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2020-02-06 00:16:37 SRD

Le « Service de Règlement Différé » donne à l’investisseur la possibilité d’acheter ou de vendre des actions à crédit. Il ne devra les payer que lorsqu’elles lui seront livrées, c’est-à-dire, le dernier jour du mois boursier (appelé « jour de liquidation »). Les plus-values générées par les ventes à découvert seront également payées ce jour-là.

Ce système n’est accepté que sur les comptes titres, les PEA (Plan Epargne Action) ne pouvant pas en bénéficier.

De plus, ce système n’est pas réalisable pour toutes les valeurs présentes sur le marché. Les entreprises émettrices doivent répondre à certaines conditions pour que leurs actions soient éligibles au SRD.

En échange de ce prêt, l’investisseur doit payer des intérêts journaliers (qui s’ajoutent aux frais de courtage), appelés Commission de Règlement Différé (CRD). Ils sont calculés en fonction du nombre de jours restant avant le jour de liquidation et du montant de l’ordre passé.

Il faut aussi noter que le SRD permet d’utiliser un effet de levier lors de l’achat ou de la vente d’un actif financier (jusqu’à cinq fois dans certains cas).

Quelles sont les valeurs éligibles au SRD ?

Pour qu’une société puisse proposer des titres payables au SRD, il faut :

- Faire partie du SBF 120, qui réunit les 120 meilleures capitalisations boursières de France

- Avoir un volume journalier d’échanges supérieur à 1 million de titres

- Une capitalisation boursière qui dépasse 1 milliard d’Euros.

Un mois après leur acceptation les valeurs sont ajoutées au SRD.

Les « SRD long only » est plus souple au niveau des critères d’admission : les valeurs deviennent éligibles dès qu’elles atteignent un volume d’échange quotidien de 100 000 €. En revanche, ce service ne permet pas les ventes à découvert, ce qui réduit les risques de pertes.
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2020-02-05 23:37:57 Effet de levier

L’effet de levier est un système d’emprunt permettant d’investir plus que les capitaux propres que l’on possède.

Il s’applique à divers marchés et a pour but d’augmenter les profits grâce à un investissement qui serait impossible sans cet endettement.

Par exemple, une société décide de faire un prêt à la banque dans le but d’acheter de nouvelles machines : l’effet de levier correspond à la somme qu’elle doit emprunter qui est de X fois le montant de ses capitaux propres.

Si l’utilisation de ces machines apporte une rentabilité économique supérieure au montant de l’emprunt, alors l’endettement a permis à l’entreprise de se développer.

En revanche, si la dette est supérieure à la rentabilité, l’entreprise est incapable de rembourser le prêt : l’effet de levier négatif entraîne alors la société vers la faillite.

L’effet de levier en bourse

Lorsque l’on décide de spéculer sur les marchés financiers, il est possible d’opter pour un effet de levier plus ou moins important lors de son investissement. Si la prévision d’évolution des tendances est correcte, l’effet de levier aura pour conséquence une multiplication (parfois très
importante) des gains.

Cependant, les risques de pertes sont eux aussi multipliés : en cas d’évolution défavorable des cours des actifs financiers, il existe une possibilité de perte totale du capital.

Chaque jour après la fermeture de la bourse, la Chambre des Compensations lance les »appels de marge » auprès de ceux qui ont pris des positions dont les risques de pertes sont supérieurs à leurs capitaux propres. Soit ils ajoutent des fonds pour assumer ces risques, soit leur position est fermée.
Jouer avec l’effet de levier est donc réservé à ceux qui maîtrisent parfaitement les notions d’investissement sur les marchés financiers.
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2020-02-04 23:18:13 Gap

Un « Gap » est un terme économique utilisé pour qualifier un laps de temps pendant lequel il n’y a aucune transaction boursière. Il peut s’observer par
exemple sur un graphique en chandelier japonais, ou en « bar charts ».

C’est un espace intermédiaire qui peut intervenir entre l’heure de fermeture et d’ouverture des actions sur les places boursières, ou juste après l’annonce d’une information financière particulière. Pendant ce temps, les investisseurs hésitent sur la conduite à adopter et l’on constate un certain déséquilibre entre l’offre et la demande, d’où le Gap.

Les différents types de Gap et leurs interprétations

On distingue quatre genres de Gaps :

- Le Gap commun : c’est la forme la plus courante. Ce Gap n’influe pas beaucoup sur la tendance générale du cours de l’actif.

- Le Gap d’accélération (également appelé de « continuité ») : il confirme une tendance haussière. La courbe s’arrête soudainement pour repartir à un
niveau plus élevé et laisse apparaître un Gap entre les deux valeurs (il n’y a donc eu aucun échange intermédiaire).

