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Les Chroniques Therapeutiques

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Ici nous diffusons au max des chroniques , de la Bd, et des histoires de vie en image com en ecrit .alors sur ce canal ne faites pas les timides et venez si vous avez des choses à partager.
surtout n'oubliez pas de partager aussi au max le lien du canal.

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2021-05-09 20:53:17 Regarde Les Chroniques Therapeutiques : https://t.me/yveschroniques5
491 viewsYves Le Capo, 17:53
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2021-05-09 20:51:17 core deux petits mois. Je ne me lasse pas de la maternité. Après trois grossesse, je suis toujours en forme et même si je me montre jalouse parfois, je sais que mon homme m'est fidèle. Nous sommes très soudés.
Quand j'ai appris la mort de Yannick, j'avais eu très mal pour lui. J’en ai pleuré pendant des jours. Son avocat m’a personnellement joint pour me demander de me rendre à son cabinet pour affaire me concernant. Je suis tombée des nues en apprenant tout ce que Yannick m'avait légué. Dans une lettre qu’il avait écrit quelques jours après m'avoir vu, et que son avocat m’avait remis, il me demandait pardon pour tout le mal au m'avait fait et me demandait de trouver en moi la force de prier pour lui afin que Dieu restaure sa vie et qu’il devienne une meilleure personne. Il me disait qu’il se rendait compte mais un peu trop tard qu’il m’aimait follement et que ce qu’il avait appelé de l'attirance pour la petite villageoise n’était cela mais un amour pur et profond qu’il n'avait pas su arroser. Il a écrit qu’il était désolé pour tout. A travers sa lettre, il m'a raconté ce qui s'est passé avec sa femme, comment il a découvert que ses enfants n’étaient en fait pas de lui mais de son oncle. J'ai eu pitié et mal pour lui. Malgré tout, il ne méritait pas cela.
Sa sœur une fois de plus a voulu me mettre les bâtons dans les roues, mais je ne suis plus la petite Rita tremblante de peur qui la laissait me gifler sans réagir. Aujourd’hui, je suis beaucoup plus sûre de moi et surtout j'ai beaucoup d'estime pour moi-même. C’est la police qui est allée la déguerpir de chez moi.
Au départ, mon mari ne voulait pas que j'accepte l’héritage de Yan. Ce n’est qu’au bout de long conciliabule qu’il a accepté et depuis, nous nous efforçons d'en tirer le plus de profit. Je ne suis pas à plaindre du tout. C'est vrai qu'au départ, j’étais une femme battue et mal aimée par son homme. J'ai subi préjudice physiques et moraux mais je ne voulais pas abandonner. Mais aujourd’hui, je suis transformée par l'amour de mon mari et de mes enfants. Je n'ai plus de famille proche. Mes oncles sont partis un à un. Ma seule famille aujourd’hui, c’est mon mari et mes bouts de choux qui sont si soudés et pétillant de vie. Je n'aurais jamais rêvé de mieux. Je suis comblée.

Fin

Note : Terminus, tout le monde descend. Voilà la fin de notre troisième histoire. J’espère qu'elle vous a plu.
Elle est déjà disponible en version pdf au prix de 1600f CFA.
Nous allons prendre environs deux semaines de pose. Le temps d’écrire une bonne partie de l'histoire à suivre. N’hésitez pas à me faire part de vos avis et conseils. Je suis ouverte a ma discutions et aux critiques. Merci a tous.
429 viewsYves Le Capo, 17:51
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2021-05-09 20:51:17 veut être médecin et son frère aussi. Seulement l'un aime les femmes et l'autre les enfants. Donc j'ai un gynécologue et un pédiatre. Quoi de plus beau ? Je ne cesse de remercier le fil pour cette grâce. Et éternellement j'en serai reconnaissant au créateur de m'avoir béni de la sorte.
* Mathieu Dumez *
C'est Dieu qui est grand. En tout temps, il faut lui rendre grâce. Quatorze ans après cette période tumultueuse, je vis le bonheur absolu au côté de ma femme et de mes enfants. Avec Jes, nous avons désormais six enfants. Jeannot, Léa, Louis, que vous connaissiez déjà, puis Chancelle (onze ans), Divine ,(sept ans) et notre dernier James (trois ans). La vie est allée de surprise en surprise pour nous. Jes travaille maintenant dans un cabinet d'avocat. Mon fils aîné, à 25 ans est entrain de se spécialiser en gynécologie au Canada. Ma fille Léa est en année de master en sociologie et Louis en deuxième année de droit. Les deux étudient à Bruxelles. Nous sommes à l’abri du besoin et Dieu et au centre de notre couple, de notre famille. Je ne cesse de rendre grâce pour ce que Dieu a fait pour moi.

