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En vrai, le couscous c'est français. Les bougnoules se garden | Égalité & Remigration

En vrai, le couscous c'est français.

Les bougnoules se gardent bien de rappeler qu'à leur arrivée, les français ont mis sur pied un modèle de culture des sols, couplé à une irrigation développée, qui permit un temps à l'Algérie comme au Maroc d'être autonomes et d'exporter des centaines de tonnes de fruits et légumes dans toute l'Europe, au travers de magnifiques ports méditerranéens financés par la France, alors qu'aujourd'hui ces pays dépendent intégralement des importations, y compris d'huile d'olive.

Ce n'est que dans ce contexte faste, et avec la supervision des français qui avaient un goût culinaire développé, que les couscous et tajines ont pu voir le jour dans leur forme actuelle, avec de la bonne semoule de blé fraîchement moulue dans des moulins modernes, de la viande fraîche, des légumes variés, et des épices telles que du safran d'Orient, du paprika de Hongrie, du gingembre de Chine, de la coriandre de France... Auparavant, c'était un vulgaire ragoût de viande de dromadaire avec du blé concassé grossièrement à la main, importé d'Europe au terme de plusieurs mois de transit, quelques légumes feuillus, le tout largement dénué d'épices hormis des piments secs et de la badiane pour dissimuler la pestilence de la viande avariée.

Comme le phô vietnamien qui est un pot au "feu" français adapté, ou les tempura japonais qui sont inspirées de la gastronomie portugaise, bon nombre d'apports prétendument culturels viennent en réalité des blancs. C'est paradoxal, mais l'amour des bougnoules pour le couscous français est finalement un exemple d'assimilation de ces sauvages.

╼ 4avr ╾

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