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2017-01-15 19:16:14 Les sujets dont vous allez débattre au cours de vos travaux sur la formation des jeunes, les liens formation-économie, les métiers de l’innovation, la contribution des jeunes au développement de leur pays, la formation des futurs leaders etc., vont sûrement apporter de nouvelles réponses et contribuer aux réformes en cours dans beaucoup de pays en Afrique. Au Sénégal, sous le leadership, du Chef de l’Etat, Son Excellence Monsieur Macky SALL, une concertation nationale sur l’avenir de l’enseignement supérieur avec l’implication de tous les segments de la société, a été menée.

La concertation a été conclue par un Conseil présidentiel à l’issue duquel onze (11) décisions présidentielles assorties de soixante-neuf (69) directives ont été prises.

A titre illustratif, je citerai seulement les deux (2) premières décisions qui sont en droite ligne avec vos sujets de discussion. Il s’agit de :

réorienter le système d’enseignement supérieur vers les sciences, la technologie, les formations professionnelles courtes ;
mettre les Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) au cœur du développement de l’enseignement supérieur et de la recherche pour améliorer l’accès à l’enseignement supérieur et l’efficacité du système.
La mise en œuvre de ces réformes a commencé par :

la création de nouveaux organes de gouvernance dans les universités avec des conseils d’administrations incluant le secteur privé ;
l’extension et la réhabilitation des universités et la construction des nouvelles universités Amadou Mahtar Mbow de Diamniadio et Elhadji Ibrahima Niasse du Sine Saloum, spécialisées avec des filières professionnelles.
Ainsi, le Sénégal va passer de cinq (05) universités publiques et une (01) école polytechnique à huit (08) universités, une (01) école polytechnique, 14 Instituts supérieurs d’enseignement professionnel (ISEP) et cinquante Espaces numériques ouverts (ENO), touchant toutes les régions et tous les départements du pays.

La Cité du Savoir en cours de construction, en plus d’être un lieu de gouvernance, d’évaluation et le cerveau informatique du système, donnera un nouvel élan à la recherche et à l’innovation à travers :

des laboratoires mutualisés de haute technologie de la Plateforme d’Appui technique à la Recherche et à l’Innovation pour l’Emergence ;
des incubateurs, un parc scientifique et une maison de la science comprenant un planétarium, un aquarium et des espaces de démonstration.
Au final, l’Etat s’est engagé pour un investissement de plus de trois cent deux (302) milliards de francs CFA dans l’enseignement supérieur sur les cinq (5) premières années (2013 – 2017).

Le Chef de l’Etat a fait ce choix judicieux, bien conscient, que le capital humain, est une de nos plus grandes richesses et un de nos meilleurs atouts pour aller à l’émergence. Sa formation est donc vitale.

A ces réalisations dans le public, s’ajoute le dynamisme des établissements privés d’enseignement supérieur, porteurs de projets éducatifs et contribuant de manière remarquable à la diversification d’une offre d’enseignement supérieur de qualité et parfois en partenariat avec des écoles et instituts de référence de par le monde.

Mesdames, Messieurs

Je voudrais pour finir, remercier encore une fois le Président du Directoire du journal le Monde et toute son équipe, le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche et tous ceux qui ont contribué à la bonne organisation de ce Colloque.

Je puis assurer que le Gouvernement reste très attentif aux conclusions de vos travaux qui seront examinés avec une grande attention

En souhaitant plein succès à vos travaux, je déclare ouverte la troisième édition des « Débats du Monde Afrique ».

Je vous remercie pour votre aimable attention
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Ouvert / Commentaire
2017-01-15 19:15:48 Monsieur le Premier Ministre Mahammed Boun Abdallah DIONNE a présidé le jeudi 27 octobre 2016, au Grand Théâtre, la Cérémonie d’Ouverture de la 3ème Edition des Débats du Monde Afrique sur le thème : « LE DEFI DE LA FORMATION SUPERIEURE EN AFRIQUE DE L’OUEST : INFORMER, ORIENTER, INSPIRER ».