* Assia *
Vivre seule dans cette grande maison est d'un ennui, je ne vous dis pas. Malgré toutes les démarches que j'ai entrepris, je n'ai pu contester le testament de mon idiot de frère. Fallait voir comment Rita m’a manqué de respect. Elle a osé dépêcher la police pour venir me mettre à la porte de la maison que je squatais. Quand j'ai vu cette maison, j'en ai terriblement voulu à Yannick. C’était plus belle de toutes celles qu’il avait construit. Belle, grande, et meublée, avec deux grands jardins, une grande piscine, un verger d'arbre fruitier. J'ai eu envie de le tuer à nouveau. Et je suis sûre que s’il avait été en vie, à ce moment là, mon regard l’aurait tué. J'ai bataillé dur, même avec Sandra. Mais cette folle et moi, on se crêpait les chignons tous les jours. J'ai fini par abandonner. Et depuis, je vis dans la maison de maman. J'ai vendu les quelques biens que Yannick m'a laissé de son immense fortune et j'ai rénové la maison de maman. Même si elle n'est pas belle comme celle de Rita, au moins elle est plus confortable qu'avant. Et je m'y sens chez moi. Mes enfants ? Tchhrrrrr, qu’ils restent avec leur idiot de père et sa pseudo épouse. Il y a longtemps que j'ai cessé de les chercher. Et eux non plus n'ont pas demander d’après. C’est par pur hasard que j'ai appris qu’ils vivaient tous en Europe. Tout ce que Mathieu possède, normalement je devrais en profiter. Mais au lieu de ça, c'est cette idiote qu’il est allé chercher pour jouir de mon dur labeur. Mais je sais qu’il y a une justice divine et qu'elle ne badine pas.

* Rita *
Moi : Mahou, les jumeaux, arrêtez d'aller dans tous les sens. Vous me donnez le tournis.

Coffi : Laisse les enfants s'amuser madame. S'ils restent tranquilles tu te plains, s’ils sont agités, tu te plains encore. Que veux-tu finalement ?

Moi : (boudant) Pas la peine de prendre leur défense. Tu vois bien qu’ils font trop de bruit.

Coffi : (lol) tu es tellement belle quand tu fais la bouche comme ça.

Moi : Belle ? Je ressemble à une baleine. Je te préviens, c'est le dernier. Je t'autorise à faire le reste dehors. Tiens, avec la petite Mahougnon par exemple.

Coffi : (caressant mon ventre) Ta jalousie n’a pas de sens et tu le sais mon cœur. Je n’ai d’yeux que pour toi, malgré tout. C’était e qu’on avait dit la dernière fois. Sauf que c’est toi-même qui m'a demandé un dernier. Et comme je t'aime comme un idiot…

Moi : Pardon. La prochaine fois refuse. Nous n'allons quand même pas peupler le village tous seuls !

Coffi : (rire) Mais non ! Regarde à côté. Le voisin a quinze enfants. Ils nous reste encore huit pour le rattraper.

Moi : pfff. Tu oublies qu’il a trois femmes ? Moi toute seule, j'en ai fait sept. C’est suffisant. Pardon, mes pauvres parents morts. C'est le dernier.

Oui. Vous l'avez bien compris. Après les triplets, les jumeaux sont arrivés. Nous avons accueilli il y a trois ans Micah, notre petite princesse. Et nous attendons notre petit dernier. Il ne devrait pas tarder. En
306 viewsYves Le Capo, 17:51
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2021-05-09 20:51:17 trop touché. Il a décroché une bourse américaine et grâce a l'argent que son père lui a laissé pour ses études, il continue simplement sans se soucier du monde. Kevin ne m'a plus jamais appelé. Même ses enfants, il n'y a plus jamais pensé. Je regrette tellement d'avoir mis mon mariage en péril pour lui. En fin de compte il ne le méritait pas. Moi qui était la reine de mon mari, je suis devenue cette femme qui ne plait plus à personne. Il m'arrive encore de pleurer dans mon lit et de me dire que les choses auraient été différents si je n'avais pas eu cette idée de faire des enfants à Yannick par le biais de son oncle qui est un idiot de première.

* Gaëlle *
Ne croyez pas tout ce que dit ma folle de mère. OK, j'ai dix neuf ans et je sors avec les hommes. Mais je peux vous assurer que je ne couche pas avec tous. Le seul que je voulais vraiment, c'est Yari, et je lui ai donné ma virginité. Mais maman lui a fait les yeux et je les ai surpris au lit. Ça m'a tellement fait mal. Depuis, je me contente de bouffer les sous des hommes sans livrer la marchandise. Je ne crois plus en l'amour. Si je continue de rester avec maman, c'est juste par pitié. Je sais qu'elle n'a pas été correcte et je ne manque pas de le lui rappeler. Mais c'est ma mère après tout. Il m'arrive de penser à papa (Yannick). Il me manque tellement. Prince et moi, nous nous appelons tous les jours. Lui au moins, il s'en sort. Mais moi, je suis tarée, je ne m'en offusque plus. Je suis plutôt apte pour les négoce. Donc je vais faire du commerce. C’est pourquoi je suis entrain de soutirer le plus de sous à mes pigeons. Je rendrai fier mon papa du haut du ciel. Je le promet.

