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A L'OCCASION DE LA JOURNÉE INTERNATIONALE DE L'IVERMECTINE, Dr | INFO - collectif parents Suisse

A L'OCCASION DE LA JOURNÉE INTERNATIONALE DE L'IVERMECTINE,
Dr Arturo Perez, médecin en Suisse (canton de Vaud) a donné sa première intervention médiatique.

Sur Radio Libre, au micro de Charly Pache, Dr Arturo Perez témoigne de son expérience dans le traitement du Covid-19 avec l’ivermectine en milieu hospitalier suisse et nous explique que les institutions ont fait pression pour qu'il arrête de la prescrire malgré des résultats remarquables pour les patients atteints de la maladie.
22 juillet 2022

L'émission sur Radio Libre est à écouter ici :
https://radiolibre.ch/podcast/ivermectine-arturo-perez

"Le soin vis à vis des patients Covid, ce n'est pas simplement que des molécules, c'est une écoute, être présent pour le patient, pouvoir suivre les patients, les accompagner, ne pas les abandonner. Parce que ça, ça a été la chose qui a été la plus terrible pour les patients"

"Les patients nous ont toujours remerciés. Ils nous ont remerciés parce que on les a écoutés, et surtout parce qu'on les a pas abandonnés."

"Le soin a manqué depuis le début de cette épidémie. Et le soin ce n'est pas simplement que des médicaments, c'est une écoute. C'est une écoute et un suivi des patients. On s'en est rendu compte très vite dans cette première vague car on s'est retrouvés, les médecins, sans pouvoir prescrire."

"On n'a jamais aucune vérité. La médecine c'est : ce que j'ai appris aujourd'hui, dans 5-10 ans, ça risque d'être faux. Et il ne faut pas s'accrocher à une vérité parce qu'en médecine, il n'y a pas vraiment de vérité."

[31:28]
"On va se retrouver à nouveau comme on s'est retrouvés à la fin de la première vague, c'est-à-dire dans laquelle on n'a pas de traitement à pouvoir proposer alors qu'il y a un traitement qui montre, dans l'expérience des confrères, un effet qui est positif : l’ivermectine. Il y avait une dizaine d'études qui avaient été publiées, toutes favorables à l’ivermectine. C'est une molécule qui a des effets positifs sur toutes les phases (précoce, intermédiaire, tardive), même pour éviter de tomber malade. Associée soit à l'azithromycine soit à la doxycycline ou à la tetracycline, et toujours avec le zinc. On s'est dit que si on ne peut plus utiliser l'hydroxychloroquine, on va pouvoir utiliser l’ivermectine. L’ivermectine n'a aucune toxicité cardiaque, er il n'y a pas de dose toxique à l’ivermectine. "

]37:43]
"Après la chasse aux sorcières vis à vis de l'hydroxychloroquine est venue la chasse aux sorcières vis à vis de l’ivermectine. Avec des questionnements sur les prises en charge qu'on faisait."

[38:35]
"C'est l'institution qui nous a demandé de ne plus prescrire l’ivermectine. Et donc à partir du mois de septembre [2021], nous n'avons plus prescrit l'ivermectine."

[44:50]
"Dans le pays dans lesquels on a continué à utiliser l’ivermectine, on a des résultats au niveau des contaminations et si niveau des hospitalisations qui sont ridiculement bas par rapport à ce qu'on a en Europe ou par rapport à ce qu'on a aux États-Unis."

[45:30]
"La liberté de prescription fait partie des bases de la médecine. Un médecin, vous l'empêchez de prescrire, ou vous lui dites ce qu'il faut prescrire, il n'y a plus de liberté de prescription. Et quand il n'y a plus de liberté de prescription, on peut se poser des questions [...] Pour moi c'est une remise en cause de la médecine de manière globale."

[59:00]
"Vous savez, le PRIMUM NON NOCERE, c'est pour nous fondamental. C'est quelque chose qui a été balayé, oublié avec cette crise. NE PAS NUIRE."

[59:50]
"La partie humaine, c'est ce qui a été le plus malmené dans cette crise Covid. C'est une constatation."

[1:01:00]
"L'ivermectine fait partie des médicaments indispensables pour l'OMS. Il y a une liste."

[1:02:12]
"La chose la plus importante c'est de ne pas oublier le PRIMUM NON NOCERE, la balance bénéfices-risques, et surtout garder l'humanité. Et ne pas oublier que dans la médecine d'Hippocrate, on est 3 : le patient, le malade et le praticien."