2022-07-09 21:04:37
Vaccins Covid: la désillusion au grand jour. Les révélations sur le peu d'efficacité et les risques des injections ne cessent d'affluer. Avec la 2e partie de l'enquête
D’après les derniers chiffres officiels, au 5 juin 2022[1] :
Les vaccinés (deux doses) avaient 50 % de plus de risques d’être positifs au Covid, par rapport aux non-vaccinés ;
Les vaccinés (trois doses) avaient 120 % de plus de risques d’être infectés par le Covid, par rapport aux non-vaccinés.
C’est écrit noir sur blanc sur le site covidtracker, qui s’appuie sur les chiffres officiels de la DREES (direction des statistiques) :
On nous avait pourtant promis une baguette magique !Souvenez-vous ce qu’on nous a « vendu », au départ. En janvier 2021, au début de la vaccination de masse, le vaccin était considéré comme la seule solution pour nous sortir de l’épidémie !
Faites vos deux petites doses, et ce sera le retour à la vie normale[2] ! Il n’y avait même pas besoin que tout le monde se vaccine, vous disait-on. Avec 60 % de la population vaccinée, on devrait atteindre l’immunité collective[3].
En février-mars 2021, la grande illusion continue : on nous dit alors que le recul épidémique en Israël est la preuve que la «magie vaccinale» a commencé à opérer. «Coronavirus : en Israël, un ‘retour à la vie’ grâce à la vaccination» (Europe 1) – alors qu’il s’agissait simplement de la fin de la 3ème vague, et que le vaccin n’empêchera ni la 4ème, ni la 5ème vague[4].
«Une seule solution, la vaccination!»Puis, en avril 2021, une première inflexion a lieu. « Il faudrait vacciner 90 % de la population pour espérer retrouver une vie normale en septembre en France », et non plus seulement 60 % à 70 %[5] ! La faute, officiellement au « variant britannique », plus contagieux.
Cela n’empêche pas le discours de la « baguette magique » de continuer à prospérer.
Fin avril 2021, l’Élysée publie un communiqué, au titre sans ambiguïté : « La vaccination : seule solution face à la Covid-19[6]. »
Et fin juin, le site officiel du gouvernement publie une interview de la Pr Brigitte Autran, qui explique que « le virus va moins circuler » grâce à la vaccination de masse. Elle ajoute que la vaccination va aussi « diminuer le risque de voir émerger des variants ». Quelle erreur !
Douche froide à l’été 2021Dès l’été 2021, le variant Delta ruine ces pieux espoirs. Le 10 août, Andrew Pollard, directeur de l’Oxford Vaccine Group, est le premier spécialiste « officiel » à reconnaître le problème : « Avec ce variant [Delta], nous sommes dans une situation où l’immunité collective n’est pas possible à atteindre, car il infecte les individus vaccinés »[7].
C’est la douche froide : après nous avoir promis l’immunité collective avec 60 % de la population vaccinée, puis avec 90 %, on reconnaît à l’été que le vaccin ne pourra jamais empêcher le virus de circuler, car il infecte aussi les vaccinés !
Mais en France, le ministre Olivier Véran est encore dans le déni : « comment une vague est-elle possible alors que 90 % d’entre nous âgés de 12 ans et plus sommes vaccinés ? Est-ce que cela signifierait que le vaccin serait finalement moins efficace que prévu ? Non »[8].
Omicron: la désillusion monte d’un cranPuis, l’hiver arrive, avec la vague Omicron. On franchit un nouveau cran dans la désillusion. Tout le monde peut constater que le virus infecte au moins autant les vaccinés (2 ou 3 doses) que les non-vaccinés. Et surtout, il n’y a jamais eu autant d’infections au total dans la population ! Alors qu’on confine les non-vaccinés, et que la population adulte est presque intégralement vaccinée, c’est le moment où l’on enregistre des records de contaminations !
Fin janvier 2022, le Pr Delfraissy, président du Conseil scientifique, commence à dire tout haut ce que beaucoup pensent tout bas : ce « vaccin » serait plutôt un « médicament »[9] ! Il réduirait les formes graves de la maladie, mais son action sur la transmission serait « limitée dans le temps ».
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