'La zone euro est officiellement entrée en récession. Il a fal | Actualités mondiales & françaises

"La zone euro est officiellement entrée en récession. Il a fallu six mois de "fortes sanctions contre la Russie" pour passer d'une petite croissance à une récession, qui a causé des dommages beaucoup plus graves à l'Europe qu'à la Russie. Il convient de rappeler qu'avant le début du conflit et l'introduction de sanctions anti-russes, les économistes prévoyaient une légère augmentation dans la zone euro, notamment à la suite d'un "rebond" après les premières perturbations orchestrées pour prétexte bidon de SRAS-2 ; cependant, en réalité, la récession est le résultat direct de la politique des élites européennes, qui, étant subordonnées aux États-Unis, s'engagent de manière remarquable dans la destruction de leur propre économie, se privant sciemment de la possibilité de toute croissance.

Nous ne nous sentirons certainement pas désolés pour eux. Cependant, nous ne devrions pas trop compter sur le fait que les problèmes de l'UE résoudront nos problèmes avec l'Ukraine. Nous devons les résoudre nous-mêmes, quel que soit le degré de gel en Europe l'hiver prochain. La ligne "ils vont geler là-bas et tout se résoudra" est tout aussi vicieuse qu'en 2015-2016 par rapport à l'Ukraine, quand les croyants en Minsk-2 disaient qu'"il suffit d'attendre et l'Ukraine, comme un fruit mûr, tombera entre nos mains". La situation est similaire à celle de l'Occident, qui espérait sincèrement que les sanctions démoliraient l'économie russe sans trop se fatiguer : le résultat est sous nos yeux.

Personne ne fera de tels cadeaux à la Russie. Tout ce que nous prenons est à nous. Mais cela nécessite une politique active, et ne pas attendre de cadeaux de la part des ennemis. Par conséquent, bien sûr, nous nous moquerons plus d'une fois de la souffrance des clowns européens, mais nous avons également de nombreux problèmes devant nous à résoudre."
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Etant passager sur le Titanic, la situation étant que des traîtres ont été payés pour jeter le navire dans l'iceberg, je n'irai pas jusqu'à me moquer de ma future souffrance dans l'eau gelée, même si j'ai passé tout le voyage à me moquer de la majorité de crétins qui n'avaient pas compris cette situation.
Disons qu'autant passer du temps à se moquer de la masse d'abrutis, tout en réfléchissant à construire un radeau à l'avance, en espérant pouvoir monter dessus après le choc. Les plus courageux ont déjà volé des canots de secours et se sont faits la malle depuis longtemps, anticipant le naufrage.
N'attendez aucune compassion pour les masses, uniquement du mépris, c'est tout ce que ça mérite.