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4/ Les rapports de 'l'accident' n'ont jamais été rendus public | Hakounamatata.tv 📺

4/ Les rapports de "l'accident" n'ont jamais été rendus publics et ont disparu des archives du BEA comme de l'Aérospatiale.

5/ Aucun témoin auditionné, aucune enquête judiciaire menée. Ce que le rapport de l'aviation civile au Mali résume en une phrase : "L'enchaînement rapide des évènements n'a pas permis d'auditionner le ou les témoins oculaires".

6/ Car le crash n'a pas eu lieu le 14 janvier 1986 vers 19h, mais la veille, dans la nuit du 13 janvier 1986, pour assurer le nettoyage et le maquillage de la scène du crime.

7/ En effet, c'est le 13 janvier, autour de 22h, que Daniel Balavoine est vu pour la dernière fois, à l'hôtel Gaweye de Niamey (Niger). Il a dîné, puis est monté dans le fameux hélicoptère de Thierry Sabine, stationné sur le parking de l'hôtel.

8/ L'hélicoptère avec les cinq passagers se serait alors crashé au cours de la même nuit dans une zone appelée "le bief", à 20 ou 30 km au nord de Niamey au Niger - et non à Gourma-Rharous au Mali selon la version officielle (sources : deux témoins de l'hôtel à qui l'information a été immédiatement rapportée).

9/ L'hypothèse première est un explosif posé sur le rotor de queue de cet hélicoptère au moment du dîner. Mais le dispositif en vol n'a pas totalement fonctionné, obligeant l'engin à se poser. Des hommes armés ont alors criblé de balles l'engin qui avait redécollé à basse altitude (sources : services de renseignements du Niger).

10/ Marc Pécout, diplomate à Nouakchott en Mauritanie, est réveillé en pleine nuit, le 13 janvier, pour "un accident dans le cadre du Paris-Dakar", nécessitant "un hôpital pour des blessés". On ne parle donc pas de "5 morts sur le coup" selon la version officielle, et sans s'expliquer pourquoi l'hôpital de Dakar le plus proche n'est pas sollicité. Mais ordre est donné de les achever (source : journaliste Jean Pernin