Les armées burkinabè, malienne et nigérienne, avec qui ils ont, selon leurs propres dires, fort bien collaboré pendant 12 ans, se seraient du jour au lendemain transformées en assassins de civils innocents.
Les terroristes et leurs complices, qu’ils sont prétendument “venus combattre en Afrique à la demande des autorités”, sont subitement présentés comme “des victimes, des rebelles ou des opposants.” Gros lol!
Chaque fois que les militaires/mercenaires et terroristes français ou financés par la France perdent du terrain en Afrique, l’aile médiatico-politico-humanitaire monte au créneau.
Au menu: rapports à charge sur des crimes allègrement attribués aux armées concernées sans preuves tangibles, appels aux soulèvements populaires, financement d’opposants et d’organisations de la société civile, reportages mensongers… Étrange, n’est-ce pas?
