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LA PRESSE SUBVENTIONNÉE IRA JUSQU’AU BOUT Après son article s | REINFO Officiel

LA PRESSE SUBVENTIONNÉE IRA JUSQU’AU BOUT

Après son article sur les foyers de covid à Montréal, probablement dans le but d’entretenir la peur (cf. message précédent), Le Devoir récidive! Cette fois-ci, le voici qui titre triomphalement : « Le vaccin contre la COVID-19 est sécuritaire pour les tout-petits, conclut une étude ».

https://www.ledevoir.com/societe/sante/793236/le-vaccin-contre-la-covid-19-est-securitaire-pour-les-tout-petits-conclut-une-etude

S’ensuivent de longues citations de la docteure Caroline Quach-Thanh, du CHU Sainte-Justine, qui affirme que « cette étude démontre que le vaccin à ARN messager contre la COVID-19 est sécuritaire pour les enfants de 12 ans et moins, ‘point barre’ ».

Point barre, vraiment?

Tout d’abord, pour tenter d’y voir plus clair, nous avons tenté de consulter ladite étude. Premier problème : Le Devoir ne donne pas son titre et donne encore moins le lien pour la trouver! Étonnant pour une si magnifique étude…

Ce n’est qu’après avoir longuement cherché et avoir été sur le point d’abandonner que nous avons fini par trouver la fameuse étude : https://publications.aap.org/pediatrics/article/151/5/e2022060894/191035/Effectiveness-of-BNT162b2-COVID-19-Vaccination-in?autologincheck=redirected

Premier constat, il s’agit de Pediatrics (Pédiatrie)… qui est la revue de l’Académie américaine de pédiatrie… qui n’est pas une « société savante » si l’on en croit le Collège des médecins du Québec (qui nous avait ainsi répondu lorsque nous lui avions posé des questions sur les vaccins, que dire alors d’une académie de pédiatres?).

Revenons à l’étude. Celle-ci démarre très fort, avec les déclarations d’intérêt des auteurs et son financement. On apprend ainsi que l’étude a été financée par les CDC (Centres de contrôle et de prévention de la maladie)… qui sont une agence de santé publique. Agence qui n’a cessé de promouvoir la vaccination. Autant dire que les auteurs n’étaient pas libres.

Mais ce n’est pas tout : on apprend que le premier auteur, Nicola Klein, a reçu des subventions de Pfizer… pour les essais cliniques de son vaccin anti-covid! Il a aussi été financé par Merck, GSK, etc. pour d’autres recherches.

On a donc une étude financée par une agence gouvernementale qui a fait une promotion incessante des « vaccins » et réalisée par un médecin qui a reçu des fonds de Pfizer pour participer à l’essai de son vaccin… qui est l’objet de l’étude! Peut-on faire pire déontologiquement?

Apparemment, cela ne gène ni madame Quash ni Le Devoir.

On remarque aussi que le suivi des effets indésirables n’est effectué que durant 21 jours. On sait que c’est trop peu, bon nombre d’effets indésirables ont lieu plus tard. C’est ce qu’ont démontré Patrick Provost et Hélène Banoun dans cette étude : https://ijvtpr.com/index.php/IJVTPR/article/view/67

On peut aussi s’étonner du fait que seulement une vingtaine d’effets secondaires sont suivis… quand on sait que Pfizer en a listé sur 10 pages (https://phmpt.org/pfizer-16-plus-documents/ reissue_5.3.6 postmarketing experience.pdf)!

Si l’on se limite à une liste réduite et un délai trop court après l’injection, alors de nombreux autres effets ne seront pas pris en compte, ce qui peut donner une fausse impression de sécurité.

On se demande alors où l’on s’en va quand madame Quash déclare que « Les chercheurs n’ont détecté aucune association, dans les 21 jours suivant la vaccination, entre le vaccin et 23 effets secondaires allant de l’appendicite au syndrome de Kawasaki. »

Mais ce n’est pas tout, plus on avance et plus l’entrevue devient littéralement hors-sol.

En effet, madame Quash constate qu’apparemment il y a peu de myocardites associées à la vaccination chez les 6 mois à 5 ans contrairement aux 12-29 ans. La raison selon elle? « La réponse immunitaire est-elle différente ? On ne le sait pas trop. »