2022-04-27 09:48:15
Envoi de la prise de position sur le document de base du Conseil fédéral Le 30 mars 2022, le Conseil fédéral a levé la «situation particulière» et a envoyé le même jour aux cantons un
«document de base» pour prise de position. Dans ce document, il déclare une
«phase de transition jusqu'au printemps 2023 au moins» en raison de prétendues «incertitudes persistantes» liées à la «pandémie Covid-19». Pendant cette période, la Confédération et les cantons doivent pouvoir réactiver à tout moment toutes les mesures prises jusqu'à présent, en plus de certaines mesures de préparation.
Ce faisant, le Conseil fédéral ne tient absolument pas compte des enseignements attendus et à prendre impérativement en compte de la crise du Covid-19 des 27 derniers mois. En conséquence, le Conseil fédéral continue de miser sur un concept de gestion des pandémies de l'OMS, dépassé depuis longtemps :
des tests PCR dont l'inefficacité à des fins de diagnostic a été démontrée;
l'isolement arbitraire et l'extension systématique du contact-tracing;
le régime 3G anticonstitutionnel;
les vaccinations à mRNA inefficaces et à risque;
des négociations sur l'extension des compétences de l'OMS.
Au lieu de cela, il faut garantir des mesures qui auraient dû être prises depuis longtemps :
un examen indépendant et critique de l'ensemble de la «gestion des pandémies» pratiquée jusqu'à présent par le CF (contrôle de qualité);
des méthodes de diagnostic fiable de la maladie;
des capacités hospitalières et de personnel suffisantes;
des alternatives aux injections d'mRNA connues depuis longtemps et efficaces doivent être autorisées et communiquées.
En outre, le Conseil fédéral doit rompre toutes les négociations avec l'OMS qui, sous prétexte d'une «pandémie» (déclarée arbitrairement par l'OMS), réduiraient la Suisse à un simple rôle de destinataire d'instructions de l'OMS. Le pouvoir de décision concernant la durée des réglementations d'urgence, des compétences spéciales et des mesures spéciales doit impérativement rester en Suisse, conformément à la Constitution en vigueur depuis 1999. Dans ce contexte, la démocratie, les droits fondamentaux et la séparation des pouvoirs doivent être protégés même en période de «pandémie».
À la
prise de position
549 viewsVincent Lampiste, 06:48