Cela fait un moment que nous sommes à le dire : que la vi | 𝐏𝐬𝐲𝐜𝐡𝐨𝐥𝐨𝐠𝐢𝐞 𝐂𝐥𝐢𝐧𝐢𝐪𝐮𝐞™

Cela fait un moment que nous sommes à le dire :

que la violence ne fait qu'engendrer de la violence, telle une roue infernale sans fin.

qu'aussi la violence dans les mots écrits, pensés et dits, dans les gestes, dans les actions et interactions, est une épée à double tranchant : elle heurte la personne qui heurte et celle qui reçoit la violence.

La violence mène à l'abus dans les mots, les paroles (dont les rumeurs et la propagande par ex) les gestes, les actions et les interactions.

que ce qui a permis à cette tyrannie d'être en place ce sont tous nos espaces blessés intérieurs non guéris.

que la non'violence commence par soi, envers soi et donc autrui, tout autour de nous et qu'en ce sens nous faisons partie du problème.

que c'est donc une invitation urgente à changer nous-mêmes sans attendre que l'autre le fasse.

que cette une urgence à tout mettre en place pour être la belle personne que nous sommes né'e's d'être (en cessant de s'immiscer dans la vie d'autrui, en ayant des paroles bienveillantes, des gestes doux, en aidant de manière désintéressée, en se réjouissant d'un changement pour autrui qu'il est essentiel là aussi de ne plus juger, en laissant autrui vivre, penser, agir et interagir de la manière dont il ou elle ressent être juste pour elle, lui, de ressentir vraiment de la compassion et d'agir vraiment la compassion envers toute personne en détresse.

qu'ainsi la non'violence est notre sortie.

Car seul l'amour désintéressé guérit et nous embellit.

que cette action de non violence assise ou debout en silence fait partie d'actions que nous pouvons poser ou rejoindre.


Voilà comment j'aime à agir