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"Offres d'emploi" qu'ils appellent ça, leur piège à bagnards. - Michel Audiard

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Les derniers messages 3

2019-11-22 20:46:52 Après la charge mentale, la dessinatrice Emma croque le monde du travail (et ses dérives)

Elle est connue du grand public pour avoir exploré la « charge mentale » que subissent les femmes. Dans son dernier opus, la dessinatrice Emma explore le monde du travail. L’occasion d’en discuter avec elle.

Le dimanche soir | Emma
https://emmaclit.com/2019/10/24/le-dimanche-soir/
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2019-11-19 19:47:01 Quant tu remercies un esquimau pour t'avoir déposé du poisson dans ton igloo, alors que tu n'avais pas fait une bonne pêche, il te répond, sur un ton très sérieux (indiquant que le gars a parfaitement conscience du glissement) que le remercier pour ce geste c'est ouvrir la porte à l'esclavage, au marché. Il utilise d'autres mots bien sûr.

L'esquimau qui te donne, tu lui donneras aussi le moment venu.

Le trop d'avoir met en danger l"être, et ça commence avec le surplus de pêche, le surplus de blé, de rondins de bois, de bétail.

Etienne Chouard raconte très bien cette histoire.

Les esquimaux le savent (le savaient?).

Nous ne sommes pas bien élevés, on nous a mal dit les choses.

Nous sommes donc, et c'est très sérieux, nous sommes "maudits" (mal-dits).

Ceux qui se battent contre l'inflation ont en même temps intérêt à ce qu'il y ait du chômage. Le chômage sert d'outil de chantage, d'outil de terreur. Le chantage est un outil qui terrorise les travailleurs pour qu'ils soient dociles (pour qu'ils ne réclament pas d'augmentation de salaire, de meilleures conditions de travail, qu'ils n'exigent pas d'être payés quand ils font des heures supplémentaires, etc...). Le chômage rend docile. Et inversement, l'absence de chômage rend exigeant. La classe ouvrière est mieux traitée quand il n'y a pas de chômage. #NAIRU

Il faut refaire du chômage - des caisses de chômage - un levier d'émancipation et pas courir à nous soumettre tous à des maîtres exploiteurs en espérant qu'une fois qu'ils nous auront tous embauchés (plein emploi), on aura un rapport de force pour les renverser. Ça, c'est de l'imposture !




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2019-11-19 10:14:35 Complément d'enquête : « Mon boulot ne sert à rien ! »  

A l’heure où les Gilets Jaunes célèbrent l’an1, Complément d’enquête sur une France qui ne trouve plus sa place dans un monde du travail toujours plus frénétique.   Ils sont « analyste de spectre » ou « coordinateur de flux transverse » et ne comprennent pas l’intitulé de leur poste ! Selon un récent sondage, 12 % des salariés français pensent occuper un « bullshit job », un « job à la con », comme l’a théorisé le chercheur américain David Graeber. Que répondre à cette génération désenchantée qui gagne bien sa vie mais meurt d’ennui au travail ? Inquiets de perdre leurs troupes, des managers font appel à des « poetic officers ». Ou l’art d’apporter de la poésie dans un monde de brutes ! 
Cols blancs en quête de sens... et cols bleus en quête d’avenir.

(France 3 - 14/11/2019)
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2019-11-18 17:14:04
Quand vous dépensez la totalité de vos revenus pour la nourriture et un toit, votre travail ne peut plus être considéré comme une "opportunité de progrès économique" mais plutôt comme un acte de survie dû à l'instinct de conservation.

Dans la vie réelle on appelle ça ESCLAVAGE

• #argent #revenus #salaire #travail #emploi #esclavage #économie

@Publiquations
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2019-11-18 17:13:24 ​​manuel de prostitution sociale - Terre Noire
http://www.le-terrier.net/polis/terrenoire/mauel_prostitu.htm
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2019-11-18 16:25:46
"La norme est de s'habiller avec des vêtements que vous achetez pour porter au travail et conduire dans le trafic une voiture que vous n'avez pas fini de payer - afin d'avoir le travail qui vous permet d'avoir des vêtements, la voiture et la maison que vous laissez vide toute la journée afin d'avoir les moyens d'y vivre." - Ellen Goodman