* Coffi *
La richesse ne m'a pas fait perdre de vue la réalité. Je suis resté ce paysan qui labourait son champs avec ardeur. Même si je ne fais plus de grands travaux et sue j’ai des ouvriers que je paie, je ne change pas mon statut. Je vis tantôt à Calavi avec ma famille, tantôt au village pour suivre les travaux sur mes terrains. Je n'ai jamais su croiser mes doigts et attendre que ça me tombe dans les bras. Et j'en suis fier car c'est au bout de effort qu’on trouve la récompense. Je ne mentirai pas en vous disant que je n’ai jamais trompé ma femme. Oui, il m’est arrivé de me laisser séduire par une paire de seins encore debout, ou par de jolies fesses qui remuent dans tous les sens. La règle du jeu est simple entre nous. Quand ça m'arrive comme ça, une fois à la maison, je m confesse à ma femme. Je ne lui cache pas que j'ai eu cette envie de séduire l'inconnue et de l'avoir dans mon lit. Je ne sais pas si elle dit vrai quand elle dit qu’elle ne m'en veux pas. Mais parfois, elle se moque de moi avec ça. A part cela, je n'ai jamais eu le courage d'aller fourrer mon sexe ailleurs qu'en elle. Si j sors et que je vois une jolie tenue sur une femme et que ça me plait, j'en achète la même à ma femme. Si c'est une coiffure, je l'entraine chez la coiffeuse et suis de près le travail jusqu’à la fin. Sa coiffeuse quand elle nous voit arriver commence par rire parce qu'elle sait que j'ai une nouvelle torture à lui infliger. Mais j'y met toujours le prix et cela la console. C'est normal, rien n'est trop cher pour la femme de ma vie. Je suis l'homme le plus comblé au monde. Notre cohabitation n'est pas aisée tous les jours rassurez-vous. Par moment, il y a des tensions, nous nous fâchons mais jamais nous ne disons des mots blessants. Et nous ne dormons jamais fâchés. Si la dispute éclate le soir, et que l'un de nous quitte la chambre conjugale, l'autre est toujours prêt à ramener la balle à terre en allant faire le pitre. Nous sommes tous les deux de grands enfants. Avec nos enfants, nous avons cultivé cette amitié qui fait qu’on se dit tout sans retenue. Si j'offense Micah par exemple, il a le droit de se fâcher. Et moi de lui présenter mes excuses. Ils peuvent donner leur avis sur tout, même sur leur avenir, en nous disant ce qu’ils rêvent de faire plus tard. Je sais par exemple au’ Esse veut devenir pilote et dans ce sens on l'aide à être le meilleur tous les jours. Il nous le rend bien. Ewe
218 viewsYves Le Capo, 17:51
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2021-05-09 20:51:17 VIE DE FEMMES
**** Chapitre 30 : Quand tout va bien dans le meilleur des mondes ****

* Sandra *

Moi : Gaëlle !!!! Gaëlle !!! Viens ici toute suite ! Je ne cautionne pas les bêtises hein ! Ta tête on dirait tête de Zozo !

Gaëlle : ( de loin ) toi-même comme ça. Je dis la vieille ne me charge pas hein, tu comprends non ! Je ne t'ai jamais demandé d'aller tromper ton mari avec son oncle et c’est pour faire les enfant bâtard comme moi.

Moi : Comme tu reconnais toi-même que tu es bâtard c’est déjà bien. Viens seulement nettoyer le Bazard que tu as créé dans la douche. Toi une femme, c'est seulement ton dehors qui est propre. Sinon, dedans, c'est zéro, poubelle.
Prrr, à dix neuf ans déjà, ouverte de partout. Tu ‘as même pas honte. Même respecter ta mère, c’est plis que tu ne peux faire.

Gaëlle : (se pointant en face de moi) maman, ce refrain, toute la maison la connait. Et si tu changeais un peu ? Moi au moins je ne cache pas que je sors avec les hommes. Toi qui étais la sainte, est-ce que tu n'es pas allée coucher n'importe comment avec le mari des gens jusqu’à elle est allée te ramasser ? Regarde toi ! Ta bordellerie la, c'est seulement la paralysie que ça t'a donné. Tu me fais trop pitiéééé ! Mais au lieu de fermer ta grande bouche là, non. C'est le jour où je vais ramasser mes affaires et dégager d'ici que tu vas me comprendre. Sinon, je ne nettoie rien dans la douche. (Regardant son téléphone) parce que mon rendez-vous viens d'arriver.