L’intégralité du discours prononcé à cette occasion

Monsieur le Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche,
Monsieur le Président du Directoire du journal le monde,
Messieurs les Recteurs,
Mesdames, Messieurs les Directeurs généraux, Directeurs et chefs de services,
Mesdames, Messieurs les professeurs,
Mesdames, Messieurs les conférenciers,
Mesdames, Messieurs les invités en vos noms, titres et qualités,
Chères étudiantes, chers étudiants,
Mesdames, Messieurs,

C’est avec un réel plaisir que je me retrouve aujourd’hui parmi vous, pour présider la cérémonie d’ouverture de la troisième édition des « Débats du Journal le Monde Afrique », sur le thème « Le défi de la formation supérieure en Afrique de l’Ouest : informer, orienter, inspirer ».

Je voudrais, tout d’abord, exprimer mes vifs remerciements à Monsieur Louis DREYFUS, Président du Directoire et à l’ensemble de ses collaborateurs d’avoir bien voulu porter leur choix sur notre capitale, Dakar, pour débattre des grands enjeux de l’orientation, de la formation et de l’accès à l’emploi des jeunes africains de l’ouest.

Je voudrais, aussi, souhaiter la bienvenue à nos distingués hôtes, venus de l’Afrique de l’Ouest, de l’Europe et d’ailleurs, pour partager « leurs expériences, leurs idées et leurs projets innovants contribuant à améliorer non seulement l’accès des jeunes à une éducation de qualité, mais également à la pertinence de leur orientation et de leurs choix socioprofessionnel ».

Mesdames, messieurs,

Est-il encore besoin d’expliquer aux experts que vous êtes à quel point l’éducation et la formation constituent les véritables leviers de développement pour le continent africain ?

En organisant ces débats avec la participation d’intervenants de haut niveau (ministres, recteurs, universitaires, directeurs de grandes écoles, entrepreneurs, journalistes, artistes, bref tous les intelligences de la société), venus de toute l’Afrique francophone, d’Europe et du reste du monde, vous répondez à un besoin réel de notre continent.

La présence de ces éminentes personnalités constitue, à n’en point douter, un gage de succès de vos travaux.

Monsieur le Président du Directoire du monde,
Mesdames, Messieurs,

Comme vous le savez, les défis de l’enseignement supérieur en Afrique sont multiples et multiformes. Mais sans nul doute, un des défis le plus pertinent aujourd’hui est d’assurer l’adéquation entre la formation et les besoins de l’économie pour une employabilité des jeunes demandeurs d’emplois et leur insertion dans les secteurs prioritaires du développement de nos pays.

En effet, dans le contexte de l’économie du savoir, j’allais dire de l’économie de la créativité, l’Afrique a besoin d’une masse critique de ressources humaines qualifiées dans les secteurs clefs.

Ce sont ces ressources humaines bien formées qui peuvent permettre à notre continent de relever les défis prioritaires du développement comme l’agriculture résiliente et moderne capable de garantir la sécurité alimentaire, l’accès aux services énergétiques, le développement des énergies propres, la construction de systèmes de santé performants, la création d’entreprises innovantes, créatrices d’emplois et génératrices de richesses.

Pour disposer de ces ressources humaines de qualité capables de contribuer à la croissance et à l’émergence économique, il est nécessaire que l’on opère les ruptures indispensables pour ouvrir des perspectives nouvelles permettant un développement d’un système d’enseignement et de formation performant, qui promeut l’excellence.

Mesdames, Messieurs,
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Ouvert / Commentaire
2017-01-15 19:11:48 Monsieur le Président Andrzej DUDA, cher collègue,
Mesdames, Messieurs les Ministres,
Mesdames, Messieurs, les membres du secteur privé,
Mesdames, Messieurs,
Chers amis,

Monsieur le Président, je tiens à vous remercier particulièrement non seulement pour votre invitation mais également pour votre participation personnelle à ce formum économique et de l’investissement que nous organisons dans le cadre de ma visite en Pologne.

