2024-05-08 20:24:26
Si vous ne le saviez pas plus tôt, nous devons répéter qu'il existe une abondance de preuves que pour presque tous les patients adultes un traitement ambulatoire efficace et sûr dès l'apparition des symptômes de la Covid, rend l'hospitalisation ou le décès extrêmement improbable... Rappel ! Les enfants en bonne santé courent un risque négligeable de décès lié à la covid et il n'y a jamais eu de cas clinique pour leur injecter le vaccin covid. Beaucoup d'entre vous se sont rendus compte qu'on s'était littéralement fait duper. Par exemple, le nombre moyen d'admissions à l'hôpital a diminué pendant la pandémie, ce qui n'est pas ce à quoi le public s'attend lorsqu'un agent pathogène fait des ravages. Les vaccins Covid ont également été inutiles car les taux de vaccination élevés n'ont pas eu d'impact notable sur la transmission. En revanche, la mortalité et les événements indésirables rapportés associés sont plus élevés que tous les autres vaccins combinés sur 30 ans. Si les institutions continuent à ignorer les signaux de sécurité, elles ne font pas preuve de diligence raisonnable pour protéger les patients. Le besoin de recherche est urgent ! Voici quelques paragraphes d'une lettre récemment envoyée à une personnalité éminente, sous le pseudonyme d'Aussie17 (plus d'info https://www.aussie17.com/p/aussie17s-u-turn) qui soulève même un besoin de suspension immédiate de cette technologie vaccinale ARNm.
« je suis un ancien cadre supérieur pharmaceutique possédant une vaste expérience à Singapour, qui a quitté l'industrie en 2021 en raison d'inquiétudes concernant les vaccins expérimentaux à ARNm. Même si je ne suis pas opposé aux vaccins en général (j’en ai commercialisé par le passé), j’ai consacré les trois dernières années à faire connaître le caractère expérimental de la technologie de l’ARNm, sans aucune compensation financière.
La littérature scientifique émergente concernant les vaccins à ARNm aboutit de plus en plus à des conclusions troublantes. Une étude de la Cleveland Clinic publiée le mois dernier indique que des doses supplémentaires peuvent augmenter le risque de réinfection, https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2024.04.27.24306378v1.full.pdf. La recherche de Nakahara&al ont découvert que le cœur des individus vaccinés diffère dans 100% des cas de celui de ceux non vaccinés, https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/37724969/. Une publication récente de l'Université Brown, dirigée par le Dr Wafik El-Deiry, révèle que la protéine Spike pourrait inhiber les gènes p53, augmentant potentiellement le risque de cancer, https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2024.04.12.589252v1. Des découvertes de contamination de l'ADN dans le vaccin Pfizer ou Moderna ont été rapportées par plusieurs laboratoires indépendants, https://osf.io/preprints/osf/mjc97 (Des confirmations indépendantes proviennent de l'Université de Caroline du Sud, d'Allemagne et du Japon). Des rapports d’autopsie de cas mortels de myocardite induite par le vaccin COVID-19 ont été publiés, https://onlinelibrary.wiley.com/doi/full/10.1002/ehf2.14680. Des questions sont soulevées quant à savoir si la N1-méthyl-pseudouridine utilisée dans les vaccins à ARNm est cancérigène. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/38583833/ » Il n'y a maintenant pas d'autre alternative que d'imposer un moratoire sur les injections ARNm pour permettre une analyse rétrospective et une réévaluation minutieuse...
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