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Description de la chaîne

Amour, Absinthe, Revolution

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Les derniers messages 492

2021-09-07 08:00:44
212 views05:00
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2021-09-07 08:00:40 Ceux qui m'ont déjà fait l'honneur de me lire savent que je n'ai pas l'habitude de désigner sous le nom d'imbéciles les ignorants ou les simples. Bien au contraire. L'expérience m'a depuis longtemps démontré que l'imbécile n'est jamais simple, et très rarement ignorant. L'intellectuel devrait donc nous être, par définition, suspect ? Certainement. Je dis l'intellectuel, l'homme qui se donne lui-même ce titre, en raison des connaissances et des diplômes qu'il possède. Je ne parle évidemment pas du savant, de l'artiste ou de l'écrivain dont la vocation est de créer – pour lesquels l'intelligence n'est pas une profession, mais une vocation. Oui, dussé-je, une fois de plus, perdre en un instant tout le bénéfice de mon habituelle modération, j'irai jusqu'au bout de ma pensée. L'intellectuel est si souvent un imbécile que nous devrions toujours le tenir pour tel, jusqu'à ce qu'il nous ait prouvé le contraire.

Bernanos, La France contre les Robots, 1945.
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2021-09-07 07:15:10
7 septembre 1101 : début de la bataille de Ramla.

Les armées franques du roi Baudouin de Jérusalem avec 260 chevaliers et 900 fantassins défont les Égyptiens qui sont plus de 10.000 hommes. Le roi a divisé son armée en cinq corps et prend le commandement des deux derniers, avec la chevalerie de Jérusalem accompagnée de la Vraie Croix. Les trois premiers attaquent successivement, le 7 au matin, et sont détruits. Avec le restant de ses troupes Baudouin écrase les Egyptiens qui lui sont plus de dix fois supérieurs, puis revient le 8 à Ramla s'emparer de leur camp.
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2021-09-06 23:17:11 «Aussi sur que la menace justifie du pire justifie ton vote, le réac te justifie. Il faut des grossiers comme lui pour qu'en son miroir tu sembles fin, des incarnations du vieux monde pour que le tien passe pour nouveau.
Votre numéro de duettistes est un chef d’œuvre de complémentarité. Il aboie, tu t'indignes, il aboie contre tes indignations, tu te rindignes, il raboie. il veut franciser ton prénom africain, tu démarres au quart de tour, il pouffe content de son coup, tu réclames son boycott, il jubile de cette censure, tu jubiles de l'assumer.
Vous allez si bien ensemble.
Vous parlez la même langue, usant du même lexique idéel. Tu aimes l'idée de métissage, il n'aime pas cette idée; tu aimes le devoir de mémoire, il n'aime pas la repentance. Pendant deux heures vous vous invectivez autour de ces abstractions, le plus savoureux étant que vous le faites en vous revendiquant du réel: toi celui de la mondialisation à laquelle il faut s'adapter, lui du pays réel des vrais gens oubliés par les bien pensants angéliques. Tu l'appelles diable, il t'appelle bisounours, c'est rodé. »

François Bégaudeau, Histoire de ta bétise, Pauvert.
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2021-09-06 23:16:43
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2021-09-06 22:35:18
Jean-Paul Belmondo lit Louis-Ferdinand Céline.
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2021-09-06 21:00:34
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2021-09-06 21:00:31 histoire de vengeance en province giscardienne.... Bon, et avant d'oublier, ce Classe tous risques (1960), très belle histoire bien rythmée d'amitié virile entre truands filmée en noir et blanc par un Sautet pas encore metteur en scène de la bourgeoisie cool giscardienne.

UN FANTOME RUE DE CASTIGLIONE...

J'en oublie sûrement, tant Belmondo fut grand, même dans des films dispensables. C'est, et je ne suis pas très original sur ce coup, toute une époque de ce pays et de son cinéma qui est morte officiellement ce lundi, même si Belmondo se survivait depuis au moins 20 ans, avec ou sans Yorkshire...

Mon plus récent souvenir de Belmondo ? C'était rue de Castiglione, au printemps 2002 : un grand type (me semble-t-il) avançait en sens inverse de moi sur le trottoir de l'Hôtel Intercontinental. Il avait une démarche hésitante, comme ralentie, et une gueule tordue et crispée... Mon dieu, Belmondo ! C'était quelques mois après son AVC. Je ne sais même pas s'il m'a vu. Les gens se retournaient sur ce fantôme illustre. Le fantôme d'un héros bondissant et sympathique du précédent millénaire..

Pierre Robin
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2021-09-06 21:00:30 LA JEUNESSE SE SOUVIENT (ET SE SOUVIENDRA LONGTEMPS) !

