C'est ce qu'on dit et répète depuis décembre 2020, c'est ce qu | Jonathan Sturel

C'est ce qu'on dit et répète depuis décembre 2020, c'est ce que des gens comme le professeur Raoult disent depuis décembre 2020. Et le dire depuis cette date nous a valu d'être traités de complotisses et d'antivax, y compris par Médiapart qui a attaqué le professeur avec un zèle semblable à celui que BFM a lui-même déployé contre lui.

Maintenant que les passions s'atténuent, les langues commencent enfin à s'agiter. Nous disions presque sur le ton de la rigolade qu'un complotisse, c'est quelqu'un qui a 6 à 18 mois d'avance sur les autres. On y est ! Une fois de plus, la démonstration s'applique, avec d'autant plus de clarté qu'en prime de plus en plus de gens commencent à poser publiquement la double question de 1) la pertinence scientifique de la vaccination industrielle et 2) des effets secondaires qu'il devient impossible de taire plus longtemps.

Nous n'étions pas fous, chers amis, et nous n'étions pas des ennemis de la science. Au contraire, nous étions ses meilleurs amis et ses défenseurs. L’irrationalité, la surenchère, la perte des repères, l'hubris, l'entêtement, la mauvaise utilisation de solutions médicales, la négation des évidences, la vaccination des enfants, la haine contre les non-vaccinés, les attestations auto-signées de sortie, les couvre-feux, la fermeture des rayons lingerie et jouets, l'interdiction de boire son café debout, l'intimidation des médecins, évidemment cette folie suprême qu'était le passe McKinsey, tout ceci c'est LEUR bilan, pas le nôtre. Et il n'y avait rien de scientifique dans toute cette folie.

Nous ne sommes pas beaucoup aujourd'hui à pouvoir nous regarder dans un miroir sans voir un salaud.

J'en profite pour redire merci à tous les amis, ici et ailleurs, qui ont résisté au tourbillon. Comprendre leur bêtise était méritant, lui résister était héroïque.