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« Je ne prétends pas être dans les secrets de Davos. Et, à dir | Covid-1984

« Je ne prétends pas être dans les secrets de Davos. Et, à dire le vrai, les intentions précises – plus ou moins démoniaques, plus ou moins psychotiques – de ces gens-là, le sens exact et sibyllin de leur projet pas tout à fait secret de « reset », je m’en fous. Ceux à qui les événements des derniers mois n’ont pas encore fait comprendre qu’ils doivent être désarmés et annihilés auront mérité le sort que ces bienfaiteurs d’élite leur réservent.
L’énigme, c’est plutôt la courroie de transmission. Entre les masses abruties et infiniment hypnotisables de la démocratie cathodique, qu’on peut agenouiller en les menaçant de la grippe, et cette poignée d’oligarques tout-puissants, les ordinateurs ne suffiraient, de toute évidence, jamais à assurer le relai. Il y a forcément un middle-management (gouvernemental, administratif, universitaire, médiatique etc.), trop intelligent pour croire au containment des virus grippaux, mais aussi trop, beaucoup trop massifié pour être dans ledit secret de Davos. Et cette garde prétorienne doit être équipée d’une idéologie capable de justifier à ses propres yeux la monstruosité qu’elle met actuellement en œuvre.
Énigme, cela dit, vite résolue : Greta Thunberg. Eh oui, comme la lettre volée de Poe, le secret du nouveau totalitarisme est caché en pleine lumière. Tous ces médecins qui vous expliquent que la chloroquine est toxique, tous ces journalistes qui vous montrent des manifestations géantes à Minsk sans « jamais remarquer » que très peu de manifestants y sont masqués (et que les autres n’ont visiblement pas peur), tous ces politicard élus sur des promesses d’État-providence qui depuis six mois vident les hôpitaux et ferment les écoles – tout ce petit monde ne croit évidemment pas un traître mot des bobard dont il fait commerce, mais doit, dans les moments de doute, se dire que tout cela, finalement, est un moindre mal. Car – réelle ou imaginaire – la folie eugéniste des maîtres du monde est disponible, pour leur domesticité, sous la forme dégradée d’une doxa exotérique, à peu près aussi dénuée de fondements scientifiques que l’idéologie covidienne elle-même, mais qui, dans les tissus de l’alphabétisme mal employé, se propage agressivement depuis des décennies, depuis le Club de Rome, à travers les rêveries décroissantes et le bobard de la couche d’ozone, jusqu’à atteindre l’épiphanie pseudo-religieuse du « réchauffement planétaire ».
Quand vous les prenez à part et les soumettez à l’exercice ingrat de la logique, les esclaves peu gradés de Bill Gates finissent tous par abandonner l’argumentation, pour vous lâcher, dans un soupir, que « tout cela, au moins, c’est bon pour la planète ». Ces sous-hommes à lunettes, généralement incapables d’allumer un feu, et qui connaissent la nature principalement à travers des documentaires animaliers, la vénèrent néanmoins sous les traits d’une Gaïa brumeuse, dernière rédemptrice imaginable de leur inadéquation personnelle à la vie humaine, c’est-à-dire hétérosexuelle, audacieuse, inégalitaire et pas Charlie du tout. C’est l’autel sur lequel, sur un signe de leurs maîtres, leur lassitude existentielle consentira finalement – comme à un acte de compassion – à vous sacrifier, vous, vos malheureuses entreprises et vos minables familles, qu’eux-mêmes, moches et inutiles, n’ont jamais songé à fonder. Pour que le ratage complet de leur existence d’avortons conserve un sens, il faut absolument dépouiller la vôtre du sien. « Et alors les animaux pourront enfin vivre tranquilles ». Tout végétarien, en son for intérieur, souhaite ardemment l’extinction de l’homme. »

Modeste Schwartz, 21 septembre 2020