Au Ghana, si le gouvernement ne renonce pas à son projet de loi anti-LGBT, la Banque mondiale ne lui accordera aucun prêt.
Le prêt est donc conditionné : si tu veux de l'argent, tu dois te conformer à leurs exigence .
Si le Ghana adopte cette loi, le financement de la Banque mondiale pour les cinq prochaines années sera annulé et le programme du FMI de 3 milliards de dollars sera également annulé ou suspendu.
En 2014, lorsque l'Ouganda a adopté une loi pénalisant l'homosexualité avec des peines allant jusqu'à la peine de mort, la Banque mondiale a suspendu son aide.
En 2023, lorsque l'Ouganda a persisté et adopté cette loi, la Banque mondiale a annoncé qu'elle ne soutiendrait plus jamais l'Ouganda.
Cela est devenu une condition pour obtenir des prêts auprès de ces institutions occidentales.
Sur son site officiel en 2016, la Banque mondiale a précisé que pour lutter contre la pauvreté, il fallait combattre l'homophobie et la transphobie.
Soit tu acceptes les homosexuels et on te paye, soit tu gardes ta conviction, ta vision, tes valeurs, et tu ne recevras plus jamais un dollar.
@egountchibehanzinTV
