soral avec cette méthode, dans sa video façon "arrêt sur image", a signé de loin la meilleure crucifixion intellectuelle de notre national islamiste.
Mais rapidement, après sa phase "gentille", la zététique devient le tribunal des concepts "de droite".
Des concepts que les
scientifas trouvent "fixistes" (comme
race, espèces et sexe, par exemple), sont déclarées caduques et donc désactivés et moqués.
On retrouve à cette occasion toute la psycho rigidité arrogante, des intellects qui ne vivent que par les chiffres officiels, et dénient toute valeur à l'expérience.
Les "bonnes pratiques" de raisonnement sont mise en avant dans la phase d'investigation, et
se transforment en réflexe de pensée, pour mettre la pensée de droite en joue dans la deuxième phase.
Les esprits sont séduits. Et ne voient pas le tour de passe passe idéologique.
Plus un adversaire idéologique devient autiste dans un débat, et recourt à une boucle argumentative, plus on s'approche du recourt à l'illusion logique et du basculement vers une dimension philosophique du problème. (On sort de la science pour être clair)
Plus on va entendre des termes dont le sens aura été privatisé, et détourné, et plus les spécialistes vont sortir de leur domaine d'expertise.
L'exemple d'Evelyne Hayer à ce sujet est flagrant : Dans ses nombreuses conférences sur le sujet des races, elle a besoin de conclure que les races n'existent pas.
Mais elle doit d'abord admettre que les faits scientifiques rendent cette conclusion difficile.
Alors en fin de conférence, elle va glisser vers une conclusion qui ne devra plus rien à la science :
Conclure à l'existence des races serait impossible, à cause du risque "d'essentialisation" et de "hiérarchisation".
Deux notions empruntées à la philosophie et à la morale.
Evelyne Hayer, scientifique en début de soirée. Prêtresse et philosophe après 21h30. Anime les gouters d'anniversaire et les banquets de mariage.
Débusquer ces faussaires en mettant du sable dans les engrenages de leurs discours, est simple, jouissif et gratifiant.
En privatisant l'espace du débat scientifique, les
scientifas font croire que le débat est achevé,
alors qu'il n'a en fait jamais eu lieu.
Leur censure méthodique vis à vis de ceux qui leur portent la contradiction, est la preuve qu'ils sont conscient de l'enjeux.
Lorsqu'on accepte de débattre avec les pires débiles conspi de la planète, sur des questions farfelues, et qu'on refuse de le faire sur les sujets à fort enjeux politique, c'est le signe que l'on est plus suffisamment maître du sujet.
Les
scientifas n'aiment pas le risque. Ils ne partent à la bataille que lorsqu'ils sont sûrs de pouvoir ridiculiser l'adversaire.
Face à un adversaire qui a installé sa tactique de persuasion, et bénéficie d'une avance culturelle, il faut donc jouer les naïfs.
Afin de le faire entrer dans un cercle vicieux d'annulation de ses efforts précédent, sans se mettre en risque ni se fatiguer intellectuellement :
"Sauriez vous débattre de cette question ?"
"Peut-on assister à un débat critique autour de ces notions ?"
"Nous avons besoin qu'un débat ait lieu à ce sujet"
Harcelez la forteresse en un seul point de ses remparts.
58 viewsExcellsium W, edited 19:38