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In fine, si on pense que nos idées sont bonnes, on ne devrait | Peter Columns

In fine, si on pense que nos idées sont bonnes, on ne devrait pas craindre le libéralisme. C'est un outil pour parvenir à l'optimum. Il est conçu pour tester la viabilité d'un ensemble d'idées et sélectionner les meilleures. Qui s'en sortira le mieux économiquement d'ici 30-40 ans? Le pays qui aura fait le choix du grand remplacement? Ou celui qui aura fait le choix du retour à l'européanité?

Le problème, c'est bien de permettre à l'alternative d'exister. Rien n'empêche les acteurs privés ou bien les états de prendre de mauvaises décisions et d'en subir toutes les conséquences. Ces choses là peuvent prendre du temps, mais la sélection naturelle inhérente au libéralisme finit toujours par s'appliquer. À la fin, un optimum finit par se dégager. Il y a convergence. Cet optimum correspondra à la meilleure identité possible.

Je reste toujours optimiste car cette loi universelle de la sélection s'appliquera toujours. Elle dépasse la simple politique et même nos propres vies. Si j'échoue, c'est tout simplement que j'avais tort.

Il y a une autre conséquence. C'est une guerre d'identités désormais. Porter une identité est une chose. Mais elle ne peut perdurer que si elle nous nourrit et nous rend meilleurs en tant qu'individus. Si jamais elle ne m'apporte rien, si jamais je ne peux pas puiser dedans pour être une meilleure personne, si elle ne me permet pas d'accomplir plus que les autres, alors cette identité n'est pas la bonne. Les échecs et les réussites personnels sont un indicateur de l'efficacité de l'identité que nous portons. C'est aussi comme ça que la solidarité naît au sein d'une identité.