JEAN-PAUL BELMONDO (1933-2021)

Hier je mets une photo de lui sur cette page, dans un de ses grands films avec Gabin, et ce lundi il meurt.... Jean-Paul Belmondo est mort et il ne reste plus que son copain, contemporain et grand rival français Delon, terriblement seul et douloureusement survivant de toute une Atlantide. La chose est connue : Delon était beau, Belmondo était sympa, et ainsi allait notre cinéma pendant une trentaine d'années essentielles...

VU D'ABORD A LA TELE...

Mon plus vieux souvenir de Belmondo ? Voyons, c'était justement une collaboration, suivi d'une confrontation procédurale, avec Delon, le Borsalino de Jacques Deray (1970) : Delon y était donc très beau, Belmondo très sympathique... Bon et sans doute au hasard de la télé à 2 ou 3 chaînes, je vis Belmondo en soldat gavroche de la débâcle de l'an 40 dans l'excellent Week-end à Zuydcoote d'Henri Verneuil (1964) ; en curé de campagne à soutane très sérieux dans Léon Morin prêtre de Jean-Pierre Melville (1961). Et puis bien sûr, il restera le Tintin français bondissant de l'Homme de Rio de Philippe de Broca (1964) qui continue dans mon souvenir à courir dans le désert moderniste de Brasilia ; le Cartouche bandit au grand coeur et pas trop historique (encore de Broca, 1962). Et puis il y a ce film hussard ou en tous cas " blondinesque ", Un Singe en hiver (1962) où, comme Delon, un Belmondo de 29 ans affrontait le commandeur Jean Gabin, et remportait ce défi dans une petite station balnéaire normande de rêve.

Je commençai sans doute à le voir dans une salle obscure avec Les Mariés de l'an II de Rappeneau (1971) où déjà Bebel perçait sous Belmondo qui nous refaisait - et c'était très réussi - l'homme de Rio en tricorne révolutionnaire. Et la même année - on allait beaucoup au cinéma quand on était lycéen ! - Le Casse d'Henri Verneuil, où JPB jouait un gangster high-tech embêté par l'inspecteur Omar Sharif dans la Grèce des colonels. Et un peu plus tard encore L'Héritier de Philippe Labro (1972) : là il était le golden boy qui montait, dans une Italie dangereuse et soit-disant à la veille de tomber aux mains des néo-fascistes.

Et puis, et puis... Bébel vint enfin, dans des films de super-flics sportifs à très grand public et qui n'ont pas tous volé leur immense succès : Peur sur la ville de Verneuil (1976) avec son inoubliable numéro de " saute-métro ", où Bébel faisait son Jean Marais non doublé en blouson de cuir et pattes d'éléphant, bien sûr, mais aussi mes préférés : L'Alpagueur de Philippe Labro (1976), qui vaut surtout par le méchant du film, l'inquiétantissime Bruno Cremer ; et encore Le Professionnel de Georges Lautner (1981), avec ses répliques politiquement incorrectes (aujourd'hui) et son duel palpitant avec le très malsain commissaire Rosen/Robert Hossein.

IL Y EUT UNE VIE AVANT BEBEL...

Evidemment des pitreries acrobatiques comme Le Guignolo, les Morfalous, Le Magnifique, ou L'As des as allaient enfoncer notre héros dans une case " divertissement franchouillard à gros moyens " qui tendrait à faire oublier qu'il avait été différent et plus intéressant, " avant "..

Avant ? En fait il m'a fallu vieillir un peu, cesser d'aller au cinéma en somme, pour le découvrir vraiment ce Belmondo originel : les happenings de Godard, A bout de souffle qui commençait une décennie sur un ton nouveau sinon passionnant et puis Pierrot le fou, dont je n'ai retenu que la fin kamikaze et la magnifique photo de Raoul Coutard ; des policiers tragiques comme Un nommé La Rocca de Jean Becker (1961) et le Doulos de Melville (1962), La Scoumoune de José Giovanni (1972), et aussi L'Aîné des Ferchaux (1963) sur le tournage duquel Belmondo faillit tarter Melville, qui rudoyait le vénérable et estimable Charles Vanel : tiens c'est vrai que Belmondo a été un grand acteur melvillien, comme Delon ! Allez je citerai encore Le Corps de mon ennemi d'Henri Verneuil (1976), film policier et chronique sociale d'une ville du Nord, qui voit notre acteur osciller encore entre Belmondo et Bebel mais servir très bien cette
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2021-09-06 20:55:41
Si è conclusa domenica la festa nazionale di CasaPound Italia:“Da qui si riparte con un unico scopo: far tornare potenza la nostra nazione".

Per quattro giorni, più di 3000 persone, hanno preso parte a dibattiti politici e culturali, ma anche a concerti, sport e volontariato.
376 viewsedited  17:55
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