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Mon plan. Etape 1 : En finir avec le déficit public. C'est ce | Peter Columns

Mon plan.

Etape 1 : En finir avec le déficit public. C'est ce qui motive les plus gros volumes de l'immigration légale et illégale. Nous devons sortir de ce cercle vicieux d'endettement. Depuis les années 80 nous avons mis en place une politique de changement de peuple et de croissance artificielle, plutôt que de dire la vérité aux électeurs. Aujourd'hui, nous sommes en bout de course, avec l'inflation et une société de plus en plus instable. Ce modèle artificiel n'est plus soutenable et l'ajustement doit avoir lieu. Sinon ce sera la catastrophe absolue. Il faut évidemment reculer l'âge de la retraite, plafonner les pensions, avoir une politique d'allocations sociales plus intelligente, réduire les budgets associatifs, arrêter les investissements dans la transition écologique et dans l'intégration de l'immigration qui sont faits en pure perte. Difficile de faire encore des économies sur le reste.

J'avais abordé une solution : remplacer le système social actuel par un revenu universel avec la suppression des prestations sociales existantes (en dehors des soins). Ça permettrait aux Français de souffler, de refaire des enfants, de rééquilibrer le système. Les gagnants seraient les petites retraites et les couples actifs qui payent plein pot pour tout le monde. Le système de retraite par répartition serait donc supprimé, en laissant une partie par capitalisation qui permettrait que les grosses retraites ne soient pas trop lésées. Les perdants : les familles nombreuses sans activité.

Etape 2 : Contrôler le vieillissement de la population et arrêter le remplacement. Une société ne peut pas fonctionner si le vieillissement de la population devient trop avancé. En 2050, on prévoit désormais que 50% de la population ne sera plus en état de travailler au Japon et en Italie. Ce n'est déjà plus soutenable aujourd'hui. Le vieillissement est la première cause du coût du modèle social occidental. Les gens ne peuvent plus faire d'enfants ni investir dans l'avenir car on les ponctionne à l'extrême pour rendre soutenable ce déclin démographique. Là aussi est la cause première des délocalisations de l'industrie et de l'immigration de travail pas chère. Il faut donc une politique nataliste radicale, qui cible les populations autochtones. Nous devons remonter à minima à 1.8 de taux de fécondité afin de rendre la décroissance démographique soutenable. La population autochtone française aujourd'hui est à 1.62. C'est parfaitement possible à atteindre.

Etape 3 : Reconstruire une économie dans un contexte de baisse démographique. La richesse nationale des pays occidentaux va nécessairement baisser. Mais ça ne veut pas dire que la richesse de chaque individu va décroitre. Il va falloir pratiquer une politique d'immigration intelligente en expulsant tout ce que nous pouvons expulser : délinquants et inactifs, pratiquer l'aide au retour, tout en menant en parallèle une politique d'immigration de travail stricte sans aucune naturalisation. Le solde migratoire doit devenir négatif, et l'immigration qui rentre doit devenir vraiment bénéfique, et non-islamique. Il faut massivement investir dans la robotique et l'intelligence artificielle, et dans la science en général, pour que le niveau de vie ne s'effondre pas. C'est en baissant considérablement le coût des biens et des services que nous pourrons garder une société développée tout en encaissant une baisse de la démographie. Et cela doit rester notre cap pour que notre société ne s'émousse pas mentalement. Nous ne sommes pas faits psychologiquement pour décroitre. Nous pourrions mettre en place la politique de sanctuarisation du vide, et les projets scientifiques garderaient la société intacte et permettraient d'imaginer des perspectives de croissance futures.