Celà témoigne de tout l’intérêt que vous accordez à la promotion des relations d’amitié et de coopération entre nos deux pays. Merci pour votre temps et vos efforts.

Je remercie également tous les membres du secteur privé polonais ici présent. La Pologne et le Sénégal ont toujours entretenu de bonnes relations officielles. Ces dernières années, nous avons voulu marquer, par des actes significatifs, notre volonté commune de donner un nouvel élan à nos relations bilatérales.

Nous avons beaucoup apprécié la réouverture de l’Ambassade de Pologne à Dakar après huit ans de fermeture. Et depuis l’année dernière le Sénégal a ouvert une représentation diplomatique à Varsovie.

De plus, nous avons muliplié les contacts entre nos deux gouvernements et organisé aussi bien en Pologne qu’au Sénégal des rencontres entre les opérateurs économiques de nos deux pays ; la plus récente remontant au mois de juillet dernier avec la mission à Dakar de la Chambre de commerce polonaise. Ma visite s’inscrit dans cette nouvelle dynamique d’intensification de nos relations à tous les niveaux.

Les statistiques montrent que nos échanges commerciaux ont quasiment doublé ces cinq dernières années. Mais avec un total cumulé de 140 millions de dollars, ils restent encore faibles. Nous pouvons faire plus et mieux. C’est le sens de ce forum.

Ce que nous pouvons faire du côté officiel, c’est de stimuler les échanges économiques par un cadre juridique adéquat, une information à jour, des mécanismes adaptés et des procédures diligentes.

Monsieur le Président, je voudrais, à ce sujet, saluer le Programme « GO AFRICA » initié par la Pologne pour soutenir le commerce et l’investissement avec l’Afrique. Cela me parait très important, parce que l’Afrique est en phase d’émergence avec d’énormes besoins dans tous les domaines. Mais, comme je le dis souvent à nos partenaires, nous ne pouvons pas tout payer tout de suite.

Nous devons donc inventer des mécanismes intelligents, qui accompagnent et soutiennent des échanges mutuellement bénéfiques entre nos pays. C’est pourquoi je pense que le programme Go Africa va dans le bon sens. Et je saisis d’ailleurs l’occasion pour dire au Président DUDA que le Sénégal est officiellement candidat à ce programme. Mais nous ne venons pas les mains vides. Ce que nous pouvons vous offir en contre partie, c’est :

Premièrement, une position géographique qui fait du Sénégal une porte d’entrée en Afrique de l’Ouest, à proximité de l’Europe et des Amériques, au sein de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest qui constitue un marché de plus 300 millions de consommateurs ;
Deuxièmement, une stabilité politique et sociale héritée d’une longue tradition de démocratie apaisée et de cohabitation pacifique. En 56 ans d’indépendance, le Sénégal n’a jamais connu de coup d’Etat.
Troisièmement, la stabilité juridique dans les relations d’affaires. C’est important de le dire et de le répéter parce que bien souvent on surestime le risque lié à l’investissement en Afrique. Or, il n’en est rien. En plus d’être rentable, l’investissement en Afrique ne court aujourd’hui aucun risque particulier.
Quatrièmement, enfin, le Sénégal dispose d’un potentiel non négligeable en ressources humaines et naturelles. Nous avons d’ailleurs récemment découverts d’importants gisements de pétrole et de gaz.
Je voudrais aussi mentionner les opportunités qu’offre le Plan Sénégal Emergent (le PSE), notre stratégie de développement économique et sociale, que nous avons lancée en février 2014 pour faire du Sénégal un pays émergent à l’horizon 2035 ; avec comme objectif une croissance moyenne de 7% sur la durée.
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