2023-05-18 17:25:37
On pourrait être tenté de penser que le cauchemar pandémique est enfin terminé... « Ceux qui ont la responsabilité de maintenir l'intégrité scientifique - les institutions universitaires, les médecins, les revues médicales - s'entendent avec l'industrie pour un gain financier. J'ajouterais que nos agences de régulation sont également « à la traîne ». Ils ont tous été capturés par l'industrie, ce qui laisse les patients sans personne pour les protéger des méfaits de Big Pharma » Dr Aseem Malhotra
Maintenant que les États-Unis et l'OMS ont tous deux déclaré la fin de l'urgence sanitaire de Covid, on pourrait être tenté de penser que le cauchemar pandémique est enfin terminé. En effet, pour la plupart des gens, il avait déjà été dépassé par des problèmes plus urgents, allant de l'inflation à la guerre. Mais pour ceux d'entre nous qui soutenaient que le véritable cauchemar n'était pas le virus lui-même, mais plutôt la réponse dystopique des gouvernements au nom de la « santé publique », il n'y a pas grand-chose à célébrer
Pour commencer, nous sommes encore une minorité. Au cours de l'année écoulée, des rapports officiels ont confirmé bon nombre de nos affirmations initialement rejetées comme de la désinformation, sur l'origine artificielle probable du SRAS-CoV-2, sur la futilité du masquage universel (en particulier chez les enfants), sur les fermetures d'écoles, sur l'impact négatif des confinements, sur les éventuels effets secondaires des vaccins à ARNm, et bien plus encore. Mais la plupart des gens ne sont pas conscients de ces développements. Au lieu de cela, ils souscrivent toujours largement au consensus de Covid, c'est-à-dire que les mesures pandémiques étaient une réponse nécessaire, bien que douloureuse, à un nouveau virus dont nous savions très peu de choses.
Cela va-t-il changer ? Cela semble peu probable, compte tenu des vastes ressources qui seront probablement consacrées à la consolidation de « l'histoire acceptée » des trois dernières années, ce que nous pourrions appeler le consensus post-Covid. En effet, si les trois dernières années nous ont appris quelque chose, c'est que la plupart des garanties constitutionnelles, des formalités juridiques et des « freins et contrepoids » que nous tenions pour acquis peuvent facilement être balayées au nom de « l'urgence ».
Le fait que la plupart des mesures Covid soient désormais réduites ne change rien au fait que le potentiel de retour à un pouvoir exécutif illimité est toujours là. En effet, c'est peut-être l'héritage le plus pernicieux de la pandémie, que la plupart des gens semblent avoir accepté le fait que les normes et pratiques démocratiques puissent être suspendues au nom de « menaces publiques ». En d'autres termes, les politiques d'urgence ont été normalisées. Comment Big Pharma contrôle la recherche scientifique et maximise les profits, https://childrenshealthdefense.org/defender/big-pharma-scientific-research-profits-cola/
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