- Le Gap de rupture : il « casse » l’évolution de la tendance et signifie généralement une modification inattendue du comportement des spéculateurs. Si l’évolution est à la baisse, le Gap joue le rôle de «
résistance » sur le graphique. Si au contraire la tendance repart à la hausse, le Gap devient alors un « support ».

- Le Gap d’épuisement : il intervient entre deux tendances radicalement opposées. Il est donc considéré comme le signe évident d’un retournement
de situation, clairement exprimé sur les graphiques.

Que veut dire « combler un Gap » ?

Les Gaps de moindres importances, comme les Gaps communs sont « comblés » rapidement. Cela signifie que le cours de l’actif est revenu au même niveau que celui qui précédait le Gap
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2020-02-01 18:59:19 Liquidité

La « liquidité » d’un marché définit la capacité de celui-ci à proposer aux investisseurs une grande quantité de titres facilement échangeables.

On dit de ces actifs qu’ils sont « liquides », c’est-à-dire qu’ils peuvent s’acheter et se vendre à n’importe quel moment. Ce sont des placements à court terme qui dynamisent les différents types de marchés (boursiers, gré à gré…) par le volume important des transactions.

L’équilibre relatif entre l’offre et la demande permet ainsi une certaine stabilité.

De plus, les actifs liquides ont plusieurs avantages comme des coûts de transactions réduits, ou l’ouverture et la fermeture rapide des positions.

Les investissements moyen et long terme (comme c’est le cas des titres immobiliers par exemple) ont en revanche, une liquidité plus limitée.

Quand les banques centrales décident d’injecter des liquidités

Il arrive parfois, après un krach boursier ou pour faire face à une situation de crise économique, que les banques centrales décident d’injecter des
liquidités sur les marchés financiers.

Elles émettent une grande quantité de titres liquides pour faciliter la relance économique en tentant de rétablir un équilibre entre la quantité de vendeurs
(devenus trop nombreux) et d’acheteurs.

C’est en quelque sorte un procédé « d’urgence » destiné à attirer à nouveau les investisseurs pour faire circuler le plus de fonds possible.

Risque de liquidité :

À chaque nouvelle séance, le niveau de liquidités d’un marché varie, soit parce qu’il enregistre un faible volume de transactions, soit parce que les coûts de transactions sont trop élevés à un moment donné : c’est le « risque normal de liquidité ».

En cas de crise grave, on parle de « risque de crise de liquidité » : il est impossible de trouver des acheteurs puisque tout le monde veut vendre ses titres. Le marché devient donc « illiquide ».
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2020-02-01 18:55:45 Horizon d’investissement

L’horizon d’investissement ou horizon de placement est une expression utilisée pour désigner la limite de temps maximum d’un placement financier.

Cette durée est variable : elle se détermine en fonction du type de placement choisi, lui-même dépendant du profil de l’investisseur.

Cette démarche permet par exemple aux intermédiaires financiers de proposer à leurs clients une gestion de leur portefeuille adaptée à leurs attentes en termes de rendements ou de prises de risques.

Il est intéressant de souligner que plus l’horizon d’investissement est important, plus les risques de pertes sont limités, puisque les placements sont moins sensibles à la volatilité du cours des actifs.

L’horizon d’investissement est indissociable du profil d’investisseur :

Le profil d’investisseur est évalué d’après divers critères comme sa tolérance au risque, les objectifs de rendements (constitution de capital, ou recherche de profits), son patrimoine immobilier ou encore l’âge de
l’investisseur.

Ainsi on distingue principalement :

- Le profil défensif : il se base principalement sur des placements à court terme (moins de trois ans). Il est donc dirigé vers des investissements sans risques comme des livrets d’épargnes, ou des SICAV monétaires à faibles rendements.

- Le profil moyen : son horizon d’investissement est compris entre trois et huit ans. Plus risqué, le portefeuille de ce type d’investisseur se compose d’obligations, d’actions et d’immobilier.

- Le profil Dynamique : il possède un horizon d’investissement supérieur à huit ans. Son portefeuille est composé d’une majorité d’actions. Il
recherche un haut rendement, acquis sur une longue période.

Il existe d’autres profils intermédiaires (prudent, équilibré, faible…) selon les agences de placement. De plus, le profil de l’investisseur doit être réévalué à chaque changement de situation personnelle pour réajuster le portefeuille et l’horizon d’investissement de chaque placement.
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2020-02-01 18:52:24 Volatilité

La « Volatilité » exprime la variation continue du cours d’un actif financier par la succession de hausses et de baisses de sa valeur durant une certaine période.

Elle sert de base aux investisseurs pour définir l’importance du rapport risque/rendement lors de leurs prises de position.

Une forte volatilité est le signe d’un grand nombre d’échanges, reflétant ainsi la liquidité du marché.
Un cours très volatile augmente la possibilité de réaliser des plus-values importantes, associées à un risque de perte tout aussi élevé.

