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Si on définit l'occidentalisme comme la croyance dans le fait | Peter Columns

Si on définit l'occidentalisme comme la croyance dans le fait que l'Occident est ce qui se fait de mieux au monde, il y a bien deux branches possibles. Une branche universaliste, qui considère que le monde entier doit être occidental. Et une branche identitaire, qui considère que l'Occident doit rester européen.

C'est un désaccord profond sur la nature de la richesse de l'Occident en fait. Les premiers pensent que la richesse vient de valeurs. Ils veulent désincarner les Européens. Les seconds pensent que la richesse vient des peuples européens, qui soutiennent ces valeurs. Ils veulent au contraire que l'Occident soit incarné dans leur chair. Mais fondamentalement, il n'y a pas de remise en question des valeurs elles-mêmes. Ce sont bien deux courants qui ont à cœur la liberté et l'Occident en tant qu'entité plus ou moins unifiée.

La dérive, à la limite, serait plutôt du coté des universalistes, qui seraient prêts à priver les autochtones de toute liberté, et à plonger les jeunes Européens dans des salles de classe avec 75% d'extra-européens, pour que la sacro-sainte assimilation se fasse. Le courant universaliste voit les Européens comme des agneaux sacrificiels pour accomplir l'occidentalisation du monde. Le courant identitaire, lui, veut sauver les Européens, qu'il considère comme le socle de tout.