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​​Quand le national-socialisme prouvait son avantage L'articl | Sans Concession

​​Quand le national-socialisme prouvait son avantage

L'article que nous reproduisons ci-après est paru voilà tout juste 80 ans («La rançon du marché noir», Paris-Soir, 17.VI.1942, p.1, col.A). Il informait que le ministre du Ravitaillement venait d'interdire l'envoi de beurre dans les colis familiaux. Une petite nouvelle en apparence, mais riche d'enseignements.

Sous l'Occupation, de tels envois étaient importants, surtout pour les familles modestes qui, dans les villes, pouvaient difficilement se ravitailler. Celles qui avaient la chance de compter des proches habitant les campagnes pouvaient recevoir du ravitaillement issu des productions familiales ou acheté sur les marchés locaux. Le beurre figurait parmi les produits les plus importants.

Seulement voilà: l'article explique que les envois par colis familiaux avaient favorisé le trafic, c'est-à-dire le marché noir. Or, tout le beurre vendu illégalement à des prix prohibitifs se trouvait retiré du circuit légal où les prix étaient contrôlés, afin de ne pas handicaper les familles modestes. Là comme ailleurs, donc, le marché noir pénalisait les éléments les plus pauvres de la communauté nationale.

Le journaliste pointait les causes immédiates du trafic. La principale était celle-ci: afin que le beurre vendu légalement ne soit pas trop cher, l'État achetait le lait à un prix très bas. En conséquence, de nombreux producteurs préféraient garder leur lait et en faire du beurre pour... faire leur beurre.

Le journaliste proposait ensuite des remèdes: ils passaient par des contrôles renforcés. Certes, c'était alors de la seule solution envisageable et praticable à court terme, mais l'efficacité des contrôles se révéla limitée, car les producteurs et les trafiquants trouvaient la parade, allant même jusqu'à corrompre des contrôleurs eux-mêmes.

Dans cette affaire, il aurait fallu que les producteurs de lait veuillent servir la communauté nationale avant tout. Autrement dit: ils auraient dû vouloir privilégier le Bien commun avant leur bien particulier.

Au sein de l'Allemagne nationale-socialiste, c'était le cas. En France, sauf exception, c'était le contraire. Pourquoi?

En septembre 1938, un éditorialiste avait donné la réponse: "nul régime ne nous inspire plus de dégoût que la dictature et nous préférons encore notre pagaïe générale et chronique à l'ordre mussolinien, à l'organisation hitlérienne." (La Charente. Organe républicain quotidien, 1.IX.1938, p.1)/efn_note

Sans doute, mais un jour où l'autre, ce refus de l'ordre se paie. Hier, c'était avec le beurre. Mais au-delà, c'était à cause d'une défaite militaire issue de cette pagaïe générale. Fort heureusement, le vainqueur, Adolf Hitler, avait donné sa chance à la France, chance que les Français n'ont pas saisie: ils voulaient leur pagaïe et l'American way of life. Aujourd'hui, c'est le pays tout entier qui sombre.

Si, avec la France et l'Europe, Hitler avait gagné la guerre, nous n'en serions pas là. Il est urgent de réhabiliter le national-socialisme.