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superbe entretien de Didier RAOULT a la commission d’enquête C | Soutien au professeur Perronne

superbe entretien de Didier RAOULT a la commission d’enquête Canada

1 -l’immense majorité des infectiologues actuels ne SAIT PAS réfléchir face à une maladie nouvelle. Leur pratique professionnelle est de construire des protocoles pour les médicaments proposés par l’industrie
Pharmaceutique dans les maladies chroniques (SIDA, hépatites). Il n’y a jamais eu de consensus de réflexion sur les épidémies mais une simple domination des infectiologues ayant ces pratiques.
2-il y a eu plusieurs épidémies, liées à différents variants, dont seulement certaines ont été des pandémies (variant se trouvant dans le monde entier). Ce caractère mutagène du SARS COV 2, lié à certaines de ses particularités de structure, explique qu’il n’y ait
Pas eu qu’une seule épidémie (printemps 2020), mais plusieurs successivement.
3-l’interet de l’HCQ est d’augmenter un peu le ph des cellules. Cela modifie le comportement des cellules en réaction au virus et permet de bloquer la réplication virale. C’est un médicament sans risque utilisé habituellement pour la paludisme et en rhumatologie.
On savait qu’il potentialisait l’activité antivirale des antibiotiques dans le cas de la fièvre Q, et son utilité avait été identifiée pour le SARS. Les chinois avaient commencé à utiliser HCQ avec succès.
L’IHU a d’abord identifié la baisse de la charge virale associe au traitement HCQ / AZ, avant d’identifier l’intérêt de ce traitement sur la mortalité.
4-DR n’a pas voulu participer au conseil scientifique car les politiques voulaient imposer des mesures politiques non scientifiques « au nom de la science » - comme les masques. Il n’a pas joué le jeu qu’ont joue fauci et delfraissy, à savoir servir de faire valoir aux politiques
4-de manière générale la gauche est passée d’une opposition idéologique aux vaccins, à une adhésion idéologique aux vaccins.
5-on a exagéré le risque lié au virus. Car il ne mettait en danger la vie que des personnes âgées, obèses, diabétiques et trisomiques. Il aurait fallu se concentrer sur les sujets à risque. En EHPAD la mortalité a été diminuée par deux avec les interventions médicales
6-la dramatisation à outrance de l’épidémie a conduit a d’affranchir des règles et bonnes pratiques de conception et évaluation de vaccins. Il n’est pas possible de valider l’efficacité d’un vaccin en 6 mois comme le veut bill gates.
7-le vaccin a été vendu comme une baguette magique pour contrôler l’épidémie alors que son efficacité sur l’incidence / transmission n’a jamais été évaluée. En pratique on a su très vite qu’il n’y avait pas d’efficacité sur la contamination.
pour les infections virales respiratoires, en général, pour le moment il n’existe pas de vaccin protecteur de manière durable car la maladie elle même n’est pas immunisante. C’est pareil dans la grippe (mutations, maladie non immunisante)… avec en ce cas une protection
Contre la contagiosité de très courte durée (qui fait qu’on le recommande aux soignants pour la saison hivernale).

Par ailleurs Dans le cas de la grippe les vaccins, tout au plus,
Diminuent un peu la gravité chez les personnes à risque. Mais même sur ce point, il faut prendre en considération le fait que les personnes à risque ont une faible immunité et ne sont pas de bons répondeurs… ce qui est aussi le cas avec le Covid.
9-concernant l’évaluation des vaccins, sur un temps aussi court que ce qui a eu lieu dans le Covid, il n’a pas été possible d’évaluer efficacité et innocuité sur tous les groupes notamment femmes enceintes et enfants. Et bien évidement pas de tests sur la durée
10- en pratique on a vu aucune efficacité sur la contagion donc le contrôle de l’épidémie. Pour les sujets les plus âgés au delà de 75 ans il y a une petite efficacité