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Voici le cri du cœur d’une pédiatres du collectif de santé péd | Union Citoyenne Pour la Liberté INFOS #UCPL

Voici le cri du cœur d’une pédiatres du collectif de santé pédiatrique qui souhaite rester anonyme:

Je suis pédiatre, dans un cabinet de pédiatrie générale, dans le médico-social auprès d’enfants autistes d’une part et dans le champ de la protection de l’enfance d’autre part, et dans une crèche.
Je ploie sous le travail. Et vraiment c’est dur.
Les enfants ont été beaucoup malades cet automne et cet hiver. Probablement la conséquence d’avoir été confinés l’hiver précédent. Il a fallu que les enfants se frottent à nouveau à divers virus pour se refaire une immunité. Bronchiolites, grippes, gastroentérites, varicelles, rhinopharyngites à gogo.. avec le lot habituel de surinfections : otites bronchites foyers pulmonaires etc.. de plus en plus difficiles à prendre charge du fait des problèmes de démographie médicale en ville et à l’hôpital….des heures d’attente si je suis obligée d’envoyer mes patients aux urgences, pas de lits si besoin d’hospitalisation, ou hospitalisation dans des conditions indécentes..
De plus les enfants ont dû continuer à supporter le port du masque dès 6 ans, même ceux présentant des effets indésirables graves et porteurs d’un certificat de contre-indication ou de non- obligation du fait d’un handicap. Et ils doivent supporter le port du masque des professionnels dès l’entrée en crèche ou à l’école ce qui entrave gravement les apprentissages, les possibilités de communication verbale et non verbale.
Les parents ont dû faire face à des pressions constantes : appel à chaque fébricule de leur enfant même pour un simple rhume ou une poussée dentaire, chantage du pass sanitaire dès 12 ans et du pass vaccinal dès 16 ans, atteinte de l’autorité parentale, forcing pour les tests et j’en passe…
Le summum est venu avec la vague omicron qu’on a présenté comme un tsunami ; malgré les masques et les v a x le virus a beaucoup circulé y compris dans les écoles. J’ai eu jusqu’à 10 appels par jour pour des familles covidées entre mi-décembre et début février… oh aucune forme grave.. mais des enfants « positifs » confinés chez eux, parfois dans leurs chambres, au milieu de la panique familiale, de la culpabilité d’avoir été contaminés..voire oh quelle honte d’avoir contaminé leur famille..des enfants rapatriés de leur classe de découverte pour un rhume..et j’en passe..
Je n’ai pas eu de formes graves de covid chez mes patients mais j’ai eu à faire face à des effets indésirables graves des v a x chez certains jeunes injectés..dont certains ont basculé dans le champ du handicap de ce fait… je suis en colère..
Et au milieu de tout cela mes patients se sont mis à aller de plus en plus mal. Troubles anxieux, troubles dépressifs, troubles du comportement alimentaire, obésité, effets indésirables graves des masques et des injections, et dans les familles éclairées et pour les ados ayant refusé de se faire injecter poids de l’isolement social intolérable et des diverses pressions …
Et je fais face à une explosion de mes patients présentant des troubles du neurodéveloppement ; cette ascension était déjà exponentielle avant 2020 avec un taux d’incidence de 1 enfant sur 100 en France et 1/50 dans nombreux autres pays. Et depuis 2020 la vitesse d’ascension de l’exponentielle s’est accélérée, personne ne semble s’en préoccuper et je suis incapable de vous donner les chiffres actuels ; certes on nous propose plus de formations pour dépister mais une fois le dépistage fait pas d’orthophonistes, pas de place dans les CMP, les CAMSP , les SESSAD, les UEMA etc .. 6 mois d’attente pour une réponse à un dossier MDPH et une fois le dossier traité pas d’AESH disponibles, peu d’aides financières proposées.. et des professionnels en souffrance partout, des postes vacants partout..
La description des parents me fait pleurer ; « mon bébé allait bien et au moment du 1er confinement son développement s’est arrêté puis il a régressé.. il s’est arrêté de parler, de sourire, de me regarder.. intérêts restreints répétitifs.. stéréotypies.. crises etc..