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COMMUNIQUÉ : Ce mercredi 16 février au matin, une journaliste | Chroniques de la chute d’une civilisation

COMMUNIQUÉ :

Ce mercredi 16 février au matin, une journaliste a contacté notre président Victor Aubert sur son adresse mail. Cette dernière l’informait de la diffusion au soir même, dans l’Œil du 20h de France 2, d’un reportage sur l’association Academia Christiana. À ce message était jointe une liste de questions définitivement à charge. Pour rappeler les faits, cette journaliste, infiltrée sous pseudonyme, avait filmé à leur insu des élèves mineurs de l’Institut Croix des Vents et avait essayé de leur faire tenir des propos racistes, à force de questions. Elle s’était également rapprochée de Victor Aubert en se présentant comme une nouvelle paroissienne de Sées voulant s’engager dans l’association. Enfin, elle s’était rendue au cercle de conférence parisien à deux reprises, toujours sous pseudonyme, et avait essayé de faire tenir, là encore par des questions tendancieuses, des propos scandaleux aux jeunes militants présents. Cette histoire est rapportée en détail dans l’article de Breizh Info à ce sujet.

Alors que nous avons répondu de bonne foi au mail de cette journaliste, celle-ci a toujours refusé de s’expliquer sur ses méthodes auprès de Breizh Info. Nous soulignons le caractère insidieux, pour ne pas dire pervers, des méthodes employées par cette journaliste du service public, payée par nos impôts. Faisons l’inventaire : mensonges, pièges posés pour pousser à la faute des membres de l’association et des personnes extérieures et enregistrements sans leur consentement de nombreuses personnes. Qu’est-ce qui peut justifier de sa part un tel traitement ? Les paroissiens de la ville de Sées avaient-ils à subir cette mise en scène ?

Nous avons été prévenus seulement quelques heures avant la diffusion du reportage, sans aucun détail sur son contenu. Tout cela nous semble gravement contraire à la déontologie journalistique. L’intention de cette enquête est très clairement de sortir des éléments à charge sans égard pour qui nous sommes et ce que nous faisons réellement. N’ont été retenus que des calomnies et des éléments tronqués et sortis de leur contexte, pour noircir notre portrait. Nous prendrons, le cas échéant, les mesures juridiques qui s’imposent pour faire face à ces allégations. Nous ne nous laisserons pas intimider par des gens qui utilisent des méthodes de voyou pour salir notre travail.