Une nouvelle qui va permettre de rétablir au moins deux vérité | Jonathan Sturel

Une nouvelle qui va permettre de rétablir au moins deux vérités :

1. Oui, la piqure expérimentale a causé des effets secondaires nombreux.

2. Oui, le wokisme relève de la psychiatrie.

L'Agence Nationale de Sécurité du Médicament, qui ne peut plus faire semblant d'ignorer que beaucoup de femmes se plaignent de troubles menstruels depuis leur vaccination, les invite maintenant à se rapprocher de l'institution pour en faire état.

1. Nous allons pouvoir officialiser et quantifier l'importance de cet effet secondaire indésirable et ainsi tordre le cou au mythe publicitaire qui faisait de cette piqure un élixir de vie magique et parfait.

2. Mon petit doigt me dit que 100% des personnes à propos de qui nous vérifierons en effet que la piqure a provoqué des troubles menstruels seront des femmes. Je veux dire : des vraies femmes, pas des mecs qui s'habillent en femmes, pas des mecs qui veulent qu'on les appelle Karen parce qu'une clinique peu regardante sur l'état de leur santé mentale a accepté de leur couper les bijoux de famille. De cette manière, nous rétablirons un fait biologique que le wokisme prétend contester, à savoir qu'il n'y a que deux sexes, le sexe féminin et le sexe masculin, à savoir que l'on ne peut pas passer de l'un à l'autre et que si vous avez des règles, c'est que vous êtes une femme. Et qu'il y a pas de «personnes qui menstruent» comme le dit le wokisme, il y a des femmes, les seules qui menstruent et personne d'autre, point.