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PASHANKUSHA EKADASHI Lord Vishnu s’appuyant sur Ananta-Śeṣa, | BMF Ekadashi

PASHANKUSHA EKADASHI

Lord Vishnu s’appuyant sur Ananta-Śeṣa, est adoré en tant que Śrī Padmanābha. (Brahmā Vaivartha Purāṇa)

Śrī Krishna/Madhusūdana, dit à Yudhiṣṭhira Mahārāja : “Pāpāṅkuśā Ékādaśī lave de tous les péchés. Ce jour-là, en respectant les règles de l’archana viddhi, nous devrions vénérer la déité de Padmanābha, qui est Śrī Viṣṇu dont le nombril est en forme de lotus. Nous jouirons ainsi de tous les plaisirs divins que nous pouvons souhaiter dans ce monde et obtenir la libération.
-Par le simple fait d’offrir nos humbles hommages à Śrī Hari, à Śrī Viṣṇu, nous pouvons obtenir le mérite qui récompense celui qui se livre à de grandes pénitences pendant longtemps, restreignant et contrôlant ses sens.
-Par le simple chant des Saints Noms du Seigneur Viṣṇu, comme ceux de Rāma, Janārdana ou Kṛṣṇa, on peut acquérir toute la piété obtenue en visitant tous les lieux saints de la terre et ne jamais voir le royaume de Yamarāja.
-Le vaiṣṇava qui critique le Seigneur Śiva et les Śaivites, Me critique, et est sans aucun doute voué à l’enfer.
-Accomplir 100 Aśvamedha ou 100 Rājasūrya, n’égale pas un seizième de la piété obtenue par celui qui observe cet Ékādaśī.
-Nul autre jour n’est aussi saint que celui de cet Ékādaśī, si cher à Śrī Padmanābha.
-O roi, tant qu’un homme n’a pas observé un jeûne le jour du Seigneur Padmanābha,
il reste un pécheur et les réactions à ses activités pécheresses passées ne la quittent pas, comme une épouse chaste.
Il n’existe aucun mérite dans les trois mondes qui puisse égaler celui que l’on peut gagner en jeûnant ce jour-là.
-Celui qui désire la libération, les plaisirs célestes, la santé, des belles femmes, des richesses, des céréales, et la possibilité d’échapper après la mort de ne pas aller au royaume de Pluton, celui-là devrait suivre ce Pāpāṅkuśā Ékādaśī.
-O roi, ni le Gange, Gayā, Kāśī, Puṣkara, ni même le lieu saint de Kurukṣetra, ne peuvent offrir un mérite aussi favorable que ce Pāpāṅkuśā Ékādaśī.
-O Mahārāja Yudhiṣṭhira, protecteur de la terre, après avoir observé le jeûne durant la journée, le dévot devrait demeurer éveillé toute la nuit, en s’absorbant dans l’écoute, le chant et le service du Seigneur, car ce faisant, il atteindra facilement la demeure suprême du Seigneur Viṣṇu.
Les bénédictions :
-En observant cet Ékādaśī, le jour et la nuit, on peut libérer dix générations GARUḌA de sa lignée maternelle, dix générations de sa lignée paternelle et dix générations de la famille de son épouse.
-Tous ces ascendants retrouvent leurs formes originales transcendantales aux quatre bras de Vaikuṇṭha. Vêtus de jaune et ornés de belles guirlandes, ils gagnent le royaume spirituel sur le dos de Garuḍa, l’ennemi renommé des serpents.
-O le meilleur des rois, que l’on soit un enfant, un jeune ou un vieillard, le jeûne le jour de Pāpāṅkuśā Ékādaśī, nous libère de tous nos péchés et nous protège des souffrances d’une nouvelle naissance infernale.
-Quiconque donne de l’or, des graines de sésame, des terres fertiles des vaches, des céréales, de l’eau potable, un parapluie ou une paire de chaussures en ces jours saints tellement favorables, ne sera jamais obligé de visiter la demeure de Yamarāja, qui punit toujours les pécheurs.
-Celui qui accomplit des sacrifices, creuse des étangs, aménage des aires de repos, des jardins, des maisons, jamais il ne souffrira des punitions de Yamarāja. Une personne pieuse se verra récompensé par la richesse, la santé, une longue vie... Celui qui observe Pāpāṅkuśā Ekādaśī va au royaume du Seigneur Suprême. Mais si un habitant de la terre n’accomplit pas d’activités spirituelles, et plus spécialement, s’il n’observe pas de jeûne les jours d’Ékādaśīs, son souffle ne vaut pas mieux ou n’est pas aussi utile que celui du soufflet du forgeron.
-Śrī Kṛṣṇa conclut : O meilleur des rois, en ce jour spécial de Pāpāṅkuśā Ékādaśī, même les pauvres devraient d’abord se baigner puis faire la charité en fonction de leurs moyens.