La volatilité représente donc un élément essentiel de l’analyse technique et complémente l’étude de la tendance globale.

Volatilité historique et volatilité implicite :

Les experts financiers peuvent appuyer leur analyse du marché en calculant deux types de volatilités.

La volatilité historique étudie la fluctuation d’un cours sur une période donnée (et déjà passée), afin de déduire ses futurs mouvements grâce au calcul de l’écart type. Ce dernier consiste à définir une moyenne de base située entre les différentes variations.

La volatilité implicite exprime l’anticipation des futures variations du cours de la part des spécialistes financiers. Elle détermine la valeur du risque lié à un actif par rapport au rendement espéré. Elle s’utilise généralement pour les produits dérivés comme les options et a un impact direct sur le montant de la prime de risque de ces instruments financiers.

La volatilité des marchés :

La formule mathématique qui sert à calculer la volatilité d’un titre financier peut être éventuellement adaptée pour mesurer la volatilité d’un marché spécifique, d’un secteur d’activité particulier, ou encore d’une zone géographique.

Aux États-Unis, il existe même un indice qui reflète la volatilité du marché boursier américain : le VIX. Plus la valeur de l’indice est forte, plus le risque est important.
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2020-02-01 18:48:35 PIB

Le PIB (Produit Intérieur Brut) est une valeur obtenue par l’addition de l’ensemble des revenus bruts (« valeurs ajoutées brutes ») réalisées à l’intérieur d’un pays par : les entreprises de tous les secteurs d’activités confondus, les ménages et les institutions publiques.

On ajoute ensuite la TVA récupérée par l’État ainsi que les droits de douanes, puis on soustrait les subventions.

Contrairement au PNB (Produit National Brut), le calcul du PIB ne prend pas en compte les revenus perçus au travers des exportations, ni ceux des sociétés nationales établies à l’étranger.

Le résultat sert à mesurer la production économique d’un pays sur une période déterminée (généralement d’un an).

Une augmentation du PIB indique donc une économie en bonne santé, alors que sa baisse est souvent le signe d’une période de récession.

PIB par habitant et PIB réel :

Lorsque l’on divise le PIB d’un pays par son nombre d’habitants, on obtient le PIB par habitant.

Il sert d’indicateur pour apprécier le niveau de vie de chaque habitant.

En période de crise, il est donc logique d’assister à une diminution de ce ratio.

Le PIB « réel » sert à calculer le volume des productions de biens et services de l’État, sans prendre en compte l’évolution des prix.

Cette donnée sert de base pour mesurer la croissance du PIB d’une année sur l’autre, indépendamment de l’influence que peut avoir l’inflation sur le résultat final.

PIB mondial

Le PIB mondial est calculé par le Fond Monétaire International (FMI) et la Banque Mondiale.

Le PIB de chaque pays est préalablement converti en Dollars US selon le taux de change correspondant à chacune des Devises.

Le PIB mondial représente le total obtenu de l’addition des tous ces PIB.
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2020-01-25 23:39:20 Forex

Le forex (contraction de « Foreign Exchange », marché des changes en Français) parfois méconnu du grand public, est le marché international où l’on achète et vend les monnaies. En effet depuis 1973 leur cotation est libre et fixée par le marché lui-même, à la manière des actions.

Une cotation continue 24/24h en semaine :

Cette première démarcation par rapport au marché action cache en réalité

un double bénéfice :

Pas de gaps en semaine : à part quelques sauts de puce (rares), fini le problème de gaps journaliers des actions ! Seul le weekend restera soumis à cette règle et souvent dans des proportions très raisonnables. Pour l’analyse des graphiques, c’est le top.
Pouvoir prendre des positions à n’importe quelle heure : si vous travaillez ou faites des études, la frustration est grande de ne pouvoir suivre les cours et trader pendant la journée. Avec le forex, coté en continu, vous pourrez ouvrir et fermer des positions le matin, à midi, et le soir en temps réel.

Une liquidité quasi sans limite :

Avec un volume global d’échanges quotidien de plus 4000 milliards de dollars (vous avez bien lu !), le marché des changes est le plus liquide au monde.

À moins de taper dans les monnaies très exotiques (Roumanie, Afrique du Sud…), vous n’aurez JAMAIS de problèmes de liquidité, -et donc d’exécution d’ordre- sur le forex.

Si vous rencontrez des problèmes d’exécution au-delà de quelques secondes (pendant de fortes annonces économiques) : changez vite de courtier !

En effet certains brokers peu scrupuleux attendent volontairement avant de passer votre ordre pour vous faire perdre quelques ticks… Soyez intransigeant si vous rencontrez des problèmes.

Voici un très bon courtier, rapide et très peu cher, que j’utilise au quotidien : Oanda. Il est compatible avec Metatrader (je ne suis pas affilié).

Des ordres dans les deux sens :

Le forex est un produit bidirectionnel : comme il est coté en paires (euro contre dollar, livre contre yen, etc.) vous pouvez vous positionner soit à l’achat, soit à la vente, au moment de l’ouverture de votre trade.
En effet, dans un cas vous achetez la première devise de la paire contre l’autre et dans l’autre cas, c’est l’inverse.

Je pourrais encore ajouter qu’il n’est pas soumis à la taxe sur les transactions financières, et que les frais de commission sont réduits au simple spread.

Un excellent courtier forex : Oanda

Oanda par exemple est un bon courtier sur le forex . Il est compatible avec Metatrader, fonctionne très bien et propose un choix varié de symboles.

Du fait de sa spécialisation, le coût des commissions y est beaucoup plus faible que chez les courtiers banque de type Boursorama et Fortuneo.
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2020-01-25 00:43:21 Crise économique

Le terme « crise économique » aussi appelé « dépression économique » fait référence à une période de troubles affectant l’équilibre financier général.

Selon son ampleur, cette crise peut atteindre une zone plus ou moins grande : elle peut s’étendre aussi bien sur une région que prendre des dimensions internationales, on parle alors de »récession ».

Ses causes sont très diverses : éclatement d’une bulle spéculative, mauvaise régulation des marchés financiers…

Ses conséquences peuvent alors être sévères et toucher la plupart des secteurs d’activités, entraînant avec elle des réactions en chaîne comme la faillite de nombreuses entreprises, une forte croissance du chômage, ou encore une suspension des crédits.

Conséquences d’une dépression économique sur la population :

L’ampleur d’une crise économique est surtout définie par sa portée directe sur la population :

- Baisse des salaires des travailleurs

- Perte de l’emploi : dû à la faillite ou à la délocalisation de la société

- Impossibilité de crédits auprès des banques qui ne veulent plus prendre de risques auprès des particuliers

- Augmentation des impôts : pour éponger la dette nationale

- Baisse du pouvoir d’achat

Toutes ces conséquences entraînent irrémédiablement une baisse de la consommation, qui elle-même entraîne une baisse de production des entreprises et donc à nouveau des licenciements.

Peut-on anticiper une dépression économique ?

Les experts de l’économie ont constaté une certaine régularité dans le temps qui sépare les différentes périodes de crise. Ces périodes sont définies comme étant des »cycles économiques ».

Mais cet aspect théorique n’est pas suffisamment fiable pour prévoir avec certitude une dépression puisque celle – ci dépend également de nombreux facteurs imprévisibles : croissance soudaine d’une bulle spéculative, changement de politique de l’État…

Cependant, même s’il est difficile de prévoir les causes, il est plus aisé de repérer les conséquences éventuelles de certains changements économiques et donc, de mieux s’y préparer.
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2020-01-25 00:36:07 Bulle spéculative

Une bulle spéculative, ou bulle financière est un terme utilisé par les experts de la finance pour désigner le prix d’un actif boursier dont la valeur est exagérément élevée. Les investisseurs « pensent » seulement que la valeur de l’action va augmenter sur le court terme et décident d’acheter en
conséquence.

Ils ne prennent pas en compte les facteurs habituels de l’analyse financière, qui permettent par exemple de comparer les actifs de même nature entre eux.

Cependant, cette hausse soudaine est fragile et fini généralement par éclater, immédiatement suivie d’une chute spectaculaire du prix des actifs.

Les éléments pouvant causer une bulle spéculative

Une bulle boursière est souvent la conséquence de plusieurs faits :

- Une tendance haussière : lorsque la valeur d’un actif semble promettre une croissance à long terme, l’optimisme des spéculateurs est communicatif.

- De faibles taux d’intérêt : qui permettent aux investisseurs d’emprunter grâce à la politique monétaire avantageuse menée par les banques centrales.

- L’appât du gain : les actionnaires, surtout ceux qui méconnaissent la notion de « risques de pertes » des marchés financiers, pensent pouvoir faire un maximum de profits en un minimum de temps, sans aucune
expérience.

Bulle spéculative et crise économique

Lorsqu’un bulle spéculative éclate, elle entraîne avec elle de nombreux secteurs d’activités.

La conséquence directe qui en émane est une crise économique comme celle de 2008, dont les effets se font toujours ressentir aujourd’hui à l’échelle mondiale.

Elle a été causée par une bulle immobilière : les prix des biens immobiliers ont augmenté et lorsque le marché s’est effondré, les emprunts dépassaient largement la valeur réelle de ces biens revenue à la normale.

Même en vendant leurs biens, les emprunteurs (particulièrement ceux du secteur bâtiments) se sont retrouvés sans emploi, incapables de couvrir leurs dettes.
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