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La chose est que le libéralisme joue avec l'offre et la demand | Peter Columns

La chose est que le libéralisme joue avec l'offre et la demande, et que l'offre est en bonne partie constituée d'une masse salariale. Cette masse salariale a des composantes biologiques, culturelles, etc. Si on veut aller au bout du davocratisme, oui, les populations humaines sont des gisements. Et plus nous épuisons les gisements de populations qui nous donnent de la main d'œuvre qualifiée, plus le libéralisme va avoir des problèmes, aussi surement que si nous épuisions le cuivre, le fer, l'uranium, et tous les autres éléments du tableau périodique. Le résultat du phénomène de dépopulation et du Grand Remplacement sera sans doute le suivant : tout ce qui impliquera de la main d'œuvre qualifiée verra son prix exploser. Et de nombreux services qui nous paraissent évident aujourd'hui, notamment dans la maintenance d'infrastructures, ne pourront plus être maintenus.

Pour cette raison, je pense que le davocratisme sera un échec libéral. Une parenthèse. Les davocrates sont d'abord sollicités par les électeurs parce qu'ils vendent un monde utopique où l'immigration pourrait être illimitée, qualitative et quantitative à la fois. Mais c'est une fantaisie. Un pur mensonge. L'immigration qualitative vient de pays avec un taux de fécondité souvent encore pire que le notre, et se trouve déjà être une denrée rare. Au bout d'un moment, oui, la civilisation, l'européanité, finissent par devenir chiffrables et se changent en paramètres économiques. Parce que ce sont des idées qui sont extrêmement tangibles.