Aussitôt, j'entendis le klaxon d'une voiture.

Gaëlle : Sinon, tu veux que je ramène quoi à manger ?

Moi : Tu sais bien ce que j’aime. Et si tu peux ramener de la bière, ça sera cool.

Gaëlle : Prrr, OK. Tu as chance que je t'aime quand même un peu. Bon, j'y vais.

Moi : Tu ne le fais pas entrer ? Même…

Gaëlle : Pour que tu essaies de me le piquer comme la dernière fois avec Yari ? Non maman, j'ai appris la leçon. Même dans fauteuil roulant, tu trouves la force de draguer le petit ami de ta fille. Je ne te présenterai même pas l'homme avec qui je vais faire ma vie. Tu es trop grave. Sorcière.

Elle s'en va en se dandinant sur ses hauts talons. Je soupire d'agacement en faisant avancer ma chaise à l'aide de mes mains. Tout ça pourquoi ? Douze ans après Yannick, je suis en loque. Jamais plus je n’ai brillé. Yannick a laissé des biens aux enfants mais je n'ai pas pu en profiter. D’abord parce que Assia est entrée en guerre avec moi. Elle a fait tout un plat avec la part de mes enfants en ressortant cette histoire selon laquelle, ce sont des bâtards. Plusieurs fois, nous nous sommes battues férocement. Chaque fois que nous nous croisions quelques part, ça finissait en dispute, en bagarre. Ensuite, c'est le huissier de Yannick qui m'a carrément mise à la porte d'une des maisons mis au nom de Prince parce que « Yannick a été clair madame. Il m'a expressément recommandé de mettre la maison en location et de verser la somme dans le compte de son fils. Il n'y aura accès qu'a sa majorité. » Je l'ai maudis puis je suis répartie dans ma misère. Puis, un homme bien m'a dragué. Mais il était marié à une folle furieuse qui ne comprends rien du sens de partage. Elle a foncé droit sur moi en pleine rue. Résultat, je suis paralysée et mes espoirs pour remarcher un jour sont moindres.
Gaëlle, en grandissant est devenue un cas social. Elle est pire que moi en matière de puterie. Le pire c’est qu’elle ne tombe que sur des mecs pleins aux axes. Une fois, je suis tombée sous le charme de l'un d'eux. A l’époque, avait seize ans et le monsieur en avait trente. Malgré ma quarantaine bien avancée, j’étais toujours bien conservée. Alors je lui ai fait les yeux doux. Gaëlle nous a surpris au lit en pleine activité. Depuis, elle est devenue une garce, me manquant effrontément de respect. J'avais caressé un instant le rêve que ce Yari sorte avec moi. Mais le type m'a clairement dit que c’était voir à quoi ressemblait une « salope de quarante six ans au lit »
Le seul qui me fait encore sourire de fierté, c'est Prince. Il était trop petit à l’époque pour comprendre le sens des insultes. Donc il n'a pas été
172 viewsYves Le Capo, 17:51
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2021-05-09 20:51:16 vons eu les même choses. Mais elle ne veut rien entendre.
Moi juste une chose m'a fait réfléchir. Dans les derniers instants de Yan, il se comportait comme un pauvre homme qui n'a presque plus rien. Sa maigreur faisait penser qu’il ne se nourrissait plus. Alors quand on m'a appellera pour sa succession, je me suis dit que c’était juste pour partager les meubles de sa maison. Mais non. Il m’a légué une parcelle, une somme d’argent et beaucoup d'autres choses comme les ustensiles de cuisines, et les électroménagers. J’ai compris que ma sœur voulait ça. La mine qu'elle a affiché quand elle a entendu le huissier me nommer propriétaire de cela. Maintenant elle veut en faire un plat parce que Yannick a pensé aux enfants de Sandra et même à Rita et une certaine Mira. La mira en question est venue et a entendu ce qu'on lui a légué, mais on n'a pas vu Rita et Assia tient absolument atout récupérer. Je pensais que ma sœur vaut changé depuis l'histoire de meurtre manqué. Mais non, la voilà qui revient à elle-même. En tout cas, je prendrai ce qu’on m'a donné. Le reste, ce n'est pas mes oignons. Je m'en fous.

Moi : bon Assia, tu fais comme tu veux hein. Mais ne me mêle surtout pas à ça. C'est ta cupidité qui te perdra un jour. Je prend mon sac et sors de la.

