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Il va participer aux grandes raffles . Il meurt le 29 aoĂ»t 198 | Estelle Redpill đŸ‡«đŸ‡·đŸ’Š ⚖

Il va participer aux grandes raffles .
Il meurt le 29 août 1980 à Malaga en Espagne dans le village de Carratraca.

À l’ñge de 82 ans.

Il faisait parti de deux partis politiques, l’action française et le rassemblement anti-juifs de France.

Autre fait reprochés au Maréchal Pétain :

- Le 27 mars 1944 il autorise les français à s’engager pour la Waffen-SS avec l’autorisation de Vichy.

En ce qui concerne Louis Darquier de Pellepoix il prit la fuite en Andalousie aprÚs la libération.
Il est condamnĂ© Ă  mort par la France mais reste en Espagne sans avoir Ă  ĂȘtre inquiĂ©tĂ©.
L’Espagne Ă©tais dirigĂ©e Ă  ce moment lĂ  par le gĂ©nĂ©ral Franco.

Le MarĂ©chal Philippe PĂ©tain dit avoir lors de son procĂšs des amis juifs et qu’il les dĂ©fendait .

Il dit Ă©galement lors de son procĂšs qu’il a toujours voulu sauver la France qu’il avait le couteau sous le gorge.

Qu’il souffrait plus que le peuple français des dĂ©cisions qu’il a eu Ă  prendre, il n’était pas libre de ses choix.
(Selon ses dires).


Un alsacien tĂ©moigne durant le procĂšs de PĂ©tain pour dire qu’il dĂ©testait Hitler et qu’il faisait de la collaboration en apparence avec lui.

Le Maréchal Philippe Pétain écrit une lettre à Hitler le 5 avril 1945 :

« Je ne puis sans forfaire Ă  l’honneur laisser croire, comme certaines propagandes tendancieuses l’insinuent que j’ai cherchĂ© refuge en terre Ă©trangĂšre pour me soustraire Ă  mes responsabilitĂ©s.
C’est en France seulement que je peux rĂ©pondre de mes actes et je suis seul juge des risques que cela peut comporter.
Vous comprendrez certainement la dĂ©cision que j’ai prise de dĂ©fendre mon honneur de chef et de protĂ©ger par ma prĂ©sence tous ceux qui m’ont suivi.
C’est mon seul but, aucun argument ne saurait me faire renoncer à ce projet.
À mon ñge on ne craint plus qu’une chose :
C’est de n’avoir pas fait tout son devoir et je veux faire le mien ».

Hitler propose l’asile politique au MarĂ©chal PĂ©tain en Suisse mais le MarĂ©chal refuse.
Quand Ă  Pierre Laval se fĂ»t refuser l’asile politique en Suisse.
PĂ©tain demande son jugement en France.


En France les communistes voulaient se dĂ©barrasser du MarĂ©chal PĂ©tain parce qu’il y avait trop de français qui l’apprĂ©ciaient et qui le vĂ©nĂ©raient secrĂštement.
Beaucoup de français préféraient Pétain au Général Charles de Gaulle.

Les communistes ont donc exigĂ©s le procĂšs de PĂ©tain d’urgence.
Ils disaient que tant qu’il y aurait PĂ©tain de vivant la France ne serait pas guĂ©rit que PĂ©tain Ă©tait un poison pour la France.


L’article 75 du code pĂ©nal :
« Est coupable de trahison tous français qui en temps de guerre entretiendra des intelligences avec une puissance étrangÚre ou avec ses agents en vue de favoriser les entreprises de cette puissance contre la France ».


Beaucoup de français Ă©taient tracassĂ©s par le procĂšs du MarĂ©chal par rapport Ă  l’estime qu’on puisse porter aux chefs d’états par peur de punir un innocent que l’on regretterait par mĂ©connaissance de la situation en privĂ©.

La seule issue pour que PĂ©tain ne soit pas jugĂ© coupable pour haute trahison c’est l’optique que PĂ©tain agissait avec l’accord des amĂ©ricains et que les actes les plus durs Ă©taient les Ɠuvres de Pierre Laval, François Darlan et Louis Darquier de Pellepoix.

Et que PĂ©tain jouait un double jeu et qu’il y avait une rĂ©sistance secrĂšte par Vichy.
Laval quand à lui fût emprisonné par Franco en Espagne puis fût relùché il assista au procÚs de Vichy.

Pour La défense de Pétain son avocat Monsieur Isorni dit que les allemands voulaient 2 millions de juifs, ils en ont eu 641 000, en contre partie 110 000 prisonniers ont été libérés, 250 000 ont eu le statut de travailleurs libres.

PĂ©tain Ă  sa sentence il est condamnĂ© Ă  mort on lui applique les articles 75 et 87 du code pĂ©nal c’est la mort qui l’attend.

Article 75 ci-dessus.

Article 87 :

« Le complot ayant pour but les crimes mentionnés à l'article 86, s'il a été suivi d'un acte commis ou commencé pour en préparer l'exécution, sera puni de la détention criminelle à temps de dix à vingt ans ».

PĂ©tain adressa son dernier message aprĂšs sa sentence :