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ivé avec un monsieur et ils ont transporté le corps de maman d | Les Chroniques Therapeutiques

ivé avec un monsieur et ils ont transporté le corps de maman dans la voiture. Je suis montée et on a roylé à vive allure jusqu’à l’hôpital. Durant le trajet, je priais en pleurant. J'avais peur de perdre ma mère. J'avais peur de perdre mon frère aussi. Je les voulais tout les deux en vie. Ils avaient besoin de faire la paix. J'ai encore besoin d’eux.
Dès que sommes arrivés, les infirmiers sont venu vers nous avec un brancard. Le premier qui l'a touché à dit le verdict.

Infirmier : C'est à la morgue qu’il faut aller madame.

Moi : (paniquant complètement) Comment ça à la morgue ?

Infirmier : Son cœur a cessé de battre.

Moi : (hurlant sur lui) Je j’interdis de me dire ça. Tu comprends ! Fais ton job, va soigner ma mère. Sinon, je porterai plainte. On va fermer votre putain d’hôpital.

Infirmier : madame, elle est morte. Regardez vous-même !

Moi : (hystérique) tu n'es qu’un garçon de salle. Comment peux-tu donner un tel diagnostic. Gare a toi si ma mère perd la vie à cause de ton incompétence. Faites pendant qu’il et encore temps.

Voix : Que se passe t-il ?

Infirmier : Ils nous ont amené un corps qui devrait aller à la morgue. Mais la…

Moi : Ferme ta putain de bouche idiot. Ma mère vit. Elle s'est juste évanouie. C'est tout. Pardon docteur faites vite.

Le docteur s'approche de ma mère et la tâte sur le cœur, et autres parties. Je le suis de très prêt. Il se relève, me regarde sans émotions.

Docteur : Désolée madame. Votre mère a rendu l’âme.

Moi : NOOoon elle était en vie en arrivant ici. Rendez moi ma mère. Rendez là moi. Je ne veux rien entendre. (Me ruant sur le corps inerte de maman et la secoua y de toutes mes forces) lève toi maman. Lève-toi on va rentrer. Ces gens ne veulent pas te soigner. Maman pardon lève-toi. SNIF, (voix brisée) je t'en prie ne me laisse pas. Ingrid lève toi. Je te promet que je prendrai mieux soin de toi. Je te gâterai comme la reine que tu es. Lève toi maman. Allons à la maison. Tu vas me laisser à qui ? Pitié maman, SNIF. Pitié !

Je m'assois sur le sol en pleurant. Mon monde vient de s’écrouler. Ma mère s'en est allée, sans me dire au-revoir.

Moi : A qui me laisses-tu maman ? A qui laisses-tu ton Yannick ! Lève-toi maman. Pardon ne me fais pas ça.

C'est Sali et le monsieur qui se sont chargé d'amener le corps à la morgue et de revenir me chercher pour me déposer à la maison. Sali me regardait avec pitié, ça m'a rappelé qu’il était venu avec une nouvelle.

Moi : (voix cassée) Où est mon frère ? Dans quel hôpital l’a-t-on emmené ? Je dois le voir. S'il te plait pourrais-tu m'y emmener ?

Sali : (fuyant mon regard) la big, je t'y amènerai plus tard. Pour l’instant, repose toi. Tu en as besoin.

Moi : L’accident était grave ? Il est blessé ?

Sali : Tu verras par toi-même. Profite pour appeler ta sœur.

Moi : Merci beaucoup Sali.

Je suis allée me coucher sur le lit de maman en pleurant ma douleur.

* Alida *
Je regarde ma montre en voyant mon mari rentrer du boulot. Hum ? Mick sait rentrer a la maison à treize heures ? C'est possible ça ? Sa mine est triste. Il se dirige vers moi et me serre dans ses bras. Je ne comprends rien mais ça me fait du bien qu’il me prenne ainsi dans ses bras.

Mick : Soit forte chérie. Je serai là pour t'épauler. Il était peut-être chiant mais c’était ton frère. Je suis désolé pour ce qui lui est arrivé.

Je me décolle de lui, confuse.

Moi : De quoi me parles-tu ? Je ne comprends rien.

Mick : Personne ne t'a appelé ?

Moi : Pourquoi devrait-on m'appeler ?

Mick : (Me prenant dans ses bras.) Ton frère a eu un accident de circulation.

Moi : (main sur la poitrine) Quel frère !

Mick : Yan.

Moi : Noooo !

Mick : (mine désolée) Il est mort sur le coup…

Moi : Non !!!! ce n’est pas vrai. Ce n’est purement pas mon Yannick. Pourquoi personne ne m'a appelé ? Même pas un message. Qui te l'a dit ?

Mick : Un collègue était là quand c'est arrivé. Il a reconnu Yan avant que la voiture ne le heurte. Quand les ambulanciers n’ont arrivés, il n’y avait plus rien à faire. Il n’était pus là.

J'ai fondu en larmes en l’accrochant à lui.

Moi : Ce n'est pas vr