**** Assia ****
Je ne peux pas accepter cela. Comment des personnes comme Rita peuvent hériter de Yannick alors qu'elles ne lui ont rien apporté. Je suis sa grande sœur. Il devait me donner la plus grosse part. Je pensais même à sa maison où il vivait. Mais c'est à Rita qu’il l’a légué. Je ne savais pas mon frère aussi riche. Je suis tombée de haut en écoutant l’huissier faire la liste de ses biens. Tenez vous bien, Rita à elle seule, en plu de la maison, a hérité de deux grands immeubles à Cotonou. Des immeubles qu’il avait loué et qui rapportait des millions par mois. En tant que qui doit elle prendre cela ? Elle n’aura rn. Cela me reviendra de gré ou de force. Et ces millions, ces millions ! De toute sa vie de villageoise, je me demande si elle a jamais vu un million. Alors, lui en offrir dix ? C'est un gâchis. Je ne suis pas prête a laisser faire un truc pareil. Ce sont les biens de mon frère. C’est à moi que cela devrait revenir.
142 viewsYves Le Capo, 17:51
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2021-05-09 20:51:16 ai ! Ce n'est pas vrai. Maman doit être effondrée maintenant. Je dois aller la voir. Il fait sue je vois ma mère. Elle aime tellement son fils qu'elle pourrait faire une crise cardiaque si elle entend ça. Ooo mon Dieu. Il ne méritait pas ça. Mon Yan ne méritait pas cette fin atroce. Ce n’était pas un saint mais il avait ses qualités. Je dois voir maman.

Et c'est comme ça que Mick et moi avons confié les enfants à la voisine avant de nous rendre dans la maison des parents. Il y avait déjà du monde dans la maison. J'ai vu Assia assise sur une brique à l’écart. Je me suis dirigée vers elle.
Quand elle m'a vu, elle est venue vers moi et m'a prise dans ses bras en éclatant en sanglots.

Moi : C'est affreux… j'ai du mal à le croire Ali. Ma mère est partie. Je suis orpheline maintenant. A cent pour cent. Moi qui n’ai jamais su faire quelque chose sans elle.

Moi : Comment ça maman est partie ?

Assia : SNIF. Elle avait un pressentiment, elle voulait que j'appelle Yannick. Mais au moment ou j'allais prendre le portable, Sali est arrivé avec la nouvelle de l’accident de Yannick. Maman a fait un arrêt cardiaque.

Moi : Noooo ! Dieu tu ne peux pas m'enlever mon frère et ma mère le même jour. Je t'ai fait quoi ? Sommes-nous la seule famille au monde ? Pourquoi as-tu tranché aussi méchamment ???

Assia : Yannick est à l’hôpital. Sali me l'a dit. On peut aller le voir. Dieu le sauvera. Je le crois.

Moi : je suis désolée Assia. SNIF, nous sommes désormais seules au monde. Je venais voir maman parce que SNIF, c'est affreux. C'est Mick qui m'a appris l'accident de Yan. Il n'a pas survécu. Il est mort sur le coup.

Assia a ouvert sa bouche puis l'a fermé, puis l'a encore couvert. Puis elle s'est assise sur le sol en hurlant de douleur.

Assia : Rendez-moi ma famille. Non oooo ! je veux ma mère et mon frère. Ce n'est pas possible qu’on me les prenne le même jours. SNIF, je veux mes parents. Rendez les moi. Ce n’est pas possible ! Yannick ! Yannick ! Il était parti tout fâché parce qu’il venait de se disputer avec maman. Elle m'a demandé de le retenir mais j'ai refusé. Comment aurai-je su que c’était la dernière fois que je le voyais ?
Je me suis assise près d'elle et je l'ai prise dans mes bras. Nous avons pleuré pendant des heures. Nos oncles et tantes sont arrivés tard dans la nuit. Ils étaient tous sonnés par la situation. Ainsi est faite la vie. Avais élément mal et encore plus mal parce que ces deux là avaient refusé de venir à Christ comme l'a fait Assia. Maman surtout pensait que seuls les marabouts pouvaient l’aider à s'en sortir. J'avais aussi mal pour Yannick parce qu’en dépit de tout, c’était un homme bon. Même si avec sa première femme il n'avait pas su gérer, il restait un bon mec à mes yeux.

* Deux mois plus tard *

Assia : Je vais contester ce testament. Je vais le contester. Il n'est pas question que ces enfant héritent de quelque chose tant que moi Assia je serai en vie.

Moi : Assia, c'est la volonté de Yan. Il aimait sincèrement ses enfants. Même s’ils n’étaient pas de lui. Et franchement j'ai envie de respecter les dernières volontés de Yan.

Assia : Quelle volonté ? Est-ce que les morts ont de volonté ? Donc tu vas laisser aussi l'autre idiote prendre sa part ? Mais tu es bête hein ! Ces enfants sont les bâtardes de Sandra. Je ne les laisserai pas toucher quelque chose ici. Et quant à Rita, elle peut toujours courir. Si elle pense que comme on a dit qu’on qui offre deux terrains et des millions, elle va vraiment prendre quelque chose.

Moi : Assia, c'est la volonté de Yannick. Respecte cela et oublions le reste.

Assia : je ne vais pas accepter de prendre juste une parcelle quand la Rita en as trois et les bâtards de Sandra quatre. Je ne peux pas accepter un million quand Rita en a dix et que les enfants de Sandra en ont cinq. On a déjà vu ça où ? Yannick lui-même, il était sûrement ivre quand il a rédigé ce testament. Et cette Mira, elle sort même d’où et on ne la connaît pas ?

Nous sommes venues à la succession de Yannick et Asia n’est pas contente de ce que lui a légué son petit frère. Et pourtant nous a
125 viewsYves Le Capo, 17:51
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2021-05-09 20:51:16 ivé avec un monsieur et ils ont transporté le corps de maman dans la voiture. Je suis montée et on a roylé à vive allure jusqu’à l’hôpital. Durant le trajet, je priais en pleurant. J'avais peur de perdre ma mère. J'avais peur de perdre mon frère aussi. Je les voulais tout les deux en vie. Ils avaient besoin de faire la paix. J'ai encore besoin d’eux.
Dès que sommes arrivés, les infirmiers sont venu vers nous avec un brancard. Le premier qui l'a touché à dit le verdict.

Infirmier : C'est à la morgue qu’il faut aller madame.

Moi : (paniquant complètement) Comment ça à la morgue ?

Infirmier : Son cœur a cessé de battre.

Moi : (hurlant sur lui) Je j’interdis de me dire ça. Tu comprends ! Fais ton job, va soigner ma mère. Sinon, je porterai plainte. On va fermer votre putain d’hôpital.

Infirmier : madame, elle est morte. Regardez vous-même !

Moi : (hystérique) tu n'es qu’un garçon de salle. Comment peux-tu donner un tel diagnostic. Gare a toi si ma mère perd la vie à cause de ton incompétence. Faites pendant qu’il et encore temps.

Voix : Que se passe t-il ?

Infirmier : Ils nous ont amené un corps qui devrait aller à la morgue. Mais la…

Moi : Ferme ta putain de bouche idiot. Ma mère vit. Elle s'est juste évanouie. C'est tout. Pardon docteur faites vite.

Le docteur s'approche de ma mère et la tâte sur le cœur, et autres parties. Je le suis de très prêt. Il se relève, me regarde sans émotions.

Docteur : Désolée madame. Votre mère a rendu l’âme.

Moi : NOOoon elle était en vie en arrivant ici. Rendez moi ma mère. Rendez là moi. Je ne veux rien entendre. (Me ruant sur le corps inerte de maman et la secoua y de toutes mes forces) lève toi maman. Lève-toi on va rentrer. Ces gens ne veulent pas te soigner. Maman pardon lève-toi. SNIF, (voix brisée) je t'en prie ne me laisse pas. Ingrid lève toi. Je te promet que je prendrai mieux soin de toi. Je te gâterai comme la reine que tu es. Lève toi maman. Allons à la maison. Tu vas me laisser à qui ? Pitié maman, SNIF. Pitié !

Je m'assois sur le sol en pleurant. Mon monde vient de s’écrouler. Ma mère s'en est allée, sans me dire au-revoir.

Moi : A qui me laisses-tu maman ? A qui laisses-tu ton Yannick ! Lève-toi maman. Pardon ne me fais pas ça.

C'est Sali et le monsieur qui se sont chargé d'amener le corps à la morgue et de revenir me chercher pour me déposer à la maison. Sali me regardait avec pitié, ça m'a rappelé qu’il était venu avec une nouvelle.

Moi : (voix cassée) Où est mon frère ? Dans quel hôpital l’a-t-on emmené ? Je dois le voir. S'il te plait pourrais-tu m'y emmener ?

Sali : (fuyant mon regard) la big, je t'y amènerai plus tard. Pour l’instant, repose toi. Tu en as besoin.

Moi : L’accident était grave ? Il est blessé ?

Sali : Tu verras par toi-même. Profite pour appeler ta sœur.

Moi : Merci beaucoup Sali.

Je suis allée me coucher sur le lit de maman en pleurant ma douleur.

* Alida *
Je regarde ma montre en voyant mon mari rentrer du boulot. Hum ? Mick sait rentrer a la maison à treize heures ? C'est possible ça ? Sa mine est triste. Il se dirige vers moi et me serre dans ses bras. Je ne comprends rien mais ça me fait du bien qu’il me prenne ainsi dans ses bras.

Mick : Soit forte chérie. Je serai là pour t'épauler. Il était peut-être chiant mais c’était ton frère. Je suis désolé pour ce qui lui est arrivé.

Je me décolle de lui, confuse.

Moi : De quoi me parles-tu ? Je ne comprends rien.

Mick : Personne ne t'a appelé ?

Moi : Pourquoi devrait-on m'appeler ?

Mick : (Me prenant dans ses bras.) Ton frère a eu un accident de circulation.

Moi : (main sur la poitrine) Quel frère !

Mick : Yan.

Moi : Noooo !

Mick : (mine désolée) Il est mort sur le coup…

Moi : Non !!!! ce n’est pas vrai. Ce n’est purement pas mon Yannick. Pourquoi personne ne m'a appelé ? Même pas un message. Qui te l'a dit ?

Mick : Un collègue était là quand c'est arrivé. Il a reconnu Yan avant que la voiture ne le heurte. Quand les ambulanciers n’ont arrivés, il n’y avait plus rien à faire. Il n’était pus là.

J'ai fondu en larmes en l’accrochant à lui.

Moi : Ce n'est pas vr
104 viewsYves Le Capo, 17:51
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2021-05-09 20:51:16 **** VIE DE FEMMES

* Chapitre 29 : Dieu a donné, Dieu a repris *

* Ingrid ZOZO *
Assia m'a laissé seule et est partie après m'avoir dit ces mots. Il fallait que quelqu’un retienne mon enfant. Il ne pouvait pas me quitter comme ça. C'est le seul que j'ai et je tiens vraiment à lui. Malheureusement je n'avais pas la force de me lever. Eh oui, le soir de ma vie est assez triste. Je ne m'attendais pas à ce qu’il me remercie d'avoir gâché sa vie, mais intérieurement je priais pour qu’il ne soit pas rude envers moi. Et sa réaction est loin de tout ce que j’avais imaginé. Je me sens mal dans ma peau. Mon mari aurait honte de moi s’il ait été là. Je n'ai pas été a la hauteur de la tâche qu’il m’avait confié avant sa mort, celle de prendre soin de nos enfants et de les éduquer comme il faut afin qu’ils soient des exemples dans la société. Au lieu de cela, j'en ai fait des imbus de leur personne, aigris et cupides. Je n'ai vraiment pas été à la hauteur et je demande sincèrement pardon. Si une autre chance m’était donnée, je jure de faire les choses autrement.
Je ne retiens pas mes larmes de frustration. Qu'elles coulent pour me soulager un temps soit peu de cette horrible culpabilité que je ressens vis-à-vis de mes enfants. Seule Alida a pu devenir une personne noble et digne.
J’espère que mon enfant trouvera la force de me pardonner avant que je ne m'en aille. J'en ai besoin pour trouver la paix.
Soudan je sens mon cœur s'affoler et j'ai un pressentiment. Je me met à hurler comme si je savais qu'un malheur allait m'arriver.

Moi : Assia ! C'est Yannick ! Quelque chose est arrivé à mon bébé. ASSIA !!!!! ASSIA !

Ma voix se brise, se transforme en sanglots. J'essaie de me lever du lit mais retombe sur le carrelage froid comme un chiffon. Je me met à ramper vers la sortie en pleurant.

Moi : (voix enrouée) Assia, pardon appelle ton frère. Appelle-le. Yannick mon bébé, où es-tu ? Seigneur garde le. Je t'en supplie garde le pour moi. Assia !

Assia : Maman, tu déranges franchement. Que fais-tu comme ça ?

Moi : Pardon, SNIF, appelle ton frère. Appelle-le.

Assia : Il vient de partir non ! Tu veux encore lui dire quoi après ce que tu lui as avoué ? Laisse-le tranquille.

Moi : J'ai comme un mauvais pressentiment, SNIF. Mon garçon est en danger. Je le sens.

Assia : Tu es entrain de délirer. Viens, je t’aime a retourner au lit.

Moi : (hurlant) NON !!!! Appelle-le ! Je suis sa mère et je sais qu’il est en danger. Appelle le je t'en supplie, SNIF. Appelle-le. Appelle Assia, pardon, appelle-le.

Elle me regarde dépassée par mon insistance.

Assia : OK. Je vais chercher mon portable.

Elle s’éloigne au même moment qu’on sonne au portail. Les battements de mon cœur s’accélère et je sens que je vais m’évanouir. Où est mon enfant ? Que lui est-il arrivé ?
Assia va ouvrir la porte et fait entrer le visiteur. C'est un jeune du quartier. Sa mine ne présage rien se bon. Il me regarde à peine.

Assia : Sali, qu’est-ce qui t’amène ici ? Tu entres rarement dans ma cour.

Sali : la big, j'apporte une mauvaise nouvelle.

Moi : Mon Dieu, SNIF. C'est Yannick. C'est Yannick ! SNIF. Il a quoi mon enfant ? C’est e seul que j'ai. Seigneur préserve le.

Assia : maman, calme-toi. Pourquoi pleures-tu sur l'enfant ? Sali, c'est quoi la nouvelle

Sali : C'est Yannick.

Moi : (mains sur la tête.) je le savais. Mon cœur de mère ne me trompe pas. Que lui est-il arrivé ? Parle vite. SNIF, je veux mon enfant. SNIF.

Sali : Il a eu un accident tout à l'heure sur la voie et il.

Moi : Nooooooooon !

* Assia *

Sali : Il a eu un accident tout à l’heure sur la voie et il…

Maman : Noooooooon !!!

Moi : (me ruant sur elle) Maman ! maman ! Répond maman, maman ! Reste avec moi. Je t’en prie, reste avec moi. A l'aide !!!! A l'aide ! Maman ! Maman !

Sali est parti en courant sûrement pour aller chercher les secours.

Moi : SNIF, maman ne me fait pas ça. Pas ça. Ouvre les yeux maman ! Ouvre les yeux. Seigneur je t'en supplie aie pitié de moi, ne la prend pas. Ne me l’arrache pas. Maman ! Réagit je t'en prie. Ne me laisse pas. Ne me laisse pas.

Sali est arr
95 viewsYves Le Capo, 17:51
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2021-05-09 20:51:16 aman tu me fais peur. Parle vite au lieu de tourner autour du pot.

Maman : Quand tu es revenu ce jour là du village et que tu m’as dit avoir rencontré une fille que tu comptais aller doter, mon sang n'a fait qu'un tour. Nous n’étions certes pas riche mais ce n’était pas une raison pour aller me ramener une villageoise. Je n’étais pas d'accord et je te l'ai défendu. Mais pour la première fois tu m'as désobéi et tu m’as ramené ici. Tu t'es enfermé dans ton monde avec elle. Je suis sincèrement désolée Yannick. Je pensais bien faire. Je suis allée voir un marabout pour lui jeter un sort afin qu’elle rentre chez elle. Mais il m'a appris que c’est toi qui la retenait sinon, son coeur était ailleurs. Il m'a aussi appris qu'elle était enceinte de un mois je crois. Je ne voulais pas qu'elle me donne de petit fils. Alors j'ai demandé une potion pour faire descendre la grosse sans qu'elle ne sache. Et ça a a marché.

Moi : Quoi ? Tu veux me dire sue tu as tué mon enfant ? C'est ça ?

Maman : Je te demande pardon Yannick. Je voulais juste qu'elle rentre chez elle. Ce n’était s une femme pour toi.

Yannick : Je vais y aller, avant de sauter sur ta gorge. Ce que tu me dis là, c'est affreux maman.

Maman : Je dois te dire la vérité. Attends s‘il te plait. J’ai aussi demandé au marabout une potion pour la rendre stérile. Il z demandé si je voulais un délai. j'ai dit non, qu'elle méritait la peine capitale. Je suis rentrée avec les poudre. Je devais verser un dans son jus et le second sur le lit, sur le côté où elle dort. Mais ce jour la, je ne sais pas ce qui s'est passé Yan. Tu t'es couché dedans. Et c'est l raison pour laquelle tu n'arrives plus à faire d’enfants. Rita n'a jamais été stérile comme on le pensait.

J’ai sauté sur son cou en serrant très fort. Elle a hurlé avant de s'accrocher à mes bras.

Moi : Tu es entrain de me dire que tu as détruit ma vie à cause de tes foutaises maman ? Tu m'as ôté la capacité d'avoir des enfants ? Tu m’as vraiment fait ? Qui es-tu à la fin ? Tu as osé …

Assia : (entrant dans la pièce) Qu’est-ce-qui se passe ici…
Voila e qui s'est passé dans la chambre de ma mère. Durant tout ce temps, je me posais cette question. Les médecins disent que tout est normal à mon niveau. Et pourtant je n’arrive pas à faire d’enfants. Et la maintenant, ma mère m'apprends que j'ai failli avoir un enfant mais qu’elle l'a tué sans que même celle qui était enceinte ne sache. Ensuite elle m’a rendu stérile en voulant nuire à Rita. Tout ce temps durant, c’était ma Mère qui était à l'origine de cette de histoire. Comment une mère pouvait le faire autant de mal à son enfants. Aujourd’hui, je suis devenu la risée de tout le monde. Aujourd’hui, Rita à une famille nombreuse, alors que moi je n’ai bien, même pas un poussin.
J'ai même oublié que j'avais gardé de voiture. J’étais déjà loin de la maison avant de m'en rendre compte. Autant continuer à pied.
## Regard extérieur ##
Tout le monde a vu le danger venir sauf lui. Tout le monde a vu l'homme vêtu de costume bleu marin qui marchait en parlant seul. On l'a vu s’arrêter e face de la route, le regard vers le lointain. Il n'a pas regardé la route. L'autre venait à vive allure. Il était trop tard quand il a vu le piéton qui avait déjà engagé la traversé. Il a appuyé sur le frein mais le frein à cédé. L'homme n'a pas vu arriver le danger. Il a été heurté de plein fouet par la voiture qui a fini sa course folle dans le mur d’une maison.
87 viewsYves Le Capo, 17:51
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