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Salut à toutes et à tous . Aujourd'hui, nous allons parler | 𝐏𝐬𝐲𝐜𝐡𝐨𝐥𝐨𝐠𝐢𝐞 𝐂𝐥𝐢𝐧𝐢𝐪𝐮𝐞™

Salut à toutes et à tous .

Aujourd'hui, nous allons parler du désir de reconnaissance ou encore le désir d'être reconnu
Qui parmi nous ne veut pas être admiré, vu, reconnu, briller aux yeux des autres ? . Et bien, tout le monde est concerné. Sauf que là, le désir d'être reconnu dont il est question n'a rien avoir avec le fait d'être apprécié ou admiré .

ENTRE LE RECONNAISSANCE ET LA GRATITUDE, IL Y A UNE NUANCE mais ce n'est pas le but de cette publication

Généralement, lorsqu'on parle du désir d'être reconnu, on pense aussitôt à des qualités ou aux attributs positifs d'un individu.
Exple: Lorsqu'on dit d'un individu reconnu pour son talent, pour son courage ou pour ses efforts. Et dans ce sens, être reconnu, c'est être perçu comme ayant de la valeur, comme possédant une qualité exceptionnelle qui nous distingue des autres. On peut citer les artistes, les sportifs, les célébrités...

Mais la reconnaissance dont nous allons parler demeure quelque chose de subtile à laquelle on ne prête guère attention. ETRE RECONNU, c'est être reconnu capable d'autodétermination; capable de vouloir et de choisir; capable de dire oui ou non !

Exemple: Dans un supermarché, tu aimerais prendre une glace à la fraise. Mais ton ami te propose une glace à la vanille. Malgré que tu l'ai signifié ta volonté de prendre la fraise, il insiste que tu prennes la vanille.
Sur ce fait, qu
'est-ce qui se passe dans notre intérieur ? On ressent une absence de prise en compte de notre volonté. On a l'impression qu'on nous impose quelque chose au lieu de nous la proposer. ( Proposer quelque chose, c'est donner la possibilité à celui à qui on propose de refuser. Or, imposer, c'est de ne lui laisser aucun choix ). Dans la proposition, la volonté de l'individu est respecté et considéré, à la différence de l'imposition où sa volonté n'est pas reconnue.

Cet simple exemple ne nous montre pas que la non-considération de la volonté d'un individu. Mais bien plus encore, c'est ne plus considérer l'individu comme un être libre. Et quand on ne reconnaît plus à l'individu sa liberté de choisir et de décider, c'est le considérer comme une chose dont on dispose . Une chose à un prix, et lorsqu'on paie le prix, la chose devient notre propriété. Un individu n'a pas de prix et ne peux, en aucun cas, devenir la propriété d'un autre individu.
Chaque individu possède sa dignité, sa volonté et son projet. Nier la volonté d'un individu, c'est nier son humanité, c'est nier sa dignité.
On peut forcer un individu à faire quelque
chose, mais jamais on ne peut le forcer à penser quelque chose ( C'est vrai que la religion et les médias exercent de fortes influences sur notre manière de penser et d'ailleurs je t'invite, toi qui lis, à évaluer la liberté de ton esprit )

Chosifier, ou nier l'humanité d'un individu, nous tous, nous le faisons tout le temps . C'est même devenu un fonctionnement ordinaire pour nous. Malheureusement, c'est vrai. A partir du moment où on dit à quelqu'un qu'il doit faire ceci ou cela, on considère que l'autre a besoin de nous pour savoir ce qu'il doit faire. C'est considérer qu'on a un droit de propriété sur la volonté de l'autre. A partir de moment où nous disons à quelqu'un qu'il a tort de penser ce qu'il pense ou qu'il a tort de dire ce qu'il dit, ou encore qu'il a tort d'agir comme il agit, nous nous faisons maîtres ou maîtresses de la vie de l'autre.

Chose bizarre, c'est qu'il existe des situations où imposer notre volonté à un individu paraît normal et légitime.
Exple: Un parent qui impose des règles à son enfant; le professeur qui donne des devoirs à un élève; un patron qui dicte des règles à son subordonné. Ce qui est remarquable dans ses exemples, c'est qu'il existe une relation de hiérarchie. Et par là, on peut conclure que la négation de la volonté de l'autre est la conséquence d'une relation de verticalité.