• #travail #emploi #argent #consommation #absurdité #norme

»»» @Sollicitations «««
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2019-11-18 16:22:19 https://m.vk.com/@jesuisemployable-travailler-cest-se-constituer-prisonnier
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2019-11-18 16:17:47 « Le pire d'après moi, est d'arriver à convaincre les plus "moutons" que le haut taux de chômage est dû à la paresse des chômeurs et de voir les citoyens désabusés au travail blâmer les sans emploi. Personne ou presque ne pointe du doigt les mécanismes politiques derrière ces hauts taux de chômage et basse inflation. C'est un élément important à bien comprendre pour les membres de la résistance pour pouvoir l'expliquer aux autres, sinon, qui le fera ? » — Peter Moore



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2019-11-18 16:05:32 ​​Fonction logistique de l'individu

« L'individu sert le système industriel non pas en lui apportant ses économies et en lui fournissant son capital, mais en consommant ses produits. Il n'y a d'ailleurs aucune autre activité religieuse, politique ou morale, à laquelle on le prépare de manière aussi complète, aussi savante et aussi coûteuse » (Galbraith).

Le système a besoin des hommes comme travailleurs (travail salarié), comme épargnants (impôts, emprunts, etc.), mais de plus en plus « comme consommateurs ». La productivité du travail est de plus en plus dévolue à la technologie et à l'organisation, l'investissement de plus en plus aux entreprises elles-mêmes (cf. l'article de Paul Fabra, Le Monde, 26 juin 1969, « Les superbénéfices et la monopolisation de l'épargne par les grandes entreprises ») - « là où l'individu en tant que tel est aujourd'hui requis et pratiquement irremplaçable, c'est en tant que consommateur ». On peut donc prédire de beaux jours et un apogée futur au système de valeurs individualistes – dont le centre de gravité se déplace de l'entrepreneur et de l'épargnant individuel, figures de proue du capitalisme concurrentiel, au consommateur individuel, s'élargissant du même coup à la totalité des individus – dans la mesure même de l'extension des structures techno-bureaucratiques.

Au stade concurrentiel, le capitalisme se soutenait encore vaille que vaille d'un système de valeurs individualistes bâtardé d'altruisme. La fiction d'une moralité sociale altruiste (héritée de toute la spiritualité traditionnelle) venait « éponger » l'antagonisme des rapports sociaux. La « loi morale » résultait des antagonismes individuels, comme la « loi du marché » des processus concurrentiels : elle préservait la fiction d'un équilibre. Le salut individuel dans la communauté de tous les chrétiens, le droit individuel limité par le droit des autres – on y a cru pendant longtemps. C'est impossible aujourd'hui : de même que le « libre marché » a virtuellement disparu au profit du contrôle monopolistique, étatique et bureaucratique, de même l'idéologie altruisme ne suffit plus à restituer un minimum d'intégration sociale. Nulle autre idéologie collective n'est venue relayer ces valeurs. Seule la contrainte collective de l'Etat vient juguler l'exacerbation des individualismes. D'où la contradiction profonde de la société civile et politique en « société de consommation » : le système est forcé de produire de plus en plus d'individualisme consommateur, qu'il est en même temps contraint de réprimer de plus en plus durement. Ceci ne peut se résoudre que par un surcroît d'idéologie altruiste (elle(même bureaucratisée : « lubrification sociale » par la sollicitude, la redistribution, le don, la gratuité, toute la propagande caritative et des relations humaines). Rentrant elle-même dans le système de la consommation, celle-ci ne saurait suffire à l'équilibrer.

La consommation est donc un puissant élément de contrôle social (par l'atomisation des individus consommateurs), mais elle entraîne par là même la nécessité d'une « contrainte bureaucratique » toujours plus forte sur le processus de consommation – laquelle sera en conséquence exaltée avec toujours plus d'énergie comme le « règne de la liberté ». On n'en sortira pas.

(Jean Baudrillard – Pour une théorie de la consommation – La société de consommation, ses mythes, ses structures)
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2019-11-18 08:14:37
• #emploi #temps #argent #énergie #vie

@